Amour éternel

Ancolie = folie Aubépine = espérance Myosotis = amour véritable, sincère Bouton de pêcher = je suis ton prisonnier Œillet double = toujours ravissante Pervenche blanche = souvenir agréable Rose = amour Primevère des jardins = les mystères du cœur Crocus = joie et jeunesse Fleur de lotus = amour brouillé Rose blanche = je suis dingue de toi Giroflée = beauté éternelle Fougère = sincérité Tubéreuse = plaisir dangereux Tulipe jaune = amour désespéré Lierre = mariage Tulipe rouge = déclaration

sont fait l’un pour l’autre • Le temps > les fleuves coulent, futur • Amour éternel : “toute ma vie” - Beaucoup de pronoms de la 1ere et la 2eme personne > illusion du couple - Venir, accompagner = rien à dire, il n’y a pas de raison de parler > discours qui se base sur la prédestination et l’amour éternel + il lui fait remarquer son charme : “jamais” = négation exclusive = unicité + essaie de la culpabiliser > son amour est supérieur au siien. - Accumulation “je” > il pense d’abord à lui

Introduction Oreste, protagoniste du drame, a poursuivi sans succès Hermione de son amour. Ambassadeur des Grecs auprès de Pyrrhus, il a sacrifié sa mission officielle, celle de ramener Astyanax pour éteindre les derniers feux de la guerre de Troie, à sa passion pour la fille d’Hélène. Même, véritable jouet entre les mains de celle qu’il aime, aveuglé par ses sentiments, il a accepté d’assassiner un ami et un hôte royal. Il est venu chercher le salaire de son crime, la main d’Hermione ; mais cette

nombreux effets sonores : assonance : -ou- : 1er quatrain : « Sous », « coule », « amours », « toujours » : image de la litanie, de la lassitude Allitération : -m- comme amour : « Mirabeau », « amours », « m’en souvienne », « main » x2, « demeure », « comme » x3, « semaines » Rime remarquable avec rime intérieure : « face à face » ; « passe »

maxime « Nous aimons toujours ceux qui nous admirent et nous n’aimons pas toujours ceux que nous admirons » montre que , comme Madeleine de Scudéry , François de la Rochefoucauld pense que l’amour n’est pas naturel, ensuite la maxime « la constance en amour est une inconstance perpétuelle , qui fait que notre cœur s’attache successivement à toutes les qualités  de la personne que nous aimons, tantôt à l’une, tantôt l’autre ; de sorte que cette constance n’est qu’une inconstance arrêtée et renfermée dans

aucune confiance dans les femmes. [Henri Louis Mencken] Quelque mal qu'un homme puisse penser des femmes, il n'y a pas de femme qui n'en pense encore plus mal que lui. [Chamfort] L'homme veut être le premier amour de la femme, alors que la femme veut être le dernier amour de l'homme. [Oscar Wilde] Il faut être indulgent aux parvenus. Songez au surmenage qu'ils s'imposent toute leur vie pour disputer les honneurs à ceux qui les ont mérités. [Ferdinand Bac] Tant que dure l'amour,

promise se retrouve à quelques instants du mariage dans le château de son oncle. Devant l’expression de l’amour de Don Ruy Gomez, Doña Sol reste insensible, et repousse les élans de celui qui devra être son époux. Celui-ci tente de la convaincre de son amour et de la persuader de la futilité de l’amour des jeunes hommes que sont Hernani et Don Carlos. Nous verrons dans une première partie le réquisitoire sévère et pittoresque de Don Ruy Gomez contre la jeunesse, puis dans une deuxième partie, l’éloge

aimée et qui est malheureusement décédée. L’auteur évoque son obsession du temps à travers les lignes de son poème dédié à sa douce. Il se remémore les moments de bonheur vécus autour du lac aux cotés de Julie à travers la nature. Ses souvenirs d’un amour passé le hantent sans cesse. L’obsession du temps Tout au long de son poème, Lamartine mentionne constamment le temps. On observe son obsession envers le temps qui ne cesse de s’écouler à travers les lignes de son œuvre. On comprend à travers

que l'amour qu'il éprouve pour Bérénice n'est pas réciproque. Il aime la reine de Palestine, qui, si elle épouse Titus, obtiendra un des plus vastes royaumes. On peut voir que dans la pièce, les thèmes principaux sont l'amour et le pouvoir. Mais cet amour est souvent lié à une idée ; celle qu'il est impossible, par exemple on peut lire au vers 49 : " Et que peut craindre, hélas ! un amant sans espoir ". La scène 2 de l’acte I fonctionne donc comme une scène d’exposition. Cependant, elle est aussi

contraste avec la brièveté de la réponse du second personnage. L’ambivalence entre le personnage nostalgique et l’autre indifférent et blasé s’accentue encore davantage avec ces deux vers. Cette fois, on devine, concrètement, que le premier évoque un amour passé puisqu’il utilise des mots du champ lexical de l’amour, des stéréotypes amoureux (« cœur », « battre », voir l’âme de quelqu’un en rêve, avoir le cœur qui bat lorsque l’on entend le prénom de la personne que l’on aime..) Vers 11 et 12 : « Ah