Ambiguité Du Dénouement Don Juan

1ére partie du texte « L’éloge de la sincérité » de la sincérité à la vie privée. La démocratie= faire usage public de sa raison. - Célébration d’une valeur morale= titre - Plan du texte et vocabulaire (paragraphe par paragraphe). Idolâtrie= donner beaucoup d’importance, positionnement d’argumentation pathétique et d’émotion. Les hommes déguise leur sentiments. - du vil = vulgaire, complaisance=accorder des qualité fausse. L’expression « La vertu du siècle ». Deux arguments : 1er=L’hypocrisie

inquiéter les rivaux de Molière et de quoi déranger les ennemis du théâtre. Molière va alterner dans sa production comédies légères, destinées à plaire au roi et au grand public, et quelques grandes comédies aux sujets graves, par goût de la satire. Dom Juan ou le Festin de pierre (1665) : Molière reprend l'histoire du séducteur de Séville, mais accentue le cynisme du personnage. Le Misanthrope (1666) : l'atrabilaire Alceste, ne pouvant mettre en accord sa franchise avec le scepticisme souriant de Philinte

dangereuses Laclos, Frears I- L’aspect comique On peut isoler dans le roman plusieurs procédés qui évoquent le genre comique. - Maîtres et valets : le couple formé par Valmont et Azolan rappelle avec certaines nuances celui formé par Sganarelle et Don Juan. L’entreprise de séduction que mène Valmont est constamment secondée par son fidèle serviteur, qui apparaît ici comme le double burlesque du vicomte. - Les quiproquo : Dans le roman, le narrateur met en scène la naïveté de certains personnages

plusieurs « propriétés » du théâtre. D’abord, on peut dire que le théâtre bénéficie d’une liberté conséquente avec la possibilité qu’ont eu et qu’ont toujours les auteurs d’exprimer leurs opinions et de corriger les mœurs de leur époque. En effet, donner son avis et critiquer la société n’a pas été toujours aussi facile que maintenant et le théâtre fut dans le passé l’un des seuls procédés permettant de blâmer et de se faire entendre auprès de la société et de ses corrupteurs. Par exemple, à l’époque

comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Dom Juan’’ (1665) comédie en cinq actes et en prose de MOLIÈRE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt littéraire (page 6) l’intérêt documentaire (page 6) l’intérêt psychologique (page 7) l’intérêt philosophique (page 10) la destinée de l’œuvre (page 12) l’intérêt du spectacle (page 15) différentes scènes (pages 15-35) Bonne lecture ! «Dom Juan» est l’orthographe du XVIIe siècle qu’on

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Dom Juan’’ (1665) comédie en cinq actes et en prose de MOLIÈRE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt littéraire (page 6) l’intérêt documentaire (page 6) l’intérêt psychologique (page 7) l’intérêt philosophique

Dom Juan, tirade de Sganarelle, Acte I, scène 1 Portrait du Maître par son valet, de "Je n'ai pas grand peine à..." à "que tu aurais menti." En quoi cette tirade complète-t-elle la scène d'exposition ? Tirade de la fin de la scène d'expo. 2 persos sur scène : Sga et Gusman, valet d'Elvire. Par ses questions, Gusman pousse Sga a faire une longue tirade. Ds une scène d'expo, l'auteur présente au spectateur ts les éléments pour comprendre la suite de la pièce (lieu, persos, act°) I - Le portrait

s'arrêter sur des parties significatives de l'œuvre. On aperçoit des répliques à la tonalité ambiguë, susceptibles de recevoir plusieurs interprétations selon le choix de l’interprète : dans « Le Mariage de Figaro » Acte II, scène 1 Parfois, le ton à donner au texte est plus difficile à déterminer : par exemple au début de II, 1, sur quel ton la comtesse dit-elle : "Quoi, Suzon, il voulait te séduire?"; "Et le petit page était présent"? Est-ce surtout le ton de la surprise indignée, la honte d'apprendre

délibéré de fournir quelque dénouement que ce soit. Par cette liberté, Jacques le fataliste appartient plus à la « littérature itinérante » qu’au roman picaresque. Enfin, le troisième thème développé dans cette partie est le rôle de Diderot en tant que narrateur. Si nous nous attachons, comme nous sommes tenté de le faire, à la ligne romanesque d'un voyage picaresque, ou encore à l'histoire des amours de Jacques, en cherchant à suivre une intrigue jusqu'à son dénouement, nous sommes déçu par les

terrible » (v.518, II, 1). Il y a bien cinq actes, ce qui est classique. L’unité de lieu est respectée aussi, puisqu’on se trouve à Paris, au palais de Justice, où Alceste et Célimène attendent le dénouement de leurs procès respectifs : aux marches du Palais, il y a tant de beau monde qu’ils ne savent plus où donner de la tête. L’unité de temps, ensuite, est respectée : elle dure 24 heures chrono, de l’ouverture du Palais à sa fermeture en nocturne. Pour finir, c’est la règle de bienséances qui est respectée :