Ambroise de Milan

aveuglement au pouvoir politique car lorsqu’il y a désaccord, contradiction entre l’ordre humain et le précepte divin, il vaut mieux obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. St Ambroise prononça l’excommunication de l’empereur Théodose, T Dés lors, Théodore refusant de faire pénitence, ce massacre a fourni l’occasion à l’évêque de Milan, de systématiser une doctrine de l’Eglise. Pour l’empereur Théodose la décision d’exercer des représailles à l’encontre d’une population concernaient un acte politique et

avait plusieurs mots pour désigner le peuple – à côté de laos, on doit au moins recenser demos et ethnos, sur lesquels se sont formés, en français, des mots essentiels à notre propos. À cet égard, dans un petit livre intitulé La laïcité (Éditions Milan, Toulouse, 2001), l’auteur, Jean-Michel Ducomte, écrit : Le terme « laïc », à partir duquel fut construit le substantif laïcité, nous vient du grec laos, mot qui désigne le peuple, considéré comme un tout, à la fois indivisible et indifférencié. Il

337. A partir de Dioclétien, il était devenu impossible de diriger la machine impériale et le pouvoir fut partagé en quatre : deux empereurs et deux adjoints, la tétrarchie. Constantin était l'un des quatre.  A Ravennes (en Italie du Nord), puis à Milan avec son collègue Licinius, puis à Nicomédie (près de Constantinople), il exprime son accord pour reconnaître la liberté de culte de la religion chrétienne dans l'Empire. Après la victoire contre Maxence, au pont Milvius, il aurait décidé de se faire

La religion chrétienne à vocation universelle pouvait servir à réaliser une nouvelle unité morale entre les peuples de l’empire. Cette unité et ce lien fédérateur renforçait le pouvoir même de l’empereur. Une année plus tard, en 313 par l’édit de Milan, l’empereur Constantin autorisa officiellement le culte chrétien. La pratique de la religion devint permise et les biens confisquait des chrétiens leurs sont restitués. A ce moment la, Constantin donne aussi des terres privées à l’église et fait édifier

les conférences ont pour thème le sort qu'il faut réserver aux chrétiens dans l'empire, reconnaissance du christianisme réaliser par les deux empereurs réunis, le christianisme devient donc une religion licite. Ces conférences se tiennent à Milan, « Édit de Milan », conséquence immédiate, les persécutions cessent dans l'instant, les biens confisqués aux communautés chrétiennes sont restitués aux communautés, une tolérance s'installe. Il accorde même des privilèges aux chrétiens. C'est Constantin aussi

sont succédées dans l'histoire nous donnerait une vision très abstraite et fictive de la littérature. II. Lecture orale et lecture silencieuse Dans ses Confessions (VI,3), au IVe siècle de notre ère, Augustin rapporte une visite à l'évêque de Milan Ambroise et il fait part de son étonnement devant un fait pour lui extraordinaire: Quand il lisait, ses yeux parcouraient la page et son c ur examinait la signification, mais sa voix restait muette et sa langue immobile. N'importe qui pouvait l'approcher

d'avoir une portée maximale. Une arquebuse Ø En médecine ? La médecine effectue également de nombreux progrès, car les humanistes étaient fascinés par le fonctionnement du corps humain. En 1552, le chirurgien français Ambroise Paré invente la ligature des artères (remplaçant la cautérisation au fer rouge) et sauve ainsi la vie de nombreux amputés. En 1600, le médecin slovaque Ján Jesenský effectue la première dissection. En 1628, le médecin anglais William Harvey découvre

été martyrisé et demeure le premier philosophe chrétien.   Enfin, Saint-Ambroise de Milan (340-357), grand écrivain, il est le fils d’un préfet des Gaules. Il n’est pas chrétien au départ. Un jour les chrétiens se disputent pour l’élection de l’évêque de Milan. Ambroise essaie de calmer les humeurs car gouverneur de Milan. Il y a chez lui une autorité morale. Il arbitre les élections. Or, un jeune enfant crie « Ambroise évêque ! »  et la foule scande son nom pour qu’il soit fait évêque, mais il

christianisme : Au 3ième siècle, les empereurs romains souhaitent se servir de la religion comme lien fédérateur entre les populations, ils veulent mettre un Dieu en commun. En 313, Constantin décide dans un premier temps de tolérer le christianisme (édit de Milan), puis devenu lui-même chrétien, de le favoriser. En 325, Constantin prend l’initiative de réunir le premier concile de Nicée, c’est le premier concile œcuménique (universel) qui va préciser les points essentiels du dogme chrétien. En 380, l’empereur

gouvernants sont soumis en tant que chrétien à un contrôle de l’Eglise en raison de leur pêchés. L’exemple le plus célèbre de contrôle qui a été effectué est fournit dés l’année 390, cela par la pénitence imposée à l’Empereur Théodose Ier par l’évêque de Milan, celui qui a reconnut le Christianisme comme religion d’Etat, et cela lorsque le pouvoir impérial a du se soumettre aux exigences de l’Eglise et donc à sa puissance de contrôle. En 390, l’Empereur Théodose Ier a du faire pénitence en réparation du