Analyse Du Discours De La Servitude Volontaire

naturel laïc Selon Grotius, Pufendorf, Thomasius, le droit naturel se découvrirait par la raison humaine et non par l’observation (projet d’art 1 du code civil). Le droit naturel serait un contenu, un ensemble de règles. Grotius admet aussi un droit volontaire naissant de la volonté individuelle. Influence du droit naturel Hayek : «  droit est plus ancien que la législation ». Il distingue les règles d’organisation d’une société (=imposées par le législateur) et les règles de juste conduite (= découvertes

Institut d’Etudes Politiques de Paris Programme doctoral : Analyse sociologique du changement ECOLE DOCTORALE DE SCIENCES PO Observatoire sociologique du changement (FNSP-CNRS UMR 7049) Doctorat de Sociologie pastel-00004003, version 1 - 21 Jul 2010 Le rapport au politique des personnes en situation défavorisée Une comparaison européenne : France, Grande-Bretagne, Espagne Murielle Bègue Thèse dirigée par Serge Paugam, directeur de recherche CNRS (Centre Maurice Halbwachs) Soutenue le 4 décembre

seules luttes sont des luttes de pouvoir. Les 1ers écrits datent du 16ème siècle => monarchomaques (critiques de la monarchie) : Pierre BAYLE et Pierre JURIEU qui développement des critiques contre la monarchie Etienne de la Boétie De la servitude volontaire (17 ans) Jean Bodin (6 livres sur la république) donne au pouvoir monarchique ses lettres de noblesse La situation est très peu contestée durant les pré-Lumières. Spinoza a rédigé un traité théologico-politique, mais il ne s’attaque pas

droit réel, en se concentrant sur le droit positif mais tout en gardant une dimension philosophique. Les philosophes s’écartent trop du droit, et les juristes ont des lacunes en culture philosophique. La bonne philosophie du droit serait celle qui analyse philosophiquement le droit positif. C’est au début du XIXe siècle que la notion de philosophie du droit est créée avec Hegel (ouvrage de philosophie du droit, 1821) en même temps John Austin publie A philosophy of positive law, 1832 : les philosophes

qu’ils ne répondent ; de ces mots qui ont fait tous les métiers, et desquels la mémoire est barbouillée de Théologie, de Métaphysique, de Morale et de Politique ; mots très bons pour la controverse, la dialectique, l’éloquence ; aussi propres aux analyses illusoires et aux subtilités infinies qu’aux fins de phrases qui déchaînent le tonnerre. Paul Valéry, Regards sur le monde actuel, « Fluctuations sur la liberté » (1938) Méfiance, donc. Avec les mots de ce genre, le « terrorisme conceptuel »

| |Albert Camus | |Analyse de sa pensée | |

3) La création de la sociologie a) Sécularisation et progrès : l’évolution de la pensée occidentale vers la sociologie D’abord c’est, sur la longue durée, l’évolution de la pensée occidentale qui dans l’ensemble va s’émanciper du discours religieux depuis la renaissance. C’est là un processus de sécularisation de la société occidentale en général. D’autre part, il s’agit de progrès des sciences de la nature qui s’accélère, qui s’intensifie tout particulièrement au 19ème siècle :

l'article 32 précédent pour les brevets délivrés. TITRE IV: DES LICENCES NON VOLONTAIRES Article 46 Licence non volontaire pour défaut d'exploitation 1) Sur requête de quiconque, présentée après expiration d'un délai de quatre ans à compter de la date du dépôt de la demande de brevet ou de trois ans à compter de la date de la délivrance du brevet, le délai qui expire le plus tard devant être appliqué, une licence non volontaire peut être accordée si l'une ou plusieurs des conditions suivantes sont remplies

qu’ils ne répondent ; de ces mots qui ont fait tous les métiers, et desquels la mémoire est barbouillée de Théologie, de Métaphysique, de Morale et de Politique ; mots très bons pour la controverse, la dialectique, l’éloquence ; aussi propres aux analyses illusoires et aux subtilités infinies qu’aux fins de phrases qui déchaînent le tonnerre. Paul Valéry, Regards sur le monde actuel, « Fluctuations sur la liberté » (1938) Méfiance, donc. Avec les mots de ce genre, le « terrorisme conceptuel »

qu’ils ne répondent ; de ces mots qui ont fait tous les métiers, et desquels la mémoire est barbouillée de Théologie, de Métaphysique, de Morale et de Politique ; mots très bons pour la controverse, la dialectique, l’éloquence ; aussi propres aux analyses illusoires et aux subtilités infinies qu’aux fins de phrases qui déchaînent le tonnerre. Paul Valéry, Regards sur le monde actuel, « Fluctuations sur la liberté » (1938) Méfiance, donc. Avec les mots de ce genre, le « terrorisme conceptuel »