Analyse D Andromaque

le paradoxe tient compte du contexte et du sens commun. Il contient une contradiction et un raisonnement qui sont parfois absurdes ou qui n'ont pas de sens logique, mais qui stimulent la réflexion. Il faut donc aller au-delà du sens des mots et analyser l'énoncé de façon globale. 1. Les premiers seront les derniers. 2. Les crimes engendrent d'immenses bienfaits et les plus grandes vertus développent des conséquences funestes. -Paul Valéry3. Paris est tout petit, c'est là sa vraie grandeur. -Jacques

Modernes. 4) Une certaine vision de la réalité : Les classiques, obéissant à Aristote, veulent instruire leurs lecteurs. Or, pour instruire, il faut décrire la vérité. Donc, le classicisme veut exposer la complexité de la vie psychologique et analyser les comportements des hommes. Mais la réalité est idéalisée, ou au moins crée pour plaire et frapper les esprits. On observe alors une contradiction. Les classiques ont créés l’image de l’ « honnête homme », et les romantiques sont contre cette

poème d’amour. La peine était-elle trop vive pour être dite d’emblée ? Ou le poète était-il surtout séduit par les beautés du château ? Il semble ne recourir au thème amoureux que pour la surprise attendue de la chute. xvii e siècle 107 Analyse 5. Malherbe a voulu faire de la poésie un discours vibrant, logiquement articulé. Racan rapporte qu’il voulait que « les élégies disent un sens parfait de quatre vers en quatre vers, même de deux en deux s’il se pouvait ». Cette rigueur se trouve

Analyse d'une image du film de Méliès, Voyage dans la lune. Méliès, Voyage dans la lune © MELIES/ Album / akg – images. Analyse d'un tableau de Gauguin, « Fatata te miti » Molière, Dom Juan, 1665 ACTE III Scène première Dom Juan, en habit de campagne, Sganarelle, en médecin. Sganarelle, en médecin. Ma foi, Monsieur, avouez que j’ai eu raison, et que nous voilà l’un et l’autre déguisés à merveille. Votre premier dessein n’était point du tout à propos, et ceci nous cache bien mieux que

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 214 Couverture : T.C.D. : Prod DB © 20th Century Fox/DR : Roméo et Juliette • Rue des Archives/PVDE : Georges Méliès • ArtComArt/V. Tonelli : Andromaque • Collection ChristopheL : L’ami retrouvé • Collection ChristopheL : Le cahier • Rue des Archives/PVDE : Colette • © Éditions Belin Toutes les références à des sites Internet présentés dans cet ouvrage ont été vérifiées attentivement à la date

qui, déjà, marque l’histoire de la théorie et de la pratique du théâtre dans de nombreux pays. Réflexion sur l’avant-garde des années soixante, travail sur le « théâtre environnemental », connaissance de première main des formes nonoccidentales, analyse du performance art le plus contemporain, ces pages témoignent d’une pensée en mouvement. Il était capital de traduire cette œuvre pour qu’enfin le public français se penche sur la notion de performance telle que Richard Schechner la définit. Une notion

novateur [page 4] Entre intérieur et extérieur [page 6] au théâtre de Sartrouville du 6 au 23 octobre 2009 Médée, Catherine Germain dans la maison Médée, figure mythologique et femme [page 8] Représenter le personnage de Médée [page 9] Analyse comparée de plusieurs traductions [page 11] Mise en bouche, mastication [page 12] © C. RAYnAuD DE LAGE Édito Médée interroge avec force les rapports au sein du couple, le statut de la femme, le sens à donner au sacrifice des enfants, autant

sous l'influence des théoriciens, les intrigues se simplifient et les décors se dépouillent pour aboutir à ce que l'on appelle aujourd'hui le théâtre classique. L'Abbé d'Aubignac joue un rôle important car dans La Pratique du théâtre8 en 1657 il analyse le théâtre antique et le théâtre contemporain et en tire des principes qui constituent les bases du théâtre classique. Cette réflexion sur le théâtre est alimentée tout au cours du siècle par doctes et dramaturges. Boileau dans son Art poétique en

dénonçant les travers de son époque avec par exemple «Les précieuses ridicules» (1659) ou bien «Don Juan» (1665). Jean Racine lui, emprunte ses sujets à la mythologie grecque ou a l'histoire ancienne. Il se réfère donc de textes anciens. Par exemple «Andromaque» (1667) «Phèdre» (1677) la fable: avec Jean de la Fontaine qui renouvelle le genre antique de la fable.- Portrait et maxime: Les «Maximes» (1665) du duc de La Rochefoucauld qui réflètent sa vision pessismiste. Romans: souvent des romans

divers (édition, etc.). Par exemple, collection « Etonnants classiques », édition Flammarion. Une tragédie de Corneille ou Racine ; une comédie de Molière A choisir parmi les titres suivants. Le Cid (Corneille, 1637), Horace (Corneille, 1640), Andromaque (Racine, 1667), Bérénice (Racine, 1670), Phèdre (Racine, 1677), L’Ecole des femmes (Molière, 1662), Dom Juan (Molière, 1665), Le Misanthrope (Molière, 1666), Les Femmes savantes (Molière, 1672). Liens avec ce que nous avons fait cette année en seconde