Analyser Le Role Des Banques Centrales Dans La Lutte Contre L Inflation

limités. Deux aspects sont donc à analyser : les contraintes et la recherche d’une solution optimale. D’autre part, l’économie a deux angles d’approche, qui sont la microéconomie et la macroéconomie. Les théories des économistes sont faites en supposant que les variables n’évoluent pas, qu’elles sont indépendantes les unes des autres et qu’elles n’influenceront pas la variable étudiée. Cependant en réalité toutes les variables ont des corrélations entre elles. Analyse positive : explique le monde tel

conjoncturelle: 2 grands instruments de la politique économique: • Politique monétaire : La stabilisation ou l’expansion économique dépend de la Banque centrale. La Banque centrale est un système fédéral, qui décide du taux d’intérêt. La politique monétaire se fait au niveau européen, et c’est la banque centrale européenne (BCE) qui décide d’une augmentation ou diminution du taux d’intérêt. • Politique budgétaire : Au niveau européen on a décidé d’un budget

recettes ou des dépenses publiques dans le PIB. En 2003, la part des dépenses publiques françaises s’élevait à 54.7%, 2% de plus qu’en 2000. La part des recettes publiques s’élevait à 50.6%. Ces indicateurs ne fournissent qu’une vision sommaire du rôle de l’Etat, et ce pour plusieurs raisons : les dépenses publiques intègrent des charges de la dette qui ont servi à financer des dépenses passées (surestimation de l’intervention actuelle). Similairement, les recettes n’intègrent pas la partie des activités

Chapitre I : La monnaie définition et mesure La monnaie joue un rôle fondamental dans les relations économiques : elle est un intermédiaire obligé des échanges. La monnaie est devenu une notion très vaste (elle regroupe différent types de moyens de paiement) et très complexe (difficile a définir et a quantifier). I- Définition de la monnaie: Selon François Perroux : « La monnaie est un moyen de paiement indéterminé, général et immédiat ». - Indéterminé : Puisqu’il nous permet

Tensions financières, politique monétaire et activité économique Fuchun Li, département de la Stabilité financière, et Pierre St-Amant, département des Analyses de l’économie canadienne • La récente crise mondiale est un excellent exemple de l’incidence considérable que les périodes de fortes tensions dans le secteur financier peuvent avoir sur l’économie réelle. En effet, cette crise a clairement démontré que l’économie réelle et le secteur financier peuvent se saper l’un l’autre, les tensions financières

reformulées de sorte à placer la réduction de la pauvreté et les inégalités au centre des politiques de développement. Le problème étant de savoir comment la croissance pro-pauvre permet de lutter contre la pauvreté ? Et l’objectif étant de proposer des politiques de réduction de la pauvreté, qui exige que soient analysés, d’une part, la relation entre les inégalités et la croissance économique et, d’autre part, le processus de transmission de la croissance à la réduction de la pauvreté. Mais avant tout nous

Chapitre 7 : L’inflation : Introduction : inflation vient du latin « inflare » enfler. Au départ inflation signifie gonflement de la masse monétaire. Ce terme apparait dans les dictionnaires uniquement au XIXe siècle (avant il y avait quasiment pas d’inflation). Aujourd’hui inflation = c’est la hausse durable, généralisée (les prix de tous les biens augmentent) est auto-entretenue (la hausse a tendance à entrainer la hausse, on revient rarement au point initial) des prix. L’inflation est

permet de comprendre la réalité économique. Dans quelles conditions telle théorie est plus efficace qu'une autre. La théorie influence les décisions, les constructions institutionnelles (par exemple l'idée d'un marché commun, l'indépendance de la banque centrale en Europe, le PSC: 3% du PIB). Perspective plutôt Keynésienne: Dans quelle mesure les politiques macroéconomiques pourraient elles permettre une croissance régulière et un équilibre de plein emploi? On va s'intéresser à la dimension, configuration

change à la particularité d’avoir un acteur particulier qui est la Banque Centrale. Cette dernière peut intervenir sur le marché des changes. Ces interventions sont fonctions du choix du régime de change dans lequel on se trouve. Deux systèmes sont possibles : ~ Le taux de change fixe. Ici la Banque Centrale intervient systématiquement pour stabiliser le marché de changes ~ Le taux de change flexible / flottant : Le Banque Centrale n’intervient pas du tout dans un système de taux de change flottant

conséquences le yen est considéré comme une valeur/un actif refuge. Le yen est demandé, donc le yen s’apprécie. EUR/CHF : Taux 1/1,20 : Le franc suisse s’apprécie entre juin et juillet 2011, le franc suisse atteint alors le taux de 1/1. Puis la Banque nationale suisse est massivement intervenue sur les marchés pour déprécier le franc suisse et le ramener à 1.20 et pour sauver les exportations suisses. USD/CNY : taux : 1/6,8 : Le yuan est caractérisé par le fait que les autorités chinoises font