Amour platonique

chacune traduit un sentiment spécifique. Les philosophes grecs avaient pris soin de distinguer cinq ou six sentiments différents : Eros, divinité de l'amour, possédait un versant physique et vulgaire (Aphrodite) et un versant céleste (l'amour « platonique »). Aux côtés d'Eros proprement dit, il y avait aussi la philia (l'amitié), la storge (l'affection), l'agapè (l'amour de son prochain), la philantrôpia (l'amour de l'humanité en général). A chaque type de sentiment correspondait un engagement plus

la construction des phrases (l.12,13,14). Le parallélisme de la construction de ces deux phrases témoigne de la réciprocité de l'effet (qu'ils produisent l'un sur l'autre). L'amour nait du regard mais il n'y a aucun échange de parole, c'est un amour platonique et idéalisé. b. La variation des points de vue Le jeu des points de vue dans cet extrait et complexe car changent. Nous débutons avec le point de vue de la princesse de Clèves qui voit le duc de Nemours puis inversement et la cour qui voit

Sommaire 1 / Biographie de Ronsard 2 / La pléiade 3 / Le projet de Ronsard (Amour à Cassandre) 4 / Différents thèmes présents dans le recueil 5 / Quelques poèmes de Pétrarque 6 / Liens entre les poèmes de Ronsard et les poèmes de Pétrarque 1 / Biographie de Ronsard Ronsard est un écrivain, poète Français du 16ème siècle, né en 1524 et décédé en 1585. Poète de la renaissance, il est l’un des

déclarer leur amour. Il arrive aussi que les poètes parlent de ce thème sans avoir de but précis. Tout simplement pour faire part de leurs expériences, des sensations qu'ils ont déjà éprouvé. Il est donc évident que l'amour nourrit l'inspiration des poètes car il paraît toujours beau et désirable. Seulement, il existe plusieurs façons d'aimer : L'amour familial, dans ce cas, aucune attirance physique n'est ressentie, seule existe la tendresse et l'affection L'amour platonique, qui est une

comme étant sobre & austère, & est comparé au pape comme étant sérieux. Il n’a aucun descendant & est au service de Charles VIIII. * Geneviève de Nanterre : Elle est l’épouse de Jean Le Viste & mère de 3 filles. Elle vit un amour platonique avec son mari vu qu’elle ne lui a donné aucune descendance. Elle est malheureuse & désireuse d’une autre vie (entrer au couvent). * Claude Le Viste : Claude est la fille de Jean Le Viste & de Geneviève de Nanterre. C’est une jeune

plébéien, il ne peut pas imaginer être amoureux de cette femme. Donc la seule chose qu’il puisse espérer c’est éventuellement de la séduire. Ce qui lui permettra de prendre sa revanche sur Mr de Rênal et sur sa condition de plébéien. C’est donc un amour d’ambition, de vanité. Tout cela débouche sur un paradoxe, pourquoi Stendhal ne l’a pas montré au début du roman avec un trouble pour Mme de Rênal ? Si ça aurait été le cas, vu la société, politiquement, cela aurait été invraisemblable, car amoureux

de Charlus en le comparant à un enfant. Qqch de touchant. « Bien que son plaisir fût fini (…), il dirigeait en cercle sur tous ces jeunes gens réunis un regard tendre et curieux et comptait bien avoir avec chacun le plaisir d’un bonjour tout platonique mais amoureusement prolongé. » → recherche perpétuelle de plaisir + plaisir sexuel comme illusion de plaisir amoureux. La prochaine citation semble d'ailleurs confirmer cette idée. « je me rendis compte que ces deux jeunes gens, dont l’un était

pour s’exprimer, la nécessité de maîtriser un art oratoire. Être beau, c’est la possibilité d’être accueillit plus facilement. Epilogue : il répond au prologue. 3 sources de connaissance : - Platon ➢ Fondement de l’Occident. Amour platonique (pas de rapport au sensible) - Xénophon (historien, essayiste et chef militaire) Il va avoir une approche historique de Socrate. - Aristophane (poète comique) La religion occidentale : Connaître. Religion de la connaissance. Pour

ses qualités. Il y a donc là une distinction entre l’idée qu’on se fait de l’être aimé et l’individu lui-même, une opposition entre l’idée et le corps. Ce qu’on va appeler amour platonique au XVIème siècle consiste donc en un amour uniquement intellectuel, idéalisé. Il s’oppose ainsi à l’amour charnel, physique. C’est un amour rêvé qui fait de l’être aimé un idéal de perfection et qui s’oppose à l’amour « vulgaire » de la sexualité. On constate, dans la poésie de Louise Labé, la présence de cette

c'est donc un roman autobiographique* sur le personnage d'un jeune homme appelé René. Il y a en effet bien des éléments de la vie de Chateaubriand dans ce récit : l'enfance solitaire en Bretagne, la dureté du père, l'amour excessif pour sa soeur (amour platonique), les voyages et les tourments incessants d'un jeune homme qui n'arrive à trouver de réels intérets dans rien. René souffre d'un malaise générationnel (précurseur du "mal du siècle") que Chateaubriand va théoriser dans son livre le génie du christianime