Analyse Electre

la tragédie réside entièrement dans le fait de « guérir les passions » Les fantasmes inavoués des gens mis en scène leurs permettent d'évacuer et aussi de les mettre en garde. En voyant l'horreur qui attend les personnages comme par exemple dans Electre de Jean Giraudoux, Clymnestre et son amant Egisthe qui ont comploter pour tuer Agamemnon, le mari de celle-ci , meurt tristement , cela pourrait les amener à réfléchir sur leurs envie profonde.

L’extrait est un monologue de Electre, sœur de Oreste, enfants d’Agamemnon et de Clytemnestre qui a pour amant Egisthe. Ces deux derniers ont tué Agamemnon pour venger la mort d’Iphigénie (sœur de oreste et de electre) sacrifiée pour que les vents soient favorables à Agamemnon pour qu’il aille au combat. Comment Sartre a-t-il fait pour écrire un monologue qui repose sur la haine ? Nous allons voir en première partie comment l’auteur met en évidence la haine de Electre envers Clytemnestre et Egisthe

l'acte qu'elle n'avait fait que souhaiter ("j'ai rêvé ce crime") choisit sa culpabilité. Comme le dit Jupiter," Mais tu n'as jamais songé à les réaliser…Tu n'as pas voulu le mal: tu n' as voulu que ton propre malheur…Tu as joué au meurtre". Electre reste donc soumise aux dieux ,elle ne prend pas conscience de sa liberté, il en est tout autrement de son frère: il se dit "libre", cette "liberté" a fondu sur lui "comme la foudre"…Par delà l'angoisse et les souvenirs. Libre. Et d'accord avec moi"-

telles que celle de Borodino et au travers des séquelles psychologiques que ces batailles laissent au Prince André Les Mouches de Sartre présente aussi certaines vérités, telles que la difficulté qu’il peut y avoir à se rebeller (Oreste et Electre), une bonne manière de tenir un peuple en état de soumission : le remord, une belle présentation de l’hypocrisie humaine lors de la cérémonie de la fête des morts et les facilités que peuvent présenter la soumission et l’obéissance absolue, mais aussi

propos de l'extrait des « Choéphores » d'Eschyle : Reconnaissance très rapide. Empreinte de pied et boucle de cheveux, morceau de tissu également. Chez Eschyle cette scène arrive au début de la pièce. 2nd extrait : video. ( MES Antoine Vittez , Élèctre de Sophocle ). Chrisotémis reconnaît Oreste ( seulement chez Sophocle ). Pour l'extrait tiré de la pièce d'Euripide, la reconnaiss se fait grâce à la cicatrice d'Oreste. Oreste est beaucoup plus passif. Le personnage d'Élèctre est beaucoup plus active

instaurent pour soumettre les peuples. Ainsi Ubu défonce-t-il la porte des paysans avant de détruire leur maison, aidé de "sa légion de Grippe-Sous". Caligula oblige ses courtisans à rire et à l’approuver sous la menace. Egisthe punit sa belle-fille Electre et méprise sa femme qui le craint. Seul le roi mourant de Ionesco n’exerce plus d’influence sur son entourage mais ne renonce pas à leur donner des ordres insensés. Tous sont rongés de désirs, voire de caprices. Ubu veut s’enrichir en volant ses sujets

Dissertation sur Electre Parfois, les auteurs mettent les femmes au centre de l’œuvre. Ce que avec fais avec brio Jean Giraudoux, dans son œuvre principale Electre. En effet il énonce que « c’est le type de femme a histoire » dans la réplique du président acte I scène II. Cependant, dans quelles mesures cette citation illustre la place et le rôle des femmes dans la pièce. Pour cela, dans un premier temps, nous nous intéresserons à la figure maternelle, puis à celle de l’amante et enfin à l’allégorie

à la sexualité, à la nourriture, à la vie du corps en général. Nous allons voir comment cette règle s’applique dans trois extraits qui nous sont donnés de trois pièces différentes : Phèdre de Racine et Britannicus écrites en 1669 et 1677, de plus Electre de Giraudoux écrite en 1937. Burrhus, dans le Britannicus est l’instructeur de Britannicus, c’est lui qui va déclarer la mort du jeune prince à Agrippine. Comme la mort n’est pas montrée sur scène la règle de bienséances n’est pas brisée. Dans Phèdre

Commentaire Composé Iphigénie est une pièce de théâtre écrite par Racine à Versailles en 1674, un an après son entrée à l’Académie Française. L’extrait à analyser, la tiraded’Iphigénie (Acte IV, Scène 4), se situe après que Clytemnestre et Iphigénie ont découvert qu’Agamemnon s’apprête à sacrifier son ainée pour satisfaire les dieux. Ce passage montre que, derrière la façadesoumise et respectueuse d’Iphigénie, se cache une jeune héroïne persuasive. Nous allons donc voir, dans une première partie

Electre portrait Je commencerais tout d’abord le portrait d’Électre par une citation de l’auteur de la pièce que nous étudions : Jean Giraudoux "Électre, pour moi, est avant tout une pure jeune fille, comblée de joie et d'honneurs, et qui n'en accepte aucun, toute entière dévouée à la recherche de la vérité sur la mort de son père." Giraudoux, dans son Électre, dresse selon lui le portrait d'"une jeune fille pure qui ne cherche que la vérité sur la mort de son père", et qui du coup ne peux