Analyse Les Djinns

L’Alchimiste de Paulo Coelho I. Analyse du titre 1. Qu’est-ce que l’Alchimie ? Donnez-en une définition. 2. Est-ce que l’auteur a bien choisi le titre ? Justifiez. 3. Pour vous, l’alchimie est-elle une science ou une escroquerie ? II. Genre 1. Conte A) Définition : Le mot conte désigne à la fois un récit de faits ou d'aventures imaginaires et le genre littéraire qui englobe ces dits récits. Le conte, en tant qu'histoire, peut être court ou long. Conçu pour distraire

Voulant préserver les hommes de ce tapis maudit, il l’emmènera dans le dessert mais se perdra et c’est là qu’il fera la connaissance des Djinns qui lui apprendront le secret du tapis. Par la suite, Walid retrouvera les trois fils et Zahra dans le désert. Chacun lui pardonnera les actes commis contre leur père et le tapis sera découpé en quatre parts. Analyse de l’œuvre : Narration et thèmes : La jeune auteur Laura Gallego Garcia va adopter dans son œuvre les caractéristiques principales du conte

bien des aspects (lexique, syntaxe), mais où l'on trouve des mots du langage ordinaire, des vers impairs et des strophes innovantes. Les romantiques expérimenteront ainsi toutes sortes de strophes et de versifications, à l'image de Hugo dans « Les Djinns ». Le romantisme est une volonté d'explorer les possibilités afin d'enrichir l'expressivité de la poésie. Dans cette recherche qui conduira à l'art pour l'art (cf. Gautier, Emaux et camées), un apport majeur du romantisme est la disharmonie entre

exige des outils et des définitions. De plus, le classement des religions et même des sectes n'est pas naturel et pose un véritable problème. Ex : Témoins de Jéhovah, le peuple cham vietnamien, l’église catholique, les musulmans cambodgiens (anciens djinns vénérés, mais pas trois des cinq piliers de l'Islam pratiqués), le maraboutisme... De plus, apparaît dans les religions, notamment extrême-orientales, des logiques complexes. Par exemple, au Japon, on n'est pas bouddhiste ou shintoïste, mais

(risque inévitable) 4 Circuit du médicament 5 Dispensation 6 Définition : Analyse pharmaceutique de la prescription Préparation éventuelle des doses à administrer Délivrance Mise à disposition des informations et conseils nécessaires au bon usage du médicament. Par qui : Le pharmacien Comment : Dispensation globale : pour un service hospitalier Dispensation nominative DJIN : Dispensation Journalière Individuelle et Nominative Dispensation contrôlée : Sur prescription

l’évolution du conte kabyle sans évoquer les caractéristiques pertinentes de ce dernier. Dans les contes kabyles de notre corpus et même dans d’autres qu’on a déjà lus (cf. au contes de Rabah Belaamri et de Youssef Nacib), on note une présence abondante des djinns (génies). En effet, dans les contes berbères kabyles, le djinn (le génie) est un personnage qui « semble avoir subi l’influence des conceptions orientales, il est un être 34 - Feraoun, Mouloud, Le Fils du pauvre, Paris, éd. du Seuil, 1954, pp. 76-77

l'intériorité masquée des personnages. C'est le cas en particulier du Lys dans la vallée, et de Illusions perdues. Stendhal met quant à lui l'accent sur la dimension explicative du comportement des personnages (en particulier dans le Rouge et le Noir) : il analyse les différents facteurs qui pèsent sur les comportements individuels, qu'il s'agisse de l'histoire personnelle, de la position sociale, des relations inter-individuelles ou même du déroulement aléatoire des événements. Il révèle ainsi au lecteur ce

et des intrigues imaginaires. C’est dans cette veine d’écriture que se classent, Les Soleils des indépendances, En Attendant Le Vote des bêtes sauvages, Allah n’est pas obligé et Monnè, outrages et défis du romancier ivoirien, puis L’Assemblée des djinns et la trilogie de Massa Makan Diabaté. En reconstituant l’histoire de l’évolution du peuple mandingue à travers cette seconde série de romans, les écrivains ivoirien et malien n’ont fait qu’obéir à un des principes fondateurs du système éducatif mandingue

socioculturelle. En effet, les textes soulignent dans la maternité son caractère imposé par la culture et la société. Les écrivaines en rendent bien compte, chacune à sa manière, selon son expérience et sa vision à l’instar de Nadia Chafik dans Le secret des djinns: “Ce qui compte pour les femmes comme elles, c’est le mariage. Mettre le grappin sur un homme, faire des enfants pour s’assurer de le garder, un talisman par-ci, des herbes à brûler par-là et hop, le tour est joué” (Chafik, 1998: 144); ou Houria Boussejra

le même auteur comme chez Kasimirsky pour les notes 5 et 6 de la même sourate (6: 112 et 6:121). Le contenu Le wahy/contenu est, le plus souvent, le Coran lui-même comme le montre si bien ce verset: « Dis : Il m'a été inspiré qu'un groupe de djinns s'exclamèrent à l'écoute [du Livre révélé] : Nous avons entendu une révélation (litt. : un Coran) étonnante » (Penot 2007, 72:1).2 Le coran se lisait au panthéon tel quel, par les anges et d'autres « êtres » l'écoutaient et en étaient émerveillés