Analyse De Situation Toilette Intime

coté sont essentiellement des prothèses chirurgicales. Je vais, dans un premier temps, vous présenter deux analyses de situations concernant deux patients du service. Puis, je vous décrirai une analyse de pratique de soin qui m’a questionnée. I. ANALYSE DE SITUATION N°1 A) Recueil de données 1) Présentation du patient Etat civil : Nom : Mr L

services, le secteur MEDERIC (Alzheimer), l'aile jaune qui se trouvent au rez-de-chaussée, l'aile bleu et rose l'une opposé a l'autre qui se situent au 1er étage. Ce sont des chambres individuelles, toutes équipées d'un sanitaire pour personne en situation de handicap (WC, douche, et lavabo) 4 restaurant La structure possède ses propres cuisines et les repas sont servis dans deux salles à manger distinctes lors de deux services : pour le repas de midi de 11h30 à 12h15, Le repas du soir de 18h15

il se sentait intégré dans un équipe soignante car pour nous au cours de nos différents stages nous avons eu l’impression que le psychologue est évincé donc nous voulions confirmer ou désapprouver notre première idée. Avant de commencer notre analyse nous allons donner une définition du psychologue en gériatrie d’après nos recherches. Ensuite, I) Définition du psychologue en gériatrie II) Sa formation III) Son rôle IV) Ses valeurs V) Sa conception du soin et des résidents VI) Son travail

Le journal d'Anne Frank I- Présentation du livre Ce livre a était rédigé par Anne Frank c'est un journal intime donc sont récit est autobiographique. La première édition date de 1947, aux Pays-Bas, version d'Otto Frank (le père d'Anne) et de 1950, traduction française, editions calmann-levy paris. Une édition étudiée (traduction française) et paru en 2001, non censurée, avec des passages inédits et des rajouts d'Anne Frank. Le journal a était rédigé du 12 juin 1942, environ un mois avant

d’emprunter des bijoux à Jeanne ? Conclusion : Comment l’appartement de Mathilde et celui de Jeannesont-ils présentés ?Comparez l’aspect physique et les tenues vestimentaires de Mathilde et de Jeanne dix ans après le début de l’histoire.Comparez la situation familiale de Mathilde à celle de Jeanne.Conclusion : | p. 35 : c’est M. Loisel qui conseille à son épouse d’aller voir Jeanne pour lui emprunter des bijoux.p. 28 : Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu’elle ne voulait plus aller voir

page 15 à 21 III) les principaux objectifs de la maison de retraite : page 21 3ème Partie : I) Description et analyse de mes propres activités : page 22 à 25 II) Ma situation particulière : page 26 à 29 Conclusion :

l’enfant. « farouche » = l’enfant a fait comprendre aux soldats sa surprise, sa colère. On retrouve dès la 1ère partie de l’hémistiche l’adjectif « pendant » qui met en valeur la raideur de ses membres. V.H accentue l’horreur de la situation en montrant un corps qui semble implorer de l’aide. A partir du vers 8, la description est interrompue pour donner un spectacle inattendu sur les places de l’enfant. Par une expression violente : « on pouvait mettre un doigt… » = rappel du vers 1

exprès contre l’épaule qu’elle cherche de son front à présent pendant qu’il retourne une à une les épingles de ses cheveux avec l’habileté d’un chercheur de poux , les déposant sur la table de chevet où elle saura les retrouver demain matin pour sa toilette, après qu’il lui aura passé l’enfant qui se réveille et pleure jusqu’à ce que , couché sur sa mère, il se mette à téter goulûment , des larmes de lait coulant de sa bouche . Une fois rassasié, son père l’élèvera très haut à bout de bras dans le pâle

en lieu de vie)M.S a était admis au service des urgence car il a été victime d’un accident de la voie publique le 10 AvrilJours postopératoires ou jours d’hospitalisation :(ou durée du séjour dans l’institution pour les stages en lieu de vie)J-7 Situation de famille :Enfant(s) ou personne(s) à charge : 1 fils de 10ans a chargeSituation sociale : MariéePrise en charge sociale à l’hôpital : Sécurité sociale : Mutuelle : Prise en charge sociale dans un établissement pour personnes handicapées :Aides

et prennent en charge des personnes présentant une pathologie organique chronique ou une polypathologie, soit active au long cours, soit susceptible d’épisodes répétés de décompensation, et pouvant entraîner ou aggraver une perte d’autonomie. Les situations cliniques susmentionnées requièrent un suivi médical rapproché, des actes médicaux itératifs, une permanence médicale, une présence infirmière continue et l’accès à un plateau technique continu . Les USLD prennent en charge des patients qui