Âme sœur

Baudelaire modernise le motif du voyage vers l’ailleurs. Premier mouvement : · Un poème adressé à la femme : apostrophe « Mon enfant, ma sœur » / invitation intime+ tutoiement + = voyage spirituel. On note immédiatement l’ambiguïté de la femme dans cette apostrophe « mon enfant, ma sœur » (sens symbolique). La femme aimée (Marie Daubrun) est une « âme sœur », une sœur d'élection ; il s'agit d'un amour idéalisé, spiritualisé.· Une invitation au voyage : Impératif - injonction « songe » (invitation à la

Tourments d'une Âme Amoureuse C'est en regardant le ciel, Que je pensais à toi. Tu occupas mes pensées, Je n'avais d'yeux que pour toi. Ton absence, Je la pleurais en silence. Mon cœur fendu, Je te désirais en surplus. Mon âme tourmentée, Je priais pour te ramener. J'implorais, Mais rien ne se passait. Dans le noir, Ma vie se consumait de désespoir. Mon amour, Lorsque tu t'éloignes, C'est le chaos qui me gagne. Ne repars jamais, Avec ou sans délai. Ne suit pas le Vent, Ma vie

Philosophie – devoir maison : explication de texte. Texte 1 : Une de mes malades m'a rapporté un autre rêve, d'un caractère plus sombre, et qui lui paraissait contredire la théorie du rêve-désir. "Vous savez, me dit cette jeune fille, que ma soeur n'a plus qu'un fils: Charles; elle a perdu le plus âgé, Otto, alors que j'habitais encore chez elle. Otto était mon chéri, je l'avais élevé moi-même. J'aime bien le petit, sans doute, mais je suis bien loin de tenir à lui comme à celui qui est mort

aussi le fils illégitime de la soeur du baron Thunder-ten-tronckh. On peut décrire Candide comme quelqu'un de beau, jeune et intelligent mais encore inexpérimenté et naïf. Son physique reflète sa psychologie, il est bien élevé, calme et poli. (''Sa physionomie annonçait son âme.'') 2) Pourquoi le chapitre 1 est une critique de la stratification social a l'époque de Voltaire : Dans le chapitre 1 on apprend que Candide est un fils illégitime puisque la soeur du baron n'a jamais voulu

risquerais-je à vous les confier ? Vous brûlerez cet écrit, et je vous promets de brûler vos réponses. Comme nous étions venues au monde à peu de distance les unes des autres, nous devînmes grandes toutes les trois ensemble. Il se présenta des partis. Ma sœur aînée fut recherchée par un jeune homme charmant ; bientôt je m’aperçus qu’il me distinguait, et je devinai qu’elle ne serait incessamment que le prétexte de ses assiduités. Je pressentis tout ce que cette préférence pouvait m’attirer de chagrins

qui me servait de tutrice. Son arrière train débordait de la chaise. Son t-shirt bien trop grand pour toute personne normalement constituée laissait apparaître sa raie qui semblait lui arriver jusqu'au milieu de son dos. Si son pose-fesses avait une âme il aurait certainement crié de douleur tant ses pattes se tordaient à en devenir des demi cercles. A peine entré dans mon foutoir je l'entendais me rabaisser: ; et encore la réflexion la plus enrageante: . Ma vraie mère, mamelue! Elle qui n'est plus

L’intrigue : Vers 1725, René, jeune Français adopté par les indiens Natchez, raconte au vieux Chactas ainsi qu’au Père Souël la douloureuse histoire de sa vie redoublée de par une lettre venue d’Europe, qui ronge son âme. L’adolescent a d’abord vécu dans le château paternel, en compagnie d’une soeur un peu plus âgée, Amélie. Un inexplicable mal de vivre a ensuite poussé le jeune homme à voyager, à se renfermer dans une totale solitude, à se réfugier enfin dans un exil champêtre où il envisage le suicide.

agitée expire... Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. 1 Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante C'est la nôtre, n'est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont s'exhale l'humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? II Je devine, à travers un murmure, Le contour subtil des voix anciennes Et dans les lueurs musiciennes, Amour pâle, une aurore future ! Et mon âme et mon cœur en délires Ne sont plus qu'une espèce d’œil double Où tremblote à travers un jour

 Paul et Virginie Vous autres Européens, dont l'esprit se remplit dès l'enfance de tant de préjugés contraires au bonheur, vous ne pouvez concevoir que la nature puisse donner tant de lumières et de plaisirs. Votre âme, circonscrite dans une petite sphère de connaissances humaines, atteint bientôt le terme de ses jouissances artificielles: mais la nature et le coeur sont inépuisables. Paul et Virginie n'avaient ni horloges, ni almanachs, ni livres de chronologie, d'histoire, et de philosophie

rien acquis ni produit qui puisse compenser cette perte. Il est tenté par le suicide ; Méphistophélès lui apparaît et lui propose en échange de son âme de lui rendre sa jeunesse, et avec elle les mille plaisirs qui combleront ses sens. Faust accepte sans illusion : il connaît l’insatisfaction essentielle de son cœur « Le moment n’arrivera jamais où son âme totalement satisfaite pourra dire « arrête -toi » Méphistophélès emporte Faust pour un grand voyage. Ils s’attardent dans la taverne d’Auerbach