Amour Tragique

aperçoit et pousse un cri strident. Rosette se tue et Camille, mise au courant du stratagème de Perdican, le quitte. Fin tragique. Le titre sonne comme un avertissement. On ne badine pas avec l'amour, sinon… Il ne faut pas omettre de mentionner les personnages secondaires: dame Pluche, maître Blazius, le baron, dont la puérilité et le grotesque font ressortir tout le tragique de la situation de trois enfants qui jouent avec leur cœur... Une pièce pleine de drôlerie et de finesse, à dévorer. 3) Personnages :

Séquence n° : Affronter l’angoisse, le tragique du drame romantique au théâtre contemporain Séance n° : Le drame romantique, un amour mortel Victor HUGO, Ruy Blas, 1838, acte V, scène 4, p. 324 – 325 Objectifs : Caractériser le personnage romantique S’approprier les procédés des registres pathétique et tragique Intro : lire et proposer une synthèse sur le drame romantique (p. 312 – 313) I. EVOLUTION DES SENTIMENTS DE LA REINE 1) Extrême froideur Froideur et distance :

courage. Ces deux héros se trouvent au centre d'une situation tragique; Phèdre aime d'une passion coupable et honteuse, Hippolyte, son beau-fils et Rodrigue, à la demande de son père, doit aller tuer le père de sa bien-aimée Chimère. En les comparant, nous montrerons tout d' abord leurs points communs, puis nous essaierons de voir leurs différences afin d'évoquer leur héroïsme. En effet, Phèdre et Rodrigue sont deux héros tragiques; ils occupent une place essentielle dans le récit et sont issus

d’amour et surtout d’héroïsme comme une œuvre donnant le « courage d’être des héros ». Edmond Rostand nous présente un personnage tiraillé par son amour pour Roxane et son embarras en ce qui concerne son manque de charme, il ne pense pas être digne de sa belle cousine. Ses tourments amèneront Cyrano à utiliser les lettres qui manie si bien pour déclarer son amour au nom de son ami Christophe de Neuvillette, lui aussi très éprit de la douce Roxanne. Cette issue prend place à la septième scène du troisième

Ce corpus composé de trois extraits de pièce de théâtre, Phèdre et Bajazet de Jean Racine, ainsi que d' Othello de William Shakespeare, appartenant toutes au genre tragique, et dont une intense passion fait partie intégrante de chacune de ces pièces. Ces trois extraits font tous partie du mouvement littéraire du classicisme. Au XVIIe siècle, le théâtre s’est notablement inspiré des œuvre des « Anciens », pour qui les auteurs classiques vouaient une grande admiration. Ils ont en effet reproduit la

cessez de m'offenser. PHÈDRE : O haine de Vénus ! O fatale colère ! Dans quels égarements l'amour jeta ma mère ! ŒNONE : Oublions-les madame ; et qu'à tout l'avenir 35 Un silence éternel cache ce souvenir. PHÈDRE : Ariane, ma sœur, de quel amour blessée Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! ŒNONE : Que faites-vous, madame ? et quel mortel ennui Contre tout votre sang vous anime aujourd'hui ? 40 PHÈDRE : Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable Je péris la dernière et

de supporter mais n’y arriveront pas, cela les mènera à leur perte. Le genre tragique s’illustre parfaitement dans l’œuvre de Jean Racine, Bérénice que nous avons aussi vu au théatre interprété par la troupe du « Théatre permanent ». En effet dans cette œuvre, Titus s’apprête à épouser Bérénice, reine de Judée. Mais devenu empereur, il ne peut se marier à une reine étrangère et est donc contraint de renoncer à son amour. Tout au long de la pièce, nous assisterons au désespoir de ces deux personnages

Projet : Comment V.Hugo fait il de cette pièce un drame romantique ? Axes : 1) utilise des ressources théatral : - - - 2) Un amour impossible -mélange des classes sociales - - 3) Un amour qui conduit a la mort - - L'épiphanie du sublime se déploie en trois temps : le pardon accepté (vers 2242), la prière à Dieu (vers 2245-2248) et enfin l'aveu de la reine (vers 2240 et surtout 2249). Après le paroxisme du suicide, la scène amorce un mouvement descendant qui aboutit à la sérénité et

spectateur par un récit «  in media res » du moment initial de l’intrigue, celui où Médée découvre la trahison de son époux. Elle décide de se venger de manière exemplaire et cruelle. Pour montrer que ce projet la hisse au niveau des héroïnes tragiques, j’analyserai d’abord qu’elle est sous l’emprise d’une frénésie criminelle, et qu’elle lance par la toute la tragédie de la pièce. Le monologue d’exposition a pour but de faciliter la compréhension du spectateur par la narration  d’une situation

de la mort. La scène 7 appartient au registre tragique : Clindor emprisonné se prépare à mourir. Il s’agit d’un monologue lyrique, d’une scène de lamentations dans laquelle Clindor exprime son désarroi. Face à l’imminence de la mort, le jeune homme déclare son amour à isabelle ; dans ce moment intense, il prend en main son destin. Ainsi, paradoxalement, Clindor enfermé libère son âme : il comprend mieux qui il est et se révèle à lui-même dans son amour pour Isabelle. * D’où l’intérêt de se demander