Amorce Sur Phèdre

d'illustrer une thèse sans la réfuter, réflexion selon différents axes. "démontrez" la validité de cette thèse en organisant la ex. de plan thématique sur ce sujet : I – le confident est un conseiller (et parfois un mauvais conseiller, ds Phèdre…) II – c'est aussi un témoin attentif, capable de faire émerger les secrets, les pensées intimes… III – c'est un miroir tendu à la conscience du héros, qui dialogue avec lui-même à travers son confident…  le plan analytique : il convient bien

« La main de le mot « Liberté » sur son tous cahier [Éluard] ou en notant silences », « des nuits », jusqu’à « l’inexprimable « des » [« Alchimie du verbe », le poète prend part à nos Rimbaud], combats et se fait le porte-paro de nos sentiments. [Amorce le de nos aspirations comme d’un lui-même, si souvent exprimé, dépassement en guise d’ouverture :] Et le désespoir ne devient-il pas, sous la plume poétique, une forme de 191 4 9782012708563.indb 4 07/07/15 09:52 SOMMAIRE Avant-propos .....

 de Voiture, donnés chacun comme  modèle du genre. Plus célèbre, la Querelle des sonnets(1677), fut  consécutive à une cabale dirigée par la duchesse de Bouillon, le  duc de Nevers et Mme Deshouillères pour faire réussir la Phèdre et  Hippolyte de Pradon aux dépens de la Phèdre de Racine. Les amis de  ce dernier, dont Boileau, ripostèrent. Le duc répondit, puis  encore les amis de Racine : tous composant leurs sonnets sur les  mêmes rimes. Le Grand Condé, en prenant parti pour Racine, mit fin  à cette querelle

thèse sans la réfuter, "démontre z " la validité de cette thèse en organisant la réflexion selon d ifféren ts ax es. ex . de plan thématique sur ce sujet : I – le confident est un conseiller (et parfois un mauvais conseiller , ds Phèdre ... ) II – c'est aussi un témoin attentif, capable de faire émerger les secrets, les pensées intimes... I II – c'est un miroir tendu à la conscience du héros, qui dialogue avec lui - même à travers son confident...  le plan analytique

Cet ancien esclave qui aurait vécu au VIe siècle av. J-C a laissé des centaines de fables en prose mettant en scène des animaux et développant une morale facile à comprendre. La tradition ésopique s’est ensuite transmise grâce au fabuliste latin Phèdre au Ier siècle, puis grâce à l’humanisme au XVIe siècle qui a donné des traductions et des imitations des fables antiques, et enfin grâce à l’œuvre de La Fontaine au XVIIe siècle qui s’est inspiré des Anciens. • Depuis l’antiquité, l’apologue a

présentes et à venir. Peut-être compose-t-il ses premières fables pour illustrer les groupes de sculptures destinés aux « fontaines » que projette Le Nôtre. Mais le luxe et les intrigues du surintendant inquiètent le jeune roi qui, guidé par Colbert, amorce une autre politique : relance de l'économie, protectionnisme, recherche de nouveaux débouchés. Fouquet est arrêté, emprisonné. Ses amis se dispersent. La Fontaine est l'un des très rares à lui rester fidèle. Il plaide même sa cause dans L'Élégie aux

et des forêts du duché de Château-Thierry, à laquelle se cumule celle de son père à la mort de celui-ci. Tâche dont on soupçonne La Fontaine de ne guère s’occuper avec passion ni assiduité et qu’il revendit intégralement en 1672. C’est ainsi qu’il amorce une carrière de poète par la publication d’un premier texte, une comédie en cinq actes adaptée de Térence, L’Eunuque, en 1654, qui passe totalement inaperçue. L’apogée de l’activité littéraire (1664-1679)En 1664, il passe au service de la duchesse

Ses œuvres les plus importantes : -La Thebaïde ou les frères ennemis (1664) -Alexandre le Grand (1665) -Andromaque (1667) -Les plaideurs (1668) -Britannicus (1669) -Bérénice (1670) -Bajazet (1672) -Mithridate (1673) -Iphigénie (1674) -Phèdre (1677) -Esther (1689) -Athalie (1691) Mme de SEVIGNE Sa vie Marie de Rabutin-Chantal, baronne de Sévigné, dite la marquise de Sévigné, née le 5 février 1626 à Paris dans les milieux aisé de la noblesse et de la finance et morte le 17 avril

Nombreuses sont les fables connu et reconnu encore aujourd’hui comme Le Corbeau et le Renard, Le Chêne et le Roseau ou Le Loup et l’Agneau. Il remet au goût du jour le genre de la Fable au 17ème siècle, en s’inspirant des Anciens, notamment d’Esope et de Phèdre. La forme de la fable correspond parfaitement l’idéal classique de brièveté, et du «plaire et instruire». La Fontaine a écrit deux recueils de fables qui sont divisés en livres. Le premier a été publié en 1668, c’est une dédicace au Dauphin et le

mensonge qui ait été pris en compte. Et la plupart des auteurs, penseurs ou écrivains ont disqualifié le mensonge comme une des fautes les plus graves. L’Œnone de Racine précipite par son mensonge (elle défend Phèdre devant Thésée, accusant faussement Hippolyte de l’avoir séduite) la catastrophe de Phèdre. Car tout d’abord le mensonge pourrit la parole et la confiance qui y est attachée et par conséquent les liens entre les hommes. C’est ce que formule Montaigne : « En vérité le mentir est un maudit vice