Amour Me Tue Si Je Ne Veux Dire

satisfactions. LE COMTE Le roi peut, à son gré, disposer de ma vie. DON ARIAS De trop d'emportement votre faute est suivie. Le roi vous aime encore ; apaisez son courroux. Il a dit : “ Je le veux ” ; désobéirez-vous ? LE COMTE Monsieur, pour conserver tout ce que j'ai d'estime, Désobéir un peu n'est pas un si grand crime ; Et quelque grand qu'il soit, mes services présents _________________________________________ Pour le faire abolir sont plus que suffisants. DON ARIAS Quoi qu'on fasse d'illustre

deuxième coup plus insistant se fait entendre Le théseur français : Je ne veux pas être dérangé ! (Un troisième coup plus insistant et le théseur ouvre la porte) Que me voulez vous ? Vous m’interrompez dans de passionnantes lectures. L’enquêteur du domaine maritime : (Entrant suivi du poète criminologiste) Vous les avez tous bien connus ? Vous aviez même réussi à gagner leur confiance ? Alors dites-nous si parmi eux vous pensez qu’il en soit trouvé un pour avoir éliminé les autres

on la lui rendra. CASSANDRE On va le recevoir grossièrement. On ne lui rendra pas Hélène. Et la guerre de Troie aura lieu. 6 ANDROMAQUE Oui, si Hector n’était pas là !... Mais il arrive, Cassandre, il arrive ! Tu entends assez ses trompettes... En cette minute, il entre dans la ville, victorieux. Je pense qu’il aura son mot à dire. Quand il est parti, voilà trois mois, il m’a juré que cette guerre était la dernière. CASSANDRE C’était la dernière. La suivante l’attend. ANDROMAQUE

peintre s’assit sur un pliant, que lui présenta le valet. Ceux qui passaient derrière le couple immobile et muet le regardaient d'un air attristé. Toute une légende de dévouement courait. Il l'avait épousée malgré son infirmité, touché par son amour, disait-on. Non loin de là, deux jeunes hommes causaient, assis sur un cabestan, et le regard perdu vers l'horizon. « Non, ce n'est pas vrai; je te dis que je connais beaucoup Jean Summer. - Mais alors, pourquoi l'a-t-il épousée ? Car elle était

Marguerite Duras Hiroshima mon amour « Hiroshima, c’est ton nom. » En août 1957, à Hiroshima, douze ans après la bombe qui a signé le mort d’une ville entière. Dans la pénombre d'une chambre, un couple se rencontre. Elle, une jeune actrice française d'une trentaine d'années venue pour jouer dans un film sur la paix. Lui, un architecte japonais. Apparemment, c’est l'histoire de leur impossible amour. 1 Tous deux sont mariés et cet amour de rencontre est censé finir à son départ en France.

pour accomplir ses prouesses, lui pose une limite plutôt raisonnable. Pourtant, Yvain ne va pas revenir à temps, il va oublier cette date limite, et perdre ainsi l’amour de Laudine. Mais voyons tout d’abord comment est exposé ici le conflit entre amour et chevalerie. C’est Gauvain, l’un des compagnons d’Yvain, qui lui tient un discours éloquent sur l’amour, et sur comment un chevalier doit se comporter pour rester fidèle à la fois à soi-même et à sa femme. Il commence son argumentation (1970 : 288)

Seigneur, et je puis dire Qu'on ne l'a jamais vu soupirer pour l'empire. La grandeur des Romains, la pourpre des Césars N'a point, vous le savez, attiré mes regards. J'aimais, Seigneur, j'aimais : je voulais être aimée. Ce jour, je l'avouerai, je me suis alarmée : J'ai cru que votre amour allait finir son cours. Je connais mon erreur, et vous m'aimez toujours. Votre cœur s'est troublé, j'ai vu couler vos larmes. Bérénice, Seigneur, ne vaut point tant d'alarmes, Ni que par votre amour l'univers malheureux

XXè siècle qui se voudrait caractérisée par une entente internationale, une mise en commun de toutes les cultures du monde, et donc le métissage en signe de paix, il est très courant de parler de ce thème de l'amour contrarié : les causes d'un tel amour contrarié sont les discordances en terme de culture, d'ethnie et d'Histoire. C'est le cas dans cette comédie musicale qui se veut réaliste, moralisatrice, mais aussi porteuse d'espoir (en effet, la mort de Tony, l'amant de Maria, va pousser celle-ci

 nous  allons  le  lui  donner  car   tous  ici  nous  élevons  des  animaux  et  nous  avons  des  chèvres…  Donnons  luis  ces   chèvres  en  sacrifice  car  c’est  exactement  ce  qu’il  veux…  Fidèle  serviteur   d’ougannda  !  Le  tout  puissant  nous  aime  et  jamais,  je  dis  bien  jamais  il  aura  voulu   notre  peine  en  nous  demandant  de  tuer  nos  enfant  aimer,  et

DIMANCHE, marchand. LA RAMÉE, spadassin. SUITE de Dom Juan. SUITE de Dom Carlos et de Dom Alonse, frères. UN SPECTRE. La scène est en Sicile. ACTE I*, SCÈNE PREMIÈRE SGANARELLE, GUSMAN. SGANARELLE, tenant une tabatière.- Quoi que puisse dire Aristote, et toute la philosophie, il n'est rien d'égal au tabac, c'est la passion des honnêtes gens; et qui vit sans tabac, n'est pas digne de vivre; non seulement il réjouit, et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu