Amora Moutarde

biens volés à travers la frontière iranienne / Irak en Irak. Le directeur estime que la génération plus âgée est plus nationaliste et qu'ils voulaient mourir sur leur propre terrain en Irak. Dès 1983, des armes chimiques (sarin, Tabun, gaz moutarde et cyclosarin) sont utilisées par l'Irak, à la fois contre l'armée iranienne mais également contre les populations civiles et plus particulièrement kurdes, sans réactions notables de la communauté internationale bien que l'Irak soit signataire en

rapidement dans une guerre défensive alors que tous pensaient qu'il ne devait pas durer. La mise au point d'une aviation, de tanks, le recours systématique à une artillerie lourde de plus en plus performante et à de terribles armes chimiques (gaz moutarde (ypérite), par exemple) contribuent également à faire de la Première Guerre mondiale le premier conflit « industriel » de l'histoire. • L'association de différents facteurs (nouvelles technologies, ampleur inédite du conflit, stratégies développées)

dévastatrices : Progrès de l’industrie donc perfectionnement de l’armement produit à très grand nombre : Artillerie (canons avec obus, mitrailleuses 600 coups/min), Armes chimiques (1ère fois par les Allemands en Belgique à Ypres en 1915, « gaz moutarde » en 1917) , Chars(accompagnent offensives) & Avions (bombardements). Une guerre de tranchées : D’abord improvisées puis un vaste réseau défensif se développe. Batailles durent plusieurs semaines voir plusieurs mois. 15% des Allemands et Français

blessés agonisent sans pouvoir être secourus. Les officiers faits prisonniers, naguère libérés sur parole, sont désormais détenus dans les camps d’internement. C’est aussi lors de la Première Guerre mondiale que les armes chimiques, comme le « gaz moutarde », sont utilisées pour la première fois.

suffocants. Arme chimique n°1 : le gaz moutarde. Introduction : Le gaz moutarde est un composé cytotoxique et vésicant. Sous sa forme pur et à température ambiante, c'est un liquide visqueux, incolore et inodore. Son nom vient du fait qu'une forme impur de ce composé avait une odeur ressemblant a la moutarde. il porte aussi le nom de gaz ypérite en référence à la ville de Ypre en belgique, où il fut utilisé pour la première fois en 1917. Composition : Le gaz moutarde est composé de chlore, de souffre

transforme les champs de bataille en un véritable enfer. On combat à l'arme blanche et à la grenade. C'est la spécialité «  nettoyeurs de tranchées » La violence anonyme des bombardements est responsable de 70% des morts de la guerre. Il y a des « gazes moutardes » (ou ypérite) qui ont pour but de rendre inefficace la protection des masques à gaz. Les gazes toxiques, les chars d'assaut, les lance-flammes, les mitraillettes et les avions sont de véritables machines de guerres à destruction massive. Elles

Verdun est très fragile et relier par un seul chemin : la voix sacré. 1000 morts/jours(français ) ; en tout 500000 morts dans les deux camps. On y teste de nouvelles armes de guerre contre  l’ennemi : les obus, le lance flamme, le gay ypérite (gaz moutarde).La censure est très présente sur les lettres, photos et filmes. Le bourrage de crane modifie les informations : On nie la violence au combat. Le génocide arménien 1915 : Les arméniens sont une forte minorité vivant dans l’empire ottoman (2 millions)

essentiellement par les combattants – la guerre de position dans les tranchées : plusieurs lignes de front où les soldats s'enterrent, à expliquer, schéma des tranchées possibles – les violences physiques : éclats d'obus, mitrailles, gaz asphyxiants (gaz moutarde), percées forcément meurtrières, corps à corps, ...Conditions de vie des poilus déplorables : froid, boue, bruit des canonnades, rats et poux, ravitaillement – les violences psychologiques : contraintes de la censure sur la correspondance, la

le protocole de Genève de 1925 alors qu’il l’a signé en 1931 en utilisant des armes chimiques sur la population Iranienne ainsi que sur les soldats iraniens mais aussi sur les Kurdes, alliés à l’Iran. Ces armes chimiques sont le sarin, Tabun, gaz moutarde et cyclosarin. Cette utilisation ne fait pas réagir la communauté internationale. On estime le nombre de victimes à 70 000 dont 10 000 morts liés à cette arme, en grande majorité les victimes sont des soldats. D’ailleurs l’Irak l’utilise pour la

mouvement, l’espoir d’une victoire rapide disparaît : la guerre de positions commence. On parle de guerre industrielle : les progrès technologiques et l’armement s’adapte aux tranchées, tels que la mitrailleuse, le lance-flamme ou encore le « gaz moutarde », une arme chimique incapacitante et mortelle. Viennent s’ajouter les bombardements des avions et les obus, ce qui crée rapidement une ambiance d’horreur et de désespoir sur le champ de bataille. De nombreux soldats craquent : certains se mutilent