Andromaque Astyanax

Andromaque de Racine LA Acte IV, 5 PBM : quel est l’enjeu de cette scène : rompre avec Hermione ou se disculper ? I Une scène de rupture : entre excuses et accusations a- Deux stratégies de discours opposées Deux tirades de même longueur, à peu près, des 2 personnages qui ont chacune deux buts différents : * Pyrrhus cherche à s’expliquer mais surtout à se disculper autant auprès d’Hermione qu’auprès de lui-même. * Hermione feint d’abord de le comprendre mais son

ou une personne pour une autre. Chacune de ces scènes : l’Acte I, scène 3 de « Amphitryon » de Molière, l’Acte II, scène 2 de « Amphitryon 38 » de Jean Giraudoux, l’Acte I, scène 7 de « Le Jeu de l’Amour » de Marivaux, et l’Acte V, scène 3 de « Andromaque » de Racine, reposent sur un quiproquo. Sur quel quiproquo repose chacune de ces scènes ? Nous observerons tout d’abord les deux scènes qui reposent sur un quiproquo comique, puis celles reposant sur un quiproquo tragique. Le texte A, le texte

favorable à la guerre contre les Grecs. Hécube, femme de Priam, farouchement opposée à la guerre. Hector, personnage le plus important de la pièce. Fils de Priam et d’Hécube. Guerrier dégoûté de la guerre, il fait tout pour préserver la paix. Andromaque, femme d’Hector, engagée avec lui dans la défense de la paix. Pâris, frère cadet d’Hector. En enlevant Hélène, il est à l’origine de la menace de conflit. Cassandre, fille de Priam et d’Hécube. Elle prédit les événements malheureux. Demokos

voit avec (L. 1 à 2) « Je vais tuer Alexandre », ce à quoi Phillipe après une période de retrait (L. 12) « Fais le et tu verras », finit par s'opposer clairement avec (L. 21) « Tu me fais horreur ». Ensuite dans La guerre de Troie n'aura pas lieu, Andromaque fille de Priam s'oppose farouchement à la guerre que Priam justifie par la nécessité, (L. 21 à 24) « Vous êtes la, … si belles … parce que vos maris... furent des guerriers ». Pour finir avec les mains sales, Hoedrer et Hugo s'opposent sur leurs

Commentaire du monologue d’Hermione ( Andromaque, V, 1 ) I . Le dilemme tragique A. Un personnage désorienté - rôle des 4 premiers vers ; évolu° : reprise progressive de la maîtrise d’elle-même - formula° du dilemme au v. 4 → structure de la suite du monologue : haine / amour - délibéra°, interroga° ( abondance des ques° ) : Hermione cherche ce qu’elle doit faire ; fonc° traditionnelle du monologue, solitude du personnage, privé de la présence de sa confidente B. L’incapacité à prendre

Andromaque  Euripide    Nous  retrouvons  Andromaque  à  Phthie    près  de  Pharsale,  où  elle  a  été  emmenée  par  Néoptolème. Ce dernier, après son retour de Troie, a épousé Hermione fille d’Hélène et de  Ménélas. Andromaque a donc dû quitter le lit de son maître.  Néoptolème vient de partir pour aller consulter la Pythie de Delphes. Pendant ce temps là,  Andromaque se bat seule contre Hermione qui voudrait la tuer, ainsi que son fils. Les deux  femmes  sont  en  guerre  ouverte  tant 

Lisez l’extrait d’Andromaque de Racine. Par quels moyens le registre pathétique s’exprime-t-il dans les deux textes ? Analysez les procédés stylistiques et lexicaux communs aux deux extrais. Les Troyennes d’Euripide et Andromaque de Racine sont des tragédies. Elles ont respectivement étaient représentée pour la première fois durant les Grandes Dionysies du printemps en 415 avant Jésus-Christ et au château du Louvre le 17 novembre 1667. Ces deux pièces s’inspirent de la guerre de Troie. Le registre

la pièce de théâtre ,de jean Giraudoux, « La guerre de Troie n'aura pas lieu ». Nous pouvons voir qu'il s'agit d'un dialogue entre Andromaque et Priam. La dénonciation de la guerre se retrouve à travers les répliques d'Andromaque. Elle supplie son beau père et parle au nom de toutes les femmes : « je vous en supplie », «toutes les femmes du monde ». De plus Andromaque utilise de l'impératif : « laissez nous ». Nous pouvons dire que son ton est passionné, que le texte appartient au registre lyrique

conséquences fatales d’une passion amoureuse aveuglante et dévastatrice nous prenons connaissance à travers le discours narratif de Pylade de la chronologie des évènements. Pour plaire à Hermione qui a décidé de se venger de Pyrrhus qui lui préfère Andromaque, Oreste, en dépit de ses devoirs, s’est fait le meurtrier de Pyrrhus. Dans cette scène, il vient chercher, telle une récompense, l’amour d’Hermione, tout en acceptant le juste châtiment de son crime. Nous assistons alors à un faux dialogue où chacun

de théâtre est ici le lieu de l’extrême où se rejoignent la passion et la folie, l’horreur et la mort. Et Racine termine par cette pitié qui ne peut que nous saisir à la vue d’Oreste fou. Ce personnage n’était ni le méchant (Pyrrhus) ni le héros (Andromaque). Il a été emporté par une histoire plus grande que la sienne, jouet de la fatalité, comme nous pouvons tous l’être un jour. Mais il ne sort pas grandi de cette histoire qui se déroule au-dessus de sa tête. Il y perd au contraire sa dignité et son