Analepse

lignes de descriptions. Une ellipse : Le narrateur passe sous silence certains événements : "2 ans plus tard " Un sommaire : Le narrateur résume, ne détaille pas un moment. (Répétitif.) Une anticipation/Une prolepse : Un bond dans le temps Une analepse : Un bond en arrière ou flashback. Auteurs du réalisme : Champfleury (1821-1889) – Préface au Réalisme en 1857 Duranty (1833-1880) – Fondation de la revue Réalisme (1856-57) Flaubert (1821-1880) – Madame Bovary en 1857 Balzac (1799-1850)

Fontaine) Allégorie Représentation concrète d’une idée abstraite -La Marianne pour la République -La colombe pour la paix Anacoluthe rupture de construction. « Vous voulez que ce Dieu vous comble de bienfaits / Et ne l’aimer jamais ? ». (Racine) Analepse En narratologie, c’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. Anaphore Répétition de(s) même(s) terme(s) en début de plusieurs phrases, de plusieurs vers, de plusieurs propositions Il n’y a pas d’amour qui ne soit

portrait de toute la société de son époque. Il écrivit Gobseck en 1830 mais l’œuvre fut réécrite et publié en 1840. Gobseck est un personnage éponyme, c’est-à-dire que son nom est le titre de l’œuvre, que celle-ci étudie son portrait implanté dans une analepse, un retour dans la mémoire, les sentiments du narrateur. Le portrait de Gobseck est un portrait physique détailé au niveau du visage: - "l'Académie me permît de donner le nom de face lunaire" -" Les traits de son visage, impassible[...], paraissaient

toutes actions mises de côté (descriptions ou commentaires du narrateur) L’ellipse : les évènements sont passés sous silence. L’ordre de la narration Il est souvent chronologique, mais le narrateur peut choisir de faire des retours en arrière (analepse) ou des anticipations (prolepse) La description Elle constitue une pause dans le récit et révèle souvent le sens de l’œuvre. Elle est généralement au présent ou à l’imparfait.  Ses fonctions peuvent être : Ornementale ou esthétique Documentaire

de la bonne éducation de Des Grieux. 2)Le cadre du souvenir, mise en abyme de la mémoire de Des Grieux -Le cadre du souvenir : « J’avais marqué le temps de mon départ d’Amiens » Plus que parfait : j’avais marqué, récit au passé, qui induit une analepse. Indication spatio-temporelle de la rencontre : Amiens. -La réflexion de Des Grieux, moteur de la subjectivité : « Hélas ! Que ne le marquais-je un jour plus tôt ! » Interjection : hélas ! Montre un regret. Prise de recul du narrateur, critique

« lâchant.. attendant.. corrompant.. désorganisant, etc». Toute cette panoplie de pronoms, noms, adjectifs et propos qui incombe à Nana souligne sa dominance dans l’article. L’auteur essaye d’analyser ce portrait. Il commence l’article par les analèpses : « … était l’histoire… quatre ou cinq générations d’ivrognes. » et « Elle avait poussé dans un faubourg… » pour donner une idée sur les antécédents pourris de Nana, lesquels ont une influence psychologique sur son apparent, comme le souligne

s’agit d’une période que l’on étudie peu en France.Par ailleurs le récit est vivant, l’intrigue haletante. L’écrivain agrémente le récit de sa vie de nombreuses anecdotes. De plus la chronologie des événements est très souvent bouleversée par des analepses qui dynamise la narration. En outre l’histoire est relativement complexe tant par la diversité des thèmes abordés que par la forme du texte, les nombreux flashbacks et la déstructuration des phrases. L’histoire de cette femme m’a également touché :

(l24) = sous-entend que Louis est tout- « quitteras » (l26) = vb, euphémisme, désigne la mort- « laisseras » = épanorthose, « quitter » devient « laisser », départ volontaire- « moins encore » (l27,29,30) = adv, rép, effet de boucle, prolepse devient analepse, Antoine se sent diminué, colère venant d’un amour malmené- « reprocher », « retrouver » = vb à l’infinitif, désigne la culpabilité d’Antoine- « juste » (l28, 31) = mot étant celui du titre, tragédie du ressentiment et de la culpabilité- « ressentiment »

L’auteur emploie le présent de l’indicatif pour raconter le présent de son personnage qui vit heureuse, mais mourante, à Cannes, au soleil. Lorsque cette femme se « souvient » (l. 45) de son passé, le narrateur emploie les temps du récit dans cette analepse qui permet au lecteur de comprendre le chemin parcouru par le personnage. C’est donc la phrase « Et elle songe » (l. 44) qui clôt la présentation du présent du personnage et la phrase « Elle se souvient » qui amorce le récit de son passé. Le changement

scène faites par l'auteur, ce sont des description assez précises et fidèles à un tel moment. L'auteur utilise un registre plutôt dramatique ce qui est tout à fait approprié pour pouvoir faire des descriptions correctes (il utilise également une analepse) mais sur la fin ses descriptions sont plutôt positives pour une conclusion. L'auteur utilise le champ lexical de la souffrance de la colère et de la tristesse, ce qui permet à ses lecteurs de bien comprendre les émotions éprouvées par le(s) personnage(s)