Amour Instinct Et Raison Rousseau

philosophieModifier La tradition philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation

la nature, le corps, la chair, sont mauvais et il faut réprimer les instincts. Les libertins érudits ont promu une nouvelle image de la nature, libérée de son interprétation moralisante. Les philosophes reconnaissent dans la nature un modèle mais ils la voudraient morale. Laclos suggère que la nature ignore tout des prescriptions édictées par le christianisme et les tabous sociaux. Nettement plus subversif que son modèle, Rousseau, il montre en Cécile une jeune fille dont la prétendue « pureté » résulte

qu’il n’a pas il le désir, plus l’objet est difficile a atteindre plus il est désirable , c’est la loi du désir. B. Le désir est bonheur Rousseau disait « malheur à qui n’a plus rien à désirer [...]l’on n’est heureux avnt d’être heureux » . La réalité n’a rien de plus a offir qu’elle même. Elle est donc décevante puisque l’on ne peut plus rien imaginer, et donc Rousseau place le bonheur dans le temple du désir et non dans la statisfaction . Dans le plaisir, il y a suppression du désir. La réjouissance

presque sacrée (cf cours sur la religion sur la distinction sacré-profane) puisqu'il est vu comme la seule source de liberté réelle, de justice et d'égalité (cf cours sur la liberté, première partie, second axe, consacré à la liberté politique selon Rousseau et la distinction entre liberté et indépendance). Nous allons donc nous intéresser plus particulièrement aux rapports entre la société et l'État, en nous penchant dans un premier temps sur leurs origines. I Origines de la société et de l'État

personne dont les facultés ne nous apparait pas directement convenable, ce qui permet de dissimuler nos critiques et évite un moment déplaisant et embarrassant pour la personne concerné ainsi que pour la personne ayant fait le commentaire. Pour cette raison, la possibilité de mentir à un coté attrayant, il est utile pour se sortir de situations délicate ainsi que de comblé notre besoin de plaire aux autre qui s’en ressort plus que les mœurs et les principes méprisé qui tourne autour du mensonge. Mais

est-il seulement possible ? Puisque l’homme « qui ne voudrait que vivre vivrait heureux » (Rousseau, philosophe suisse, 1712-1778), c’est vouloir avoir ce qui nous éloigne du bonheur. Il faudrait pour cela qu’existe un état de nature, fiction de méthode qui décrit un état dans lequel la malédiction de la surenchère des besoins ne s’est pas encore produite. Mais n’a-t-il pas toujours été trop tard ? Rousseau le dit bien implicitement, qui reconnaît « que moins les besoins sont naturels et pressants

affirmation, renouveau, comme l’esprit qui doit bâtir un nouveau monde. Des hallucinés de l’arrière- monde Il ne faut plus croire aux choses célestes, qui sont des inventions, et des écarts, mais s’intéresser au sens de la terre. Nier le corps=nier instinct, nier le monde. C’est établir une morale anti-naturelle. Opposition entre un monde fantôme consolateur et le sens de la terre, le corps. Ceux qui croient à un autre monde font du corps, qqch de maladif. Pr Z Il ne faut pas se séparer de son corps

achèverons cette réflexion en expliquant que toute forme de désir est instinctive pour l’homme. L’homme recherche le bonheur tout au long de sa vie. Non pas forcément dans la satisfaction de ses désirs personnels mais par la maîtrise de la raison. Dans un discours de Platon : le Gorgias, il explique que l’on peut vivre une vie juste et heureuse sans toujours vouloir plus. Et pourquoi vouloir plus ? Aujourd’hui, les hommes n’atteignent pas tous le bonheur à cause de leurs multiples désirs.

Valentin (c)  auremare  -­  Fotolia.com De l'Amitié à la Tendresse, recueil de textes sur l'amour et l'amitié est-ce qu!une femme ? Pour la définir il faudrait la connaître. MARIVAUX. 2 / 98 De l’Amitié à la Tendresse e mariage sans amour est toujours aussi faux, qu!il soit dû à la vénalité ou à l!abnégation. Marie LENERU. l faut avoir un ami qu!en tout temps, Pour son bonheur, on écoute, on consulte, Qui puisse rendre à notre âme en tumulte Les maux moins vifs et les plaisirs plus

Le régime des contrats substitué au régime des lois B L'association 188. L'association n'est pas par elle-même une force économique 189. L'association est un acte de pure religion 190. N'obéir qu'à la raison des choses 191. Quand l'association est-elle nécessaire ? C La mutualité 192. Justice et nécessité 193. La réciprocité 194. Définition de la mutualité 195. La réciprocité dans