Analyse Un Secret Philippe Grimbert

sentiments de paranoïa seraient-ils justifiés? Ou est-ce qu’i n’y a pas de soucis à se faire? Dans cet écrit, nous allons analyser de plus près le sujet de la vérité et essayer de comprendre jusqu’où s’étend son règne. Depuis tout petit, nos parents nous répètent constamment qu’il faut toujours dire la vérité. A l’image du livre “un secret” de Philippe Grimbert, garder un secret, ce qui est l’équivalent de ne pas dire la vérité, peut causer de grands malentendus. Rappelons rapidement cette histoire

fragments désordonnés, qui comme autant de pièces de puzzle, reflètent l’âme de Magnus. Entre ces fragments on retrouve des « notules », des « résonnances » ou encore des « échos » qui apportent des précisions historiques sur le texte. Le passage analysé se situe vers la fin du roman. Magnus vient de rencontrer frère Jean, un ermite, et ne peut pas se présenter car il a oublié son nom. Dans un premier temps, nous analyserons la quête de ce nom, de cette identité de Magnus qui passe par l’enfer et

rapport au corrigé proposé mais on valorisera la présence d’éléments de ce corrigé, pertinents et précis. Question 1 Ici, c’est l’interprétation subjective qui l’emporte. On valorisera la maîtrise de la langue chez les candidats et leur capacité à bien analyser la question (on n’attend pas une description de l’œuvre). Question 2 Sur ce tableau on peut distinguer : − − des aplats, des formes géométriques qui s’opposent à des formes plus souples ; des contrastes de couleurs et des superpositions en transparence

récit) sont une seule et même personne. Les événements racontés se sont réellement passés. Les personnages évoqués ont tous véritablement existé eux aussi. Rien ne doit être inventé ou fictif. Tel est le "pacte" que passe l'auteur avec son lecteur. Philippe LEJEUNE, spécialiste du genre, définit l'autobiographie comme « un récit rétrospectif en prose qu'une personne réelle fait de sa propre existence, qui met l'accent sur sa vie personnelle, et en particulier sur l'histoire de sa personnalité ». L'autobiographie

question suivante : Vous reconnaissez-vous dans l'idéal de la jeunesse des années 80 ainsi résumé par Maschino : " Il ne s'agit plus d'être ni de faire, mais d'avoir" ? Etapes et objectifs Etape 2 : La construction de l’identité. Objectifs : analyser : * le rapport entretenu avec sa propre génération. * l'influence de la génération précédente. Problématiques et corpus Problématique : Comment l'identité de ces femmes ayant appartenu aux générations MLF et Beat s'est-elle construite ? Corpus

• Un long dimanche de fiançailles de Sébastien JAPRISOT • La chambre des officiers de Marc DUGAIN 3) Guernica ; PICASSO et la guerre 4) Récits et films à propos de la 2nde guerre mondiale, de la déportation, … • Un secret de Philippe GRIMBERT • Effroyables jardins de Michel QUINT • Le journal d’Anne Franck • Au nom de tous les miens de Martin GRAY • Le legs de DESNOS • Liberté d’ELUARD • Elsa au miroir d’ARAGON 5) L’ART engagé, devoir de mémoire MUSIQUE (de film)

transforme en horreur. Philippe CLAUDEL, La Petite fille de Monsieur Linh Monsieur Linh, un vieux monsieur, fuit sa patrie - est-ce le Vietnam ? - après la mort de son fils et de sa belle-fille. Il emmène avec lui Sang Diû, sa petite fille, la prunelle de ses yeux, bébé calme et obéissant qui aime que son grand-père lui chante une chanson : 'Toujours il y a le matin / Toujours revient la lumière / Toujours il y a un lendemain / Un jour c'est toi qui seras mère.' Philippe Claudel raconte l'épopée

première séquence de travail et introduction à l’étude du mouvement des Lumières : 1. Le siècle des Lumières : contexte historique et sens de la métaphore ; 2. L’esprit philosophique et la diffusion des idées. Analyse d’une image : Le frontispice de L’Encyclopédie. 11.09 Analyse de brefs extraits d’introductions ou de lettres d’écrivains des Lumières (Fontenelle, Montesquieu, Voltaire…), révélateurs des enjeux et des difficultés d’une écriture nouvelle et sous surveillance (cf. polycopié)

milices de Mussolini en 1943. Ce poème rappelle ce que l'auteur a souvent dit de cette période : le besoin du survivant déporté d'être entendu, écouté, la peur de ne pas l'être et de rester un détenu qui devra rentrer au Lager (camp de concentration). ANALYSE DU POEME 1. Une prière Le mot shema est le premier mot de la prière hébraïque qui signifie « écoute ». Primo Levi prend appui sur un texte biblique (vers 16 à 20) ; il s'agit d'une reprise textuelle d'un passage de la prière juive « Écoute Israël

votre point de vue sur votre lecture. Ce point de vue peut porter sur le contexte historique, sur ce que l’on nomme souvent « le devoir de mémoire » , sur l’un des personnages, ( par exemple sur le destin de Sarah, celui de Julia…), sur le thème du secret et de ses conséquences ( par exemple sur la vie du fils de Sarah : William Rainsferd), sur la collaboration ( attitude de la concierge, attitude des policiers chargés d’arrêter puis de regrouper les Juifs en juillet 1942), ou tout autre intérêt en