Analyse D Andromaque

BERRO Jeanne 2nd1 QUESTION DE CORPUS Que dénoncent ces quatre textes ? Analyser les différents procédés littéraires utilisés à cette fin. Ce corpus est constitué de quatre textes dénonçant tous la même idée. On retrouve du souverain ou de la République, un texte de Jean de la Bruyère, écrivain français du XVIIe siècle appartenant au mouvement littéraire du classicisme. Le second texte est l’article « Paix » de l’encyclopédie, rédigée en partie par Denis Diderot, écrivain réputé du siècle

        Il les compare ensuite avec de nombreuses femmes faisant partie de mythes et d’histoires : Antigone : (œuvre grec) Jeune femme qui préfère se faire tuer que de laisser le corps de son frère non-enterré. Symbole de l’amour fraternel Andromaque : (œuvre grec) Veuve qui fait semblant d’accepter de se marier avec un autre homme pour sauver la vie de son fils alors qu’au final elle préfère se tuer que de trahir son premier mari. Elle est donc un symbole de la loyauté mais aussi de l’amour

de l’Homme dans ce mouvement littéraire. Du côté théâtrale, nous notons l’ajout de trois fondamentales : unité de lieu (un seul endroit), d'action (intrigue logique) et de temps (une unique journée). On peut observer ces caractéristiques dans Andromaque de Jean Racine. Le Classicisme veut traduire l'expression privilégiée du «génie français», et il est vrai qu'avec les écrivains classiques, la langue française parvient à la clarté et à l'élégance qui assureront son rayonnement pendant tout le XVIIe

netteté. Contrairement au héros cornélien, le héros racinien est attiré par ses passions, et connait une analyse psychologique très profonde. Pour lui, la passion tragique est l’amour irrésistible, égoïste et surtout impossible. Ce dernier est la cause d’un conflit et de la jalousie qui, souvent, se transforme en haine. Cette haine menée dans le crime et l’amour dans le suicide. Andromaque (1667) et Phèdre (1677) sont deux œuvres connues de Racine, qui illustre les différents points déterminés

le 20 novembre 1978 à Rome, Italie était un peintre, un sculpteur et écrivain italien dont les œuvres ont été unanimement admirées des surréalistes jusqu'en 1925 et qui le rejetèrent tout aussi unanimement après2. Sommaire  [masquer]  * 1 Biographie * 2 Analyse de l’œuvre * 2.1 La période métaphysique * 2.2 Les Énigmes * 2.3 Ariane * 2.4 Les Mannequins * 3 Anecdotes * 4 Œuvres * 5 Bibliographie * 6 Articles connexes * 7 Notes et références | -------------------------------------------------

Antigone ou Électre. Euripide continue quant à lui d'être lu à travers les tragédies Alceste, Médée, Hippolyte, Andromaque, etc. Euripide est quelque peu oublié, au profit de ceux qui l'ont beaucoup imités, les tragédiens classique français du XVIIe siècle. En effet, au XVIIe siècle, les Racine, Corneille etc… admirent tant ces auteurs, pour leur durabilité et l'universalité de leur analyse psychologique notamment qu'ils écrivent eux-mêmes des tragédies semblables dans une langue poétique et majestueuse

dilemme : deux exigences contradictoires dont il est obligé de choisir l'une. C'est cette obligation de choisir qui fait sa grandeur. Le héros a conscience du pouvoir du destin; Exemple : Oreste : "Je me livre en aveugle au destin qui m'entraîne" (Andromaque). L'action se situe dans le passé (mythologie, Antiquité, Bible) L'acte I est l'exposition, dans laquelle le noeud (problème, conflit) est présenté; les trois suivants font progresser l'action dramatique.Le dernier acte est en général celui de

La passion et la fatalité dans le théâtre de Racine : La galanterie, courant esthétique majeur alors que Racine écrit Andromaque, dépeint avec un raffinement subtil les méandres des sentiments amoureux. Si Racine en reprend le vocabulaire et les images (« feux », « fers », « flammes »), il les réactive, leur restitue un sens propre : mourir d'aimer devient une réalité et

d’unités assurent la concentration de l’attention du spectateur, cela évite de le perdre au cours de la pièce Cela ne l’empêche pas d’avoir pu acquérir un aussi grand triomphe avec ses autres pièces. Pour se faire il utilise la comédie pour pouvoir analyser la société et les différents aspects de l’Homme. Ce dramaturge faiseur de farce s’inspire des grecs comme Esope ainsi que des latins comme Plaute et de leurs lois fondamentales de l’esthétique classique.

public précis, la Cour, l’idéal est d’inspirer le respect du régime royal, le beau est ce qui est conforme à la morale chrétienne. Pour eux, peindre le vrai c’est peindre la nature humaine, peindre l’homme. La peinture des passions humaines, leur analyse, confèrent un caractère psychologique à la littérature classique. Le classicisme répugne à introduire le laid, le bizarre, le fantastique et réduit par là son domaine d’observation. Le beau seul devait être imitable. Pour leur imitation les écrivains