Analyse De Diérèse

formes accordées à l'évolution des sentiments, de l'emportement au calme relatif. Nous aborderons ce texte par une analyse méthodique autour des intérêts d'une scène d'exposition : - la révélation d'une action, - la présentation des personnages. 4. Commentaire : Axe 1 : L'action : Le mot action est prononcé par Alceste au début de la tirade : il est valorisé par la diérèse, donc porteur d'un message important. On remarque qu'un verbe de perception survient peu après (" Je vous vois

animé où les morts invitent les vivants à aimer. Mais ce poème donne surtout la conception de Victor Hugo de la relation entre le monde des vivants et celui des morts. Analyse : Premier mouvement (Strophe 1&2) : Un paysage crépusculaire qui s’éveille· V1. Mise en place du paysage : insistance sur la dimension mystérieuse avec la diérèse : Mys/té/ri/eux.· V2 : rejet sur « frissonne (évocation du froid, de la mort), puis mis en place d’une profondeur et un mouvement qui n’est dévoilé qu’au vers suivant

dessous » - « troubler » répété de façon affirmative par le loup v 7 & 18: aucune argumentation négative par l'agneau - Une seule phrase v 10 à 17: argumentation logique → « considère » constat+analyse → « par conséquent » = lien logique question rhétorique logique: v 20 « je n'étais pas né » } Brièveté de l'argument irréfutable «  je n'en ai point » } Arguments biologiques → Innocence de l'agneau souligné par: « je tette encore ma mère »

état de deux mondes parallèles: celui de "l'azur" qui correspond à "l'idéal", au céleste et celui des humain, terrestre fait de sensations. Cette théorie, qui rappelle la théorie de Platon sur les idées, est reprise dansCorrespondances. Baudelaire analyse les moyens d'établir une communication entre ces deux mondes, rôle du poète. Pour cela, deux types d'analogies sont suggérées: les corresqpondances verticales (monde terrestre/monde supérieur) et horizontales (entre les différentes sensations. Le

état de deux mondes parallèles: celui de "l'azur" qui correspond à "l'idéal", au céleste et celui des humain, terrestre fait de sensations. Cette théorie, qui rappelle la théorie de Platon sur les idées, est reprise dans Correspondances. Baudelaire analyse les moyens d'établir une communication entre ces deux mondes, rôle du poète. Pour cela, deux types d'analogies sont suggérées: les corresqpondances verticales (monde terrestre/monde supérieur) et horizontales (entre les différentes sensations. Le

enseignement moral. Dans « les obsèques de la lionne » ( livre VIII, fable 14 ), le fabuliste démontre l'hypocrisie de la cour et relate la façon dont un roi (Le lion ), trop crédule, se fait duper par un cerf très habile. Dans un premier temps, nous allons analyser le récit et la forme du discours, puis la morale. En ce qui concerne la narration, l'auteur utilise des expressions pour ridiculiser les courtisans en dénonçant leur agissements ( « peuple caméléon, peuple singe ») ici, c'est une imitation.

politique, les problèmes de la société de ce temps et surtout l’amour. Ce dernier thème a été le plus utilisé de cette époque. Ronsard écrivit beaucoup de poème sur l’amour comme « L’autre jours que j’étais» écris en 1578. Le but de la prochaine analyse est de montrer que le poème étudié s’articule autour de thèmes précis, eux-mêmes soutenus par divers procédés d’écriture. Dans les prochaines parties de ce texte, il y aura un résumé de l’œuvre, une étude des thèmes et des figures de styles appuyés

et vers de six syllabes. Versification : les strophes comportent des vers à rimes croisées. « Dans la nuit éternelle emportés sans retour » «  Où tu la vis s’asseoir ! » Analyse : Enonciation : strophes 2 à 5 : « je » désigne le poète Lamartine « tu » désigne le lac auquel s’adresse le poète ;

Pour un texte théâtral * sa forme : fixe (sonnet, ballade, rondeau) ou irrégulière (vers libre, prose) ? * sa métrique (= mesure du vers) : type des vers * sa prosodie (= rythme des vers) : place des césures, rejets, contre-rejets, enjambements, diérèse * ses sonorités (musicalité) : rimes, assonances, allitérations, refrains * le moment de la pièce : exposition, noeud, dénouement * les personnages : statut social, nom, niveau de langage, rôle, rapport ; * la parole théâtrale : double énonciation

donne aux mers. Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête, Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux, Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête, Sans que rien manque au monde, immense et radieux ! 22 avril 1829. Analyse L’épigraphe est empruntée aux “Contes de la veillée” de Charles Nodier. L’aveugle Gervais contait les souvenirs d’un lointain amour : «Eulalie seule me servait de guide, enchantant mon oreille des impressions qu’elle recueillait à l’aspect de tous