Andromaque Scène 5 Acte V

est une tragédie écrite en cinq actes et en vers. Bérénice fut représenté pour la première fois en 1670. Bérénice de Racine a longtemps restée ignorée. Ce n'est qu'au XXe siècle que Bérénice a commencé à avoir du succès. Aujourd’hui, après Phèdre, Andromaque et Britannicus, Bérénice est l’une des tragédies de Racine les plus jouées . Bérénice est une tragédie de Racine représentée pour la première fois en 1670. Racine se serait inspiré de la romance avortée entre Louis XIV et Marie Mancini et on dit

varié (répétition, atténuation, gradation … etc.) II. TABLEAU DES PRINCIPALES FIGURES DE STYLE Figure (définition) Exemple « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » Allitération (féminin) : répétition de sons (Racine, Andromaque, V, 5) consonantiques identiques. « La chasseresse sans chance / de son sein choie son sang sur ses chasselas » (Desnos, Corps et biens, « Chanson de chasse »). Assonance (féminin) : répétition d’une même voyelle dans une phrase ou

comte prend toute sa valeur lorsqu'il déclare: « c'est un jeu que tout ceci ». DOUBLE ENONCIATION Les personnages communiquent entre eux sur la scène, mais les dialogues des acteurs sont aussi dits à l’ intention du public. * Perso porte-parole de l’auteur, directement adressé au public. EX : Illusion Comique Acte V, scène 5 : dans la dernière scène de l'œuvre, l'apologie du théâtre que fait Alcandre s'adresse autant à Pridamant qu'au spectateur DIALOGUES Oppose plusieurs énonciateurs Chaque

Thébaïde” 1665: “ Alexandre le Grand” 1667: “ Andromaque” 1673: Académie Française 1677: histographe de Louis XIV, “Phèdre”, et mariage avec Catherine de Remanet 1689 : “Esther” et “Athalie” Mort: 21/04/1699, à 59 ans, à Paris. II) Présentation de l’oeuvre 1- L’oeuvre, en elle-même * Probablement créée le 01/01/1672 à l'hôtel de Bourgogne C’est une tragédie en 5 actes : Acte I, 4 scènes Acte II, 5 scènes Acte III, 8 scènes Acte IV, 7 scènes et Acte V, 12 scènes. Elle a été écrite en vers, et est

Lectures analytiques : Groupement de textes (= corpus) 1. Antigone, J. ANOUILH : le prologue (extrait photocopié). 2. Hamlet, SHAKESPEARE : (monologue) acte III, 1 (photocopie) 3. Phèdre, RACINE, acte I, scène 3 (photocopie). 4. Oedipe-roi, SOPHOCLE, (le dénouement) OU Andromaque, RACINE, fin de l'Acte V, scène 5 (manuel p. 246-247). Objectif : rappels ponctuels sur la méthode du commentaire. Lecture complémentaire :

PHEDRE de RACINE Phèdre est une tragédie : – en 5 actes (comportant respectivement 5, 6, 6, 6, 7 scènes) et – en vers (1 654 alexandrins) de Jean Racine représentée le 1er janvier 1677 à l’Hôtel de Bourgogne. Phèdre signifie "Lumière" en Grec est la dernière tragédie profane de Racine avant un long silence de 12 ans au cours duquel il se consacrera au service du roi et à la religion. Une nouvelle fois, il choisit un sujet déjà traité par les poètes tragiques grecs et romains. Le roi

------------------------------------------------- Phèdre (Racine) Phèdre | Édition Claude Barbin (1678). | | Auteur | Jean Racine | Genre | Tragédie | Nb. d'actes | 5 actes en vers | Lieu de parution | Paris | Éditeur | Jean Ribou | Date de parution | 1677 | Date de la 1re représentation en français | 1er janvier 1677 | Lieu de la 1re représentation en français | Paris | Compagnie théâtrale | Hôtel de Bourgogne | modifier  |  Pour les articles homonymes, voir Phèdre

deux enfants (V 970 sq). XVIe siècle - GARNIER R., Hippolyte - SHAKESPEARE W., Roméo et Juliette - SHAKESPEARE W., Titus Andronicus - SHAKESPEARE W., Hamlet La mort du père d’Hamlet qui revient grâce à son esprit, la mort de Polonius, celle d’Ophélie, celle de Claudius, celle des deux amis d’Hamlet, la mère d’ Hamlet empoisonnée, Hamlet lui-même et Laerte. On est largement servi dans cette pièce avec la dernière scène jonchée de cadavres. NB : La mise en scène de la mort dans

Commentaire Support : Jean RACINE, Andromaque, Acte V, scène 5, extrait (1667) Projet de lecture : Comment la catharsis est-elle mise en place dans ce dénouement de tragédie ? La catharsis = > en grec, « purgation », au sens médical du terme = laver le corps de ses impuretés. Au XVII° siècle, le mot se teinte d’une connotation plus morale « purification ». Pour l’époque classique, il s’agit en effet de délivrer l’homme de ses passions en les représentant sur scène. La tragédie, en suscitant chez

chance. Acte I, scène 1, il était là pour accueillir Oreste. Acte V, scène 5, il est là pour le sauver. Cette reprise des mêmes personnages confirme le statut d’épilogue : retour au point de départ, la boucle est bouclée. Le dramaturge remet sur scène ces personnages afin de signifier la fin. B. C’est le dernier espoir : 1. Les dangers sont nombreux : v.4 " tout le peuple assemblé " (périphrase destinée à impressionner) ; v.6 " nous comme ennemis " : leur position sociale a changé ;v.3 " nos