Ambivalence

poèmes qui précèdent « Une charogne », « La beauté », « Les femmes ». - Citation à retenir: « Un outrage a la moral publique et aux bonnes mœurs » - critique faite a Baudelaire sur Les fleures du Mal, plus précisément des pièces condamnés. - Ambivalence de la femme pour Baudelaire:- beauté naturelle et artificielle - innocence et perversité - Qui provoquent chez le poète de la fascination et de la peur. - Le poète se sacrifie pour la beauté. -

peu à peu l’esprit : l’émotion qui ouvre le cœur fraie un chemin à la vérité en rendant ce même organe (métaphore de la pensée) apte à la vérité. On le voit, il y a donc une ambivalence de la rhétorique chez Augustin : d’un côté elle nuit à la découverte de la vérité, de l’autre elle peut en être l’adjuvant. Cette ambivalence est liée à la nature fondamentale du langage dans la philosophie augustinienne. les mots n’ont pas de valeur cognitive par eux-mêmes, mais seulement en tant qu’ils montrent la

pire des éducateurs. On retrouve la même ambivalence sur le plan de la socialisation. II – ROLE DE LA FAMILLE DANS LA SOCIALISATION - La famille apprend à ses membres les rudiments de la communication. - Mais elle peut être un obstacle à la vie professionnelle et sociale. Remarque : Dans un sujet où, à l'intérieur des grandes parties, les arguments s'opposent, on est amené, dans la transition, à rappeler cette opposition par des termes comme : ambivalence, dualité, paradoxe, contradiction, etc.

Souvent, il exprime ses sentiments et affirme à sa mère qu’il l’épousera. Il peut osciller entre l’hostilité envers son père, son rival auprès de sa mère, et des moments de tendresse : les sentiments envers le père sont marqués par une grande ambivalence (ambiguïté). L’enfant est loin des crimes d’Œdipe mais en présente les germes. Ainsi, le garçon prend conscience qu'il existe un univers sexuel entre ses parents et auquel il ne participe pas, il se sent exclus et cela engendre une frustration

pour les Noirs. Tous ces prophètes (ou prophétesses, car il y eut quelques femmes dans ce mouvement) étaient assez proches des conceptions traditionnelles africaines et leur rôle de guérisseur ou de chasseur de sorciers leur conférait une certaine ambivalence. Mais tous avaient conscience de devoir parler au nom de tous et, pour ce faire, de devoir échapper à la dimension locale des guérisseurs traditionnels. Ils ont donc en général créé leur propre lieu original, fondateur, parfois appelé Jérusalem

 IFSI CRF 16400 La CouronneUE 2.6.S2 DA SEMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE Il s’agit d’un glossaire classé par ordre alphabétique qui peut être catégorisé en fonction de la nature des troubles : -Troubles de l’affect et de l’humeur : ambivalence affective, indifférence affective, labilité de l’humeur, thymie -Troubles psychomoteurs et du comportement: aboulie, apragmatisme, bizarrerie, catatonie, clinophilie, compulsion , conversion, excitation psychomotrice, impulsion, incurie, maniérisme, mimique, négativisme

sons Jeu avec le sonnet : en rassemblant les vers 2 et 3 qui forment un alexandrin, on remarque que le poème possède les rimes du sonnet (AABB-AABB- 2 tercets. L’absence de ponctuation entraîne une ambiguïté du sens : « y fleurit tes yeux » = Ambivalence, polysémie La rose est traditionnellement la fleur qui symbolise la beauté, là Apollinaire compare la femme aux colchiques, symboles de l’imperfection. Conclusion : Avec les thèmes traditionnels de la femme, la fleur et de l'amour Apollinaire

a besoin d’un admirateur obéissant et quémandant (il le veut implorant 57); tyrannique, il joue avec, le rejette violemment. Nous touchons alors à son infantilisme: il s’agit d’un jouet avec lequel il peut tout faire ; on retrouve là encore son ambivalence : il se l'approprie puis le repousse. Autrement dit le chien résume le rapport de Hamm à Clov et plus généralement à autrui ( ses parents). Il représente aussi le monde sur lequel il veut encore régner : alors que rien ne subsiste à l’extérieur

« plaisir qui tue », c’est une beauté fatale, elle est douce mais suscite de la souffrance (métaphore ressort l’inquiétude suscité par le regard de la femme) illustré par la symétrie du vers 8 : hémistiche avant le « et » au milieu, même construction ambivalence entre le désir entre le désir et la mort (pour aller plus loin : vers 2 et 3 la rime se finit par « tueuse » hasard ?) * conception générale de la femme : femme admirable, désirable, idéale ( rapport à l‘art ) mais provoque un sentiment de

spatio temporel inquiétant: Cours de tennis, aube (= heure des exécutions, ref aux internements psy abusifs), infirmiers, cerner, grillage. Artmann défini par « Professeur » (scientifique?) , emploie je/nous, aucune infos sur lui→ Pers. Abstrait Ambivalence du pers. pour le spec. : rassurant (« ne craignez rien ») mais nous = association avec famille Meyer + remarques apparentées a menaces voilées «soins prodigués .. ne vous permettront plus» On ne sait pas ce qui l’intéresse, le côté policier pour