Analepse

>Rosalie Effet de réelle, toponymes, éléments autobiographique400052159000. Paris = négative, elle préfère la campagne comme Maupassant. b)Les temps -« 1819 »  « 2 mai » Jour de sa sortie du couvent 4000525082500-« Sortie la veille du couvent » >Analepse (retour en arrière) Donc l’action commence le 3 mai Astuce du calendrier permet de donner une info très précise de façon réaliste. c)Début de l’action -Jeanne avec ses parents va rejoindre le château de famille. -L’élément perturbateur = la pluie ;

agenouillé"(1) imparfait descriptif "Il répondait gaiement"(63) passé simple "L'évêque avait terminé sa harangue"(32) plus-que-parfait qui marque l'antériorité. Il maîtrise le déroulement du réciten évoquant le passé des personnages. Il fait une analepse (l 8 à 14) pour évoquer les motifs de la réaction de Mme de Walter, pour évoquer également les relations qu'a entretenue Georges Duroy avec Mme de Marelle (l 53 à 56). Il fait aussi une allusion à son milieu social d'origine (l 28 à 31) pour suggerer

Cette description spatiale élargie nous illustre un combat durement mené, et une lutte impitoyable entre les deux femmes. On a alors l’image d’une course entre Paquita fuyant et San real munie de son poignard en train de la courser. Il y a donc une analepse , et une mise en abyme de l’histoire dans l’histoire. De Marsay, le témoin, de part les traces dans la chambre, reconstitue la scène de leur combat. Mais l’aspect du roman noir n’est pas la seule arme dont use Balzac pour rendre ce récit effroyable

"Assurance vie " "Retraite", "prévoyance" Voix off masculine "CNP Assurances vous assure la vie, votre vie, toute la vie" La musique continue puis se stop Courtes scènes se situant à des époques différentes Retour en arrière : analepse : flash-back Côtés esthétique et musical

Oisifs = qui ne travaillent pas. Armorial = répertoire des familles nobles, avec leurs blason. Répudiation = rejeter. Parvenu = réussissent à parvenir. Ellipse = vide -> moment non raconter. Anticipation = retour en arrière -> flashback. Analepse = anticipation. Prolepse = parler du futur. Lyrisme = registre littéraire ou l’écrivain ou poète exprime ces sentiments. Mœurs = coutume. Vices = façon d’agir considéré comme moralement ou socialement mal, défauts, vertu. Énumération = suite

énumération ou dans la construction d’un paragraphe. « Va, cours, vole et nous venge » Corneille le cid. Anacoluthe = L’anacoluthe est une rupture de construction. « Vous voulez que ce dieu vous comble de bienfaits / Et ne l’aimer jamais ? » Racine Analepse = C’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. Anaphore = Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot en début de phrase. Antanaclase = Une antanaclase est la reprise d’un même mot avec un sens

du v.1 au v.36 (rappelons que ce sont les temps du récit) ; ensuite, rupture avec le tiret baudelairien et le changement de temps : on passe au futur. - Voir « Rappelez-vous »  --> impératif présent --> lui donne l'ordre de revenir en arrière = analepse (= retour en arrière). =>  Récit d'un souvenir d'une promenade dans la nature, au cours de laquelle ils rencontrent une charogne. Transition: Tradition des poèmes amoureux : un couple se promène dans une nature sereine et la femme est l'objet d'une

baudelairien et le changement de temps : on passe au futur . - Voir «  Rappelez-vous  »  --> impératif présent --> lui donne l'ordre de revenir en arrière = analepse (= retour en arrière). =>  Récit d'un souvenir d'une promenade dans la nature, au cours de laquelle ils rencontrent une charogne.Transition : Tradition des poèmes amoureux : un couple

des événements. Le roman peut raconter une histoire en présentant les événements dans l'ordre chronologique de leur déroulement. Il peut ne pas respecter l'ordre chronologique, grâce à des retours en arrière qui rapportent des événements du passé (analepse, ……………….). L'auteur peut aussi anticiper sur des événements qui se produiront plus tard dans l'histoire (……………….., anticipation). Le rythme du récit. Il dépend du rapport entre la durée des faits racontés et la longueur du texte consacré au récit

présente-il les camps comme le lieu de la déshumanisation? La problématique du cours : Brodeck et les autres, ou comment vivre. A vous de faire l’introduction en précisant –(a) qu’on est ici au tout début du récit, (b) que ce passage constitue une analepse, mais pas la première, (c) qu’on entre de manière abrupte et violente dans le monde des camps : le passage qui précède suggère la guerre et la déportation, le passage que nous étudions nous plonge dans l’horreur. 1. L’horreur 1.1. L’horreur des faits