Amour platonique

cœur n’y était plus, elle aurait voulu avoir seulement dix francs dans sa commode, pour ne pas le laisser partir. » (Zola, 1969:347) D’autre part, Goujet est distingue de Lantier et de Coupeau, parce qu’il termine en figure idéalisée. Son amour est platonique. Il aime Gervaise sincèrement. Elle pouvait toujours trouver le refuge chez lui. Elle refuse les avances de Goujet malgré son attirance pour lui, parce qu’il était la seule chose pure dans sa vie immorale: (…) « Sa tendresse pour le forgeron

dans le jardin des Capulet. Pendant ce temps, Roméo est au centre de la conversation de ses amis. Mercutio taquin, évoque Roméo comme un pur esprit ; il a de l'amour une conception diamétralement opposée à celle de Roméo : à un amour désincarné et platonique, il préfère un amour charnel et sensuel. D'abord, les amants s'expriment séparément : Roméo, qui a aperçu Juliette à sa fenêtre, dans un long monologue rend hommage à sa beauté ; Juliette pense à voix haute : elle s'adresse à Roméo mais elle ignore

cycle de … à …. Portent tous un nom lié a des choses négatives telle que la mort par exemple le poème « Le poison ». Cependant dans certains autres poèmes il la décrit comme sa « sœur » comme une amie, leur relation est alors décrite comme plutôt platonique. Tout ceci est résumé dans le poème « L’invitation au voyage » : « Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D'aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir » Marie Daubrun 3) Les représentations de la femme chez

imaginaire, avec l'objet de cet amour, et à adopter un comportement particulier (plus ou moins rationnel) en conséquence. En tant que concept général, l'amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne. Toutefois, même cette conception spécifique de l'amour comprend un large éventail de sentiments différents, allant du désir passionné et de l'amour romantique, à la tendre proximité sans sexualité de l'amour familial ou de l'amour platonique, et à la dévotion spirituelle

avait promis devant Dieu pour sa fille que celle-ci resterait vierge. Malgré l'interdit doctrinal énoncé par sa propre religion, pour ne pas succomber à la tentation de Chactas et rester fidèle à la promesse de sa mère, Atala s'empoisonne, malgré son amour fort pour Chactas. Avant de mourir, elle apprend qu'elle aurait tout de même pu se marier avec Chactas en "annulant" la promesse de sa mère. Atala demande également à Chactas de se convertir au christianisme pour elle. La suite du récit d'Atala est

vivre  dans  ce  village  [...]  car  il  sentait entre elle et lui comme de vagues abîmes. »​ [11]  Léon  est   amoureux  d’Emma  mais  ne  sait   que  faire,  il  hésite.  Comme  le  prouve  ce  passage  dans  lequel  il  est  déchiré  entre  son  amour  “impossible”  pour  Emma  et  sa  timidité  :  «  Léon  ne  savait  pas  comment  s’y  prendre  [...]  impossible.  »​ [12]  Léon  perçoit  Emma  avec  les  yeux  de  l’amour,  tout  est  beau  chez  elle  mais  il  reste,  malgré  tout,  gêné  à 

elle ne veut penser qu'a elle-même. Quand Léon accompagne Emma chez la nourrice, Mme Tuvache raconte dans toute la ville, qu’Emma se compromet. Entre Emma et Léon se créent des sentiments, elle prend conscience de son dégoût envers Charles, et de son amour pour Léon, même si elle est déçue par la timidité de son nouvel amant. Maintenant, Lheureux un marchand de nouveautés apparaît dans le roman, et dès sa première apparition il se montre comme un avare. C’est un hypocrite, qui a quand même un rôle très

sou. Abusée par son père, elle a fui sa famille pour venir à Québec. Amante épisodique de Benoît, elle sépare l’amour physique de la passion amoureuse. « Si tu veux qu’on joue encore à frère et sœur ensemble, dit-elle, tombe jamais en amour avec moi. Jamais! »5 Ainsi, Sarah ne désire pas avoir une liaison de cœur avec Benoît qu’elle aime pourtant bien. a.2) Problèmes vécus par des personnages Benoît Étant un surdoué, Benoît se retrouve dans des classes où ses collègues sont plus

Je t'observe avec les yeux du désir. J'ai les mains qui tremblent, la sueur qui perle au coin des yeux. Non, tu ne me fais rien physiquement. Tout ça, c'est dans ma tête. J'ai les neurones qui s'agitent. Ca se secoue dans mon bocal. Oui, c'est platonique. Mais y'a mes yeux qui me trahissent. Je ne regarde pas ton corps, ça fait bien longtemps que j't'ai déshabillé. Je plonge dans ton âme, et bien sûr que tu ne m'aimes pas. Et pourtant, l'envie est là. Mes bras fébrile n'attendent de ça. Mes pupilles

SAVOIR GARDER LES SECRETS..ET SAVOIR SURTOUT ECOUTER..C’EST CELA LA VRAIE AMITIE.. ------------------------------------------------- L’amitié est une religion sans Dieu ni jugement dernier.  Une religion qui n’est pas étrangère à l’amour.  Mais un amour où la guerre et la haine sont proscrites, où le silence est possible.  Ce pourrait être l’état idéal de l’existence.  Un état apaisant.  Un lien nécessaire et rare qui ne souffre aucune impureté. -------------------------------------------------