Âme sœur

voyage touche à l’âme et à la personnalité intime de l’être : « secrets », « âmes ». La synthèse des fonctions féminines de la première strophe (« mon enfant, ma sœur ») ne marque pas une envie d’inceste mais plutôt une envie de rencontrer l’âme sœur, l’âme dont on a besoin. Cette comparaison prouve qu'il aime cette ame soeur autant qu'une soeur ou qu'un enfant. Un voyage d’amour Au cœur du voyage, une préoccupation majeure : l’amour. Un amour qui est une fin en soi : « aimer à loisir », « aimer

comme les larmes sont contagieuses, Madame, à son tour, sentit bientôt ses paupières humides, et, se tournant vers sa belle-soeur, elle vit que tout son banc pleurait aussi. Le prêtre engendrait le corps de Dieu. Les enfants n'avaient plus de pensée, jetés sur les dalles par une espèce de peur dévote, et, dans l'église, de place en place, une femme, une mère, une soeur, saisie par l'étrange sympathie des émotions poignantes, bouleversée aussi par ces belles dames à genoux que secouaient des

aucun de ses frère loups a ses coté, c’est alors à se moment que son aventure commenca. Luna décide donc d’aller dans l’antre de la déesse des elfes noir pour retrouver sa mère précédemment enlevé par Matrone Zesstra. Elle tente aussi de retrouver sa sœur Sylnor. Luna vivra pleins d’expériences spectaculaires et traumatisantes dans l’antre de la déesse araignée… Présentation du personnage principale : Luna est la fille ainée de la princesse Ambretil, elfe de lune et d’Elkantar, elfe noire. Donc, Luna

dans la main droite la discipline que je portais de la main gauche et l’on commença La Miserere. Je compris ce que l’on attendait de moi, et je l’exécutait ». [2] La muraille qui s’élevait entre Suzanne et le monde continuera d’exister dans son âme même après qu’elle aura quitté corporellement le couvent. Suzanne ne s’en libérera jamais. Marquait par la vie conventuelle jusque dans ses habitudes, elle sera toujours une « déplacée ». On observe dans ce roman que Suzanne a été une bonne religieuse

nous pouvons relever des personnifications : « Aurore craintive » (V.1), « nuit pensive » (v.3), « ce cœur désespéré » (v.13),des métaphores : « mon cœur brisé », l’oxymore : « triste amour » (v.14), une comparaison : « Reviendra près de toi comme une sœur fidèle » (v.2). Ces différents procédés mettent en relief les tourments du poète. On peut observer également que de nombreux éléments permettent de donner au poème du rythme, de la musicalité Modèle de copie Word 3 comme par exemple le jeu sur les

Palmis, sœur de Suréna; Ormène, dame d'honneur d'Eurydice. La scène se déroule à Sélucie, sur l'Euphrate. Dans la tragédie, divisée en cinq actes, Corneille nous raconte l'histoire d'amour de Suréna et Eurydice, histoire qui se mélange avec questions politiques et d'état. Eurydice aime Suréna mais elle doit épouser Pacorus. Suréna, lui aussi amoureux de Eurydice, doit épouser la princesse Mandane, sous conseil du roi Orode, inquiet pour la croissante gloire de Suréna. Palmis, la sœur de Suréna

bouche d’Œnone. Elle compare la vie à un « flambeau » qui « peut se rallumer ». Puis elle évoque une « faible lumière ». Les deux femmes échangent un chant de deuil car chaque réplique semble un adieu au monde des vivants : « Je meurs… Mourrez donc… Mon âme chez les morts descendra la première ». Si Phèdre doit mourir, Œnone la suivra. Devant une scène si intense, le spectateur ressent de la pitié. Le pathétique naît devant la souffrance de Phèdre. Œnone parle à deux reprises de ses « pleurs ». Phèdre

cela ce que tu veux ? Tu as une grande place dans mon cœur , et je ne pourrais jamais supporter que tu es loin de mes yeux . Mon cœur et mon âme souvent pensent à tes innocents sentiments , ta belle figure , ta extrême beauté particulière qui suscite les cœurs des amants . Ma belle , tu veux laisser ta sœur , Ismène , seule ? Elle a très besoin d’une sœur comme toi , un cœur large qui oubli et pardonne. Ma chère , nous pourrons avoir un petit fils qui va t’appeler « Maman » . Oh !notre petit fils 

l'impression de mourir par tant de douleur mais on s'en sort vivante ma fille. On survie, je ne sais pas comment mais on arrive à stopper la douleur. Il ne faut pas que tu cesses d'y croire, jamais. Il faut que tu aimes de tout ton cœur, de toute ton âme. N'ai pas peur de la chute, ne pense pas à la douleur. Aime mon ange, aime. Parce qu'il n'y a que comme ça qu'on arrive à s'en sortir, en aimant une nouvelle fois. Simplement en nous prouvant que notre cœur est capable de rebattre à nouveau." Viens

nombreuse famille, la salle à manger pendant les repas était « plus encombrée qu’une arrière-boutique d’antiquaire. ». Sa tante Lili, lui était proche, et elles s’entendaient si bien. Elles étaient parties toutes les deux pour un séjour chez Alice, une sœur à la grand-mère, et là il lui est arrivé d’être injustement accusé d’avoir cueilli une fleur du jardin de la tante, ce qui était un fait banni, et c’est là que toute la famille prit le parti de Simone ce qui ne manquait pas de l’enchanter. Elle était