Analyse Typographique Du Poeme Spleen De Verlaine

retour - interjection pathétique : hélas - subversion ironique des images mythologiques d'Ulysse et Jason : Du B. ne retient que leur retour alors qu'ils incarnent l'épopée, l'aventure. > la nostalgie domine/ contamine ses reprèsentations. II) Un poème entre éloge et blâme 1) La figure structurante de la comparaison - comparaison initial au débat dans quatrain 1 qui est une comparaison traditionnelle avec l'outil comme, du Bellay introduit déjà les figures mythologiques - comparaison dans Tercet

écrivains ont peut citer : Breton, Eluard ou encore Soupault, et comme peintres : Dali, Duchamp et Magritte . Le symbolisme : A rechercher sur internet.4) Les formes en poésie.A) Formes fixesUn poème a forme fixe est comme l'indique son nom, fixé par des règles de composition. Au cours du Moyen-Âge, musique et poésie, auparavant associés dans les chants de troubadours, deviennent autonomes ; le poète cherche à traduire le rythme et les sonorités

demande une démarche particulière. Il s’agit de prendre en compte : a) la disposition des mots et des phrases, d’où l’intérêt d’étudier la métrique et les rythmes ; b) la musicalité du poème, d’où l’intérêt de l’étude des rimes et des sonorités, c) le pouvoir d’évocation, d’où l’intérêt d’étudier les images. Bref, le poème est un choix de mots, de sonorités, de rythmes, d’images. Tous ces choix définissent l’univers poétique propre à chaque poète. 1.3. L’analyse des textes poétiques n’est guère possible

partagent l'espace d'expression poétique, on parle du Romantisme et de Parnasse. La poésie a subi un changement littéraire qui rompt avec la forme classique, que se soit au niveau des thèmes abordés, de la vision littéraire ou de la structure du poème remise en question. Ce changement ou bien ce renouvellement littéraire est appelé la modernité littéraire qui est commencée avec Baudelaire. 10 Dans Le Peintre de la vie moderne, Baudelaire formule ainsi son ambition : "Dégager de la mode

d’Alexandre. Les vers impairs sont moins fréquents. L’heptasyllabe est le plus usité, notamment par Hugo au XIX°. L’ennéasyllabe (peu utilisé) et l’hendécasyllabe (devenu rare après le XIV°) sont présents dans la poésie moderne, à partir du XX°. Verlaine préconise l’usage des vers impairs dans son « Art poétique » (écrit en 1874, publié en 1882, et finalement inclus dans le recueil Jadis et Naguère, 1884) : « De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair Plus vague et plus

d’Alexandre. Les vers impairs sont moins fréquents. L’heptasyllabe est le plus usité, notamment par Hugo au XIX°. L’ennéasyllabe (peu utilisé) et l’hendécasyllabe (devenu rare après le XIV°) sont présents dans la poésie moderne, à partir du XX°. Verlaine préconise l’usage des vers impairs dans son « Art poétique » (écrit en 1874, publié en 1882, et finalement inclus dans le recueil Jadis et Naguère, 1884) : « De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair Plus vague et plus

au « poème classique » (voir p. 154), de prolonger l’exploration de la période d’invention et de diversification de ces formes (la Renaissance au xvie siècle, le classicisme et le baroque au xviie) par une extrapolation allant jusqu’au xixe (Le Parnasse) et au xxe siècles. Ceci afin de porter une attention particulière aux œuvres (Valéry, Aragon, Bosquet par exemple) qui, en dépit des bouleversements initiés par les romantiques et surtout par les modernes (voir Séquence 3, consacrée au « poème moderne

Thèmes : la nature, la fuite du temps, le regret de la jeunesse perdue, la tristesse mélancolique au constat de l’amour impossible, la douleur face à un sentiment non partagé. La poésie didactique véhicule des connaissances ou une philosophie : Là, le poème devient de la prose rimée où lu rationnel remplace l’imagination, la technique se substitue à l’imagination Cf. La Fontaine et Boileau (1636-1711) NB : La Fontaine fait une révolution en conférant à la fable (genre antique illustré par le grec

vu) parler des lassos, du lierre des lutteurs couchés de la boue. Ainsi sécherait-elle alors, dans mon livre, comme elle sèche sur le chemin, en l'état plastique8 où le dernier embourbé la laisse...Mais comme je tiens à elle beaucoup plus qu'à mon poème, eh bien, je veux lui laisser sa chance, et ne pas trop la transférer aux mots. Car elle est ennemie des formes et se tient à la frontière du non-plastique8. Elle veut nous tenter aux formes, puis enfin nous en décourager. Ainsi soit-il ! Et je ne

dans la classe, la considération et l’expérimentation du texte poétique par les élèves. Les activités de lecture, d’oralisation, de comparaison des textes, de manipulation ou d’exploration de la mise en page, comme tout ce qui permet d’apprécier le poème avant de l’analyser doivent de fait être valorisées : c’est déjà une entrée en réflexion que d’« interpréter » par son voix et son corps, par la réécriture ou l’imitation, un texte à « interpréter » par l’explication de texte. Les pistes de travail