Analyse sémantique

__________________________________________________________________________ 14 4.2.6. Livraison __________________________________________________________________________ 14 4.2.7. Entonnoirs de conversion ____________________________________________________________ 14 4.2.8. Gestion, analyses et rapports _________________________________________________________ 14 4.2.9. Divers ____________________________________________________________________________ 15 4.3. 4.3.1. Interfaces avec le SI _________________________________________________________________

un destinataire et une fonction. La lecture est une prise d’indices : Indices culturels Indices pragmatiques (qui viennent de l’expérience sur le fonctionnement de l’écrit) Indices iconiques (illustrations) Indices sémantiques (du sens) Indices syntaxiques Indices typographiques (ponctuation, paragraphe) Indices orthographiques Déchiffrer : lire syllabe par syllabe. Test de closure : texte à trous pour faire des hypothèses. Une inférence

subit-il? - La ponctuation ton du texte, rythme - La présence éventuelle d'images et de figures de style effet propre à chaque image, l'originalité du texte Le fait d’identifier une figure de style entraîne obligatoirement une analyse : pas de remarques stylistiques sans analyse. - Les allitérations et assonances mise en valeur de certains mots, musique du texte - Répétitions, parallélismes, oppositions, ruptures toujours à commenter La progression du texte : Les indices qui permettent de

central autour desquels d’autres concepts sont axés et analysés. Le mot digression étant cette figure de style qui consiste en un changement temporaire de sujet d'un discours, pour évoquer une idée parallèle, ou pour faire intervenir l'auteur, trouve sa justification dans la structure de cet article au moment où celui-ci est divisé en sept paragraphes, chacun portant un titre propre, et dans lesquels chaque fois, il y a un concept nouveau qui est analysé. Autrement, en passant d’un paragraphe à l’autre

l'oral, cette démarcation disparaît forcément risquant de créer la confusion entre l'école primaire, segment précis identifié du système éducatif, et l'École au sens de l'institution qui s'étend de la maternelle à l'université. Ce glissement sémantique n'est-il qu'un effet regrettable et fortuit ? L'occasion d'une clarification décisive se présente ici. En effet, compte tenu de l'interdépendance du système, les finalités de l'École se déclin légitimement à l'échelle de l'école primaire et une

Modélisation avec UML Modélisation avec UML 1 Modélisation avec UML © Robert Ogor Modélisation avec UML 2 Vue générale du cours 1) Introduction au langage de modélisation UML • points de vue et diagrammes • cas d'utilisation, analyse, conception, implémentation 2) Le diagramme des cas d’utilisations • acteur • cas d'utilisation et scénario 3) Notion de classes et objets et leur diagramme • introduction aux classes, aux objets • notion de relation, de composition et d'héritage

l’indigo). Rappelons-nous Mallarmé se plaignant que le mot « nuit », en français, soit clair, tandis que le mot « jour » est sombre en français (le signifiant, par ses évocations sonores, est totalement déconnecté du signifié, par ses évocations sémantiques). Ainsi, les couples Sa/sé sont arbitraires. (cf. Hegel : le mot est comme une pyramide qui n’a rien à voir avec une tombe et qui est pourtant une tombe) [Mais j’irais même plus loin dans un Excursus : non seulement, le choix du Sa est arbitraire

qu’ils ne répondent ; de ces mots qui ont fait tous les métiers, et desquels la mémoire est barbouillée de Théologie, de Métaphysique, de Morale et de Politique ; mots très bons pour la controverse, la dialectique, l’éloquence ; aussi propres aux analyses illusoires et aux subtilités infinies qu’aux fins de phrases qui déchaînent le tonnerre. Paul Valéry, Regards sur le monde actuel, « Fluctuations sur la liberté » (1938) Habituellement, la liberté est conçue comme la capacité d’agir sans contrainte

les théories sémiotiques inspirées de Saussure (célèbre linguiste genevois), le signe se décompose en signifiant, la partie perceptible du signe (par exemple, les lettres v-a-i-s-s-e-a-u) et signifié, la partie intelligible du signe, le contenu sémantique associé au signifiant (par exemple, le sens du mot « vaisseau »). Le signifié se décompose en sèmes (par exemple, le signifié ‘vaisseau' contient dessèmes comme /navigation/, /concret/, etc.). Une isotopie est constituée par la répétition d'un même

ou méconnu, et que nous entérinons un contresens, de telle sorte que l'emprunt se limite à la suite matérielle des lettres et des sons. » Par exemple, en français on parle de clip alors qu'en anglais on parle de music video . - les emprunts sémantiques : « Inversement, lorsque nous empruntons un mot anglais qui a son sosie en français, nous accrochons une signification étrangère à un mot français déjà existant, de telle sorte que l'emprunt véritable se limite au sens. » Par exemple, on utilise