Amour Du Mensonge

était en chemin pour rompre avec lui. Suite à cette vision, prise dans une longue réflexion sur le désespoir qui l’étreint, elle décide de manquer son rendez-vous pour se livrer à ses pensées. C’est ainsi qu’elle fait part de sa théorie de l’Immense Amour : elle le compare à une baignade dans l’eau froide dont il faut sortir à temps pour ne pas s’en accommoder. Elle réfléchit ensuite à sa propension à toujours quitter sans nostalgie les personnes qui l’entourent : l’absence de sa mère et le départ prématuré

générale : le texte traite de l’aveu futile de Phèdre à Thésée au sujet de son au sujet de son amour caché, incestueux envers Hyppolite. IV/ Caractéristiques : le texte est tiré d’une pièce de théâtre, Phèdre, Jean Racine. Il contient 23 alexandrins en rimes suivies (AABB) et riches. V/ Etude des axes 1/ Le mea culpa superficiel de Phèdre a) Le mensonge comme méthode Phèdre ainsi plaidoyer en sa faveur. Mais l’on notera déjà la brièveté

donc dire que Perdican passe de femme en femme. Ensuite l'amour de Perdican est assimilé à une monnaie avec la question «  Est-ce donc une monnaie que votre amour, pour qu'il puisse passer ainsi de mains en mains jusqu'à la mort ? ». Ces comparaisons montrent donc que Perdican à un amour matérialiste et changeant. On peut ajouter que cet amour est sans importance, sans valeur car « la pièce d’or vaut mieux que vous ». Le « vous » ici parle de Perdican et on peut donc en conclure que Perdican à de

clairement comme cible. Dans George Dandin, pas de rieurs, c’est la pastorale qui apporte le contrepoint, tout comme les réflexions sur lui-même de George Dandin. Difficile d’avoir de la pitié pour ses personnages : George Dandin est ambitieux, sans amour, ne sait pas pardonner… Alceste n’est pas vraiment persécuté, il est orgueilleux, égoïste… En nous faisant rire, Molière nous impose un jugement. Il condamne la mobilité sociale (conservatisme) et suit le déterminisme naturel. Mais ambiguïtés : le

la vérité signifie avouer, révéler la vérité : ce qui montre une chose comme elle est en elle-même, d'après Spinoza. A l'inverse, il dit que le mensonge montre une chose autrement qu'elle n'est en réalité. Dire la vérité, est-ce toujours bon pour soi-même et pour les autres ? Il existe plusieurs types de vérité comme il existe plusieurs types de mensonge. De plus, la vérité est soumise à deux critères importants : trouver les bons mots pour la dire, et la dire au bon moment. Dans notre société

mon bon monsieur, de vous voir si pressés à une heure si tardive De Guiche, Votre cousine m'attend,et il m'impatiente de la retrouver Cyrano Plaît-il? De Guiche Pour être de sa famille vous avez le droit de savoir, Roxane et moi même éprouvons un amour commun, Et je m'en vais de ce pas la rejoindre Il se remet à marcher avec son escorte Cyrano De cela je suis au courant, car celle-ci m'a tout raconter. De Guiche, revenant sur ces pas Et bien que vous a-t-elle dit? Cyrano Que la bravoure qui est

du lecteur. Les philosophes antiques, en particuliers les Stoïciens comme Sénèque, considéraient les passions comme des maladies. Ainsi la passion qui consume Phèdre est justifiée comme une maladie de l’âme et du corps. Elle compare d’ailleurs cet amour à un poison au vers 676 : « un poison que Médée apporta dans Athènes ». On remarque également que cette passion qu’éprouve Phèdre pour son beau-fils Hyppolyte éveille en elle une violente jalousie qui par la suite l’amènera à la folie puis à la mort

clairement comme cible. Dans George Dandin, pas de rieurs, c’est la pastorale qui apporte le contrepoint, tout comme les réflexions sur lui-même de George Dandin. Difficile d’avoir de la pitié pour ses personnages : George Dandin est ambitieux, sans amour, ne sait pas pardonner… Alceste n’est pas vraiment persécuté, il est orgueilleux, égoïste… En nous faisant rire, Molière nous impose un jugement. Il condamne la mobilité sociale (conservatisme) et suit le déterminisme naturel. Mais ambiguïtés : le

son amante. Nous pouvons également remarquer que la passion de Madame de Clèves a détruit la stabilité et la tranquillité du couple. En effet, le mariage lui a prouvé une certaine stabilité et un certain repos qu'elle a perdus en s’apercevant de son amour pour le Duc. La passion est destructrice et est contraire au bonheur. De plus, elle fait souffrir. Cette souffrance a été ressentie par la princesse tout au long du roman, bien qu'elle se présente sous différentes formes. Madame

et Mars à son mari, la déesse abattit sa colère sur cette lignée comme l'on peut le voir lors de la tirade de Phèdre, « Ô haine de Vénus ! Ô fatale colère ! ». De plus cette fatalité condamne notre héroïne à aimer passionnément Hippolyte. Cet amour paraît dans un premier temps inceste, mais sachant qu'ils n'ont pas de liens sanguins, il ne l'est que psychologiquement et non physiquement. Puis, poussée par Oenone, notre personnage avoue sa passion à Hippolyte qui la repousse avec dégoût. Cette