Amphitryon Et Le Comique

Lettre à d’Alembert sur les spectacles (1758) Histoire des arts - L’espace théâtral de l’antiquité à nos jours (Manuel pp.212-215 - film : captation de la pièce - assister à une représentation théâtrale Le vaudeville : un genre comique à part Feydeau, Un fil à la patte, éditions Flammarion, Collection « Etonnants classiques » Séquence 5 -méthodologiques : caractériser une comédie, une tragédie, étudier un texte de théâtre -culturels : contextes historique

Exemple de plan de commentaire-Molière, Le Misanthrope, I, 1Molière reste dans l’anthologie de la littérature française comme le grand dramaturgecomique. Ses pièces, mêlant résurgences antiques (Amphitryon), farce à la commediadell’arte (les Fourberies de Scapin) et références directes à ses contemporains (Les précieusesridicules) se présentent souvent comme des critiques acides de ses contemporains, en celafidèle à la devise de la comédie qui « castigat ridendo mores », châtie les mœurs en riant

ridicules L'École des femmes La Jalousie du Gros-René La Critique de l'école des femmes L'Impromptu de Versailles Le Mariage forcé La Princesse d'Élide Tartuffe Dom Juan L'Amour médecin Le Misanthrope Le Médecin malgré lui Pastorale comique Le Sicilien ou l'Amour peintre Amphitryon Les Fourberies de Scapi Les Femmes savantes Le Malade imaginaire Résumé : Ecole des femmes : Acte I Scène 1 : Chrysalde / Arnolphe C’est l’histoire de deux amis qui discutent. L’un, Chrysalde préfère les femmes intelligentes

n’a-t-elle pu s’en rendre compte avant, elle qui aimait Christian et voyait son cousin Cyrano très souvent ? De même, l’introduction d’éléments féériques et merveilleux, étrangers à la réalité, n’empêche pas l’illusion théâtrale de s’installer. Dans Amphitryon, Molière fait intervenir deux dieux dans sa pièce, Jupiter et Mercure, qui ont tous deux la faculté de prendre l’apparence des humains. Pour séduire Alcmène, épouse fidèle d’Amphitryon, Jupiter décide de prendre l’apparence exacte de son mari et

reviendra de loin en loin (Le Festin de Pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avare et Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là (Le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron, les fabliaux)… Cette conception originale de la création dramatique

fables ? (3 points) Vos réponses comporteront une trentaine de lignes environ. Travail d’écriture (14 points) Vous traiterez ensuite, au choix, l’un des deux sujets suivants : Écriture d’invention Vous écrirez en prose et dans un registre comique la suite de la fable : « La génisse, La chèvre et la brebis en société avec le lion ». Le lion parti, la génisse, la chèvre et la brebis dialogueront sur le mode argumentatif. Le récit se terminera à votre gré. Votre devoir comportera environ quarante-cinq

Dufresne | 1655 | Molière devient auteur dramatique. Il écrit l'Etourdit, qui est joué à Lyon | 1656 | Il écrit le Dépit amoureux qui est créé à Béziers | 1658 | Molière a trente six ans. Il rentre à Paris fort d'une double expérience d'acteur comique et d'auteur dramatique. Il joue devant le jeune Louis XIV, au Louvre, le Docteur Amoureux. Cette pièce plaît au roi qui accorde à la troupe de Molière le droit de partager avec les Comédiens-Italiens, la salle du Petit Bourbon. | 1659 | Molière

Saint-Sacrement, et tend au jansénisme. Le théâtre est alors pour lui synonyme de perdition et il chasse de sa maison la troupe qui passe alors au service du gouverneur de Normandie. Molière renonce à ses prétentions tragiques : il est une grande vedette comique et redevient chef de troupe en 1650. Il compose des farces sur le modèle italien, avec un seul canevas. Il crée le personnage de Mascarille dans ses premières vraies pièces : L'Étourdi (Lyon, 1655), Le Dépit amoureux (Béziers, 1656). En 1658 il fait

d’Aubigné. Les Tragiques (1616) • T. L’Hermite. Œuvres poétiques (1627) • P. Marbeuf. « La Mer de mes larmes », dans Recueil de vers (1628) • A.-G. de Saint-Amant. Œuvres poétiques (1629-1649) Littérature narrative • T. Viau. Fragments d’une histoire comique (1623) • T. L’Hermite. Page disgracié (1643) (roman d’initiation) Littérature dramatique • T. Viau. Pyrame et Thisbé (1621) • A. Hardy. La Force du sang (1625) • P. Corneille. Le Cid : tragi-comédie (1637) Guide littéraire, 2e édition Reproduction

arriver à ses propres fins, et tenter de détourner Harpagon des siennes : en vain d’ailleurs, puisque la fin arrivera par un tout autre biais. Et la tactique de chacun donne à chacun un trait de caractère qui le détermine à son tour. C’est le rouage comique de la pièce. C’est là qu’elle est une comédie : nous savons ainsi, nous spectateurs, des choses que Harpagon ne sait pas. Il n’y a pas de suspens, mais il y a des intrigues (au sens de gens qui intriguent pour arriver à leurs fins), et bien sûr, des