André Malraux Et Le Retour Du Religieux

FACULTE DES LETTRES LUCRARE DE DISERTATIE «La Symphonie pastorale entre récit écrit et récit filmique. André Gide vu par Jean Delannoy» Coordinateur: Conf. Univ. Dr. MICULESCU Sergiu Étudiante: TUDOR Viorica 1 SOMMAIRE INTRODUCTION.........................................................................................................4 CHAPITRE I La Symphonie pastorale -texte littéraire 1. André Gide au cinéma..................……………………..…....……………………. ..6 2. La Symphonie pastorale d’André Gide-

manière dont les puissants assoient leur autorité (textes 14 et 15). Tout comme ses prédécesseurs, Kant considère que l’imagination crée des fantômes, au sens propre comme au sens figuré : nos délires et nos égarements, comme par exemple le fanatisme religieux (que Kant dénonce par ailleurs) sont à mettre sur le compte de cette faculté foncièrement toxique (textes 12 à 16). III) L’imagination réhabilitée La thèse de Descartes sera dans un premier temps affinée dans une perspective qui reste classique

plus tardive que les Elégies romaines, a une épigraphe au Tasse. Le Tasse a été emprisonné pour folie et pour subversion ; il a beaucoup inspiré les romantiques (cf. Delacroix, Le Tasse aux fers). Il représente le génie incompris et martyrisé. André Chénier a connu une mort tragique, guillotiné. C’est un grand élégiaque de la fin du XVIII° siècle (une époque que l’on appelait il y a quelques années le « pré-romantisme »). Il y a à cette époque Parny, etc. L’élégie « Aux frères de Pange » :

incontestable qu'on peut leur attribuer un lien avec le pouvoir. La culture est un domaine qui depuis longtemps est en lien avec le pouvoir, de quelque nature qu'il soit. On retrouve tout au long de l'histoire de l'art une certaine référence au religieux ou aux pouvoirs politique et économique. Si aujourd'hui la diplomatie peut se servir de la culture, l'économie commande l'art et la politique le détermine depuis bien longtemps. D'ailleurs les rapports entre l'art et le pouvoir ne sont pas mis en

féministe, de son vrai nom Dora Angela Duncan, est née à San Francisco le 26 mai 1877 dans une famille de quatre enfants en proie à des difficultés financières. Elle est décédée à Nice le 14 septembre 1927. Ce fut une célèbre danseuse apportant le retour des modèles de figures antiques grecques, elle s'affranchit de la musique et trouva sa propre musicalité intérieure. Elle fut l'une des premières à réagir par rapport au corps contraint par le tutu ou par les pointes : elle dansa nus pieds, voire

| |est une date à retenir dans l'histoire du Marais. Car c'est celle des lotissements du domaine maraîcher exploité dès XIIème siècle par| |les religieux de Sainte-Catherine- du-Val-des Ecoliers. Ceux-ci chargent Maître Guillaume Payen d'établir les actes de vente. Il ouvre| |ainsi à travers les champs les rues des Francs-Bourgeois, Sainte Catherine (Sévigné), Pavée et payenne...

apparaît en effet sous sa diversité, et l’on est frappé de constater que certains des courants les plus audacieux, en art comme en littérature, ont pris naissance dès avant 14 ( autour d’APOLLINAIRE) ou dans les années 20 ( ainsi l’antiroman avec André GIDE). Notre siècle a vu naître un 7e art, le cinéma. Il a ébranlé les structures fondamentales des genres, des arts traditionnels, du langage et même de la pensée. Il a vu s’affirmer, de Bergson à Sartre ou Camus, l’influence de la philosophie sur

années vingts, après la crise du genre durant l’avant-guerre, dans l’époque où la vogue du roman (dans les années 1920 et 1930) est considérable. La nouvelle génération venante dans les années 1920 (Giraudoux, Mauriac, Montherlant, Green, Bernanos, Malraux, Céline...) remplace les agées et de nombraux écrivains plus jeunes qui sont tombés à la guerre (Péguy, Alain-Fournier). L’entre-deux-guerres est l’âge d’or du roman français. Cette période apporte néanmoins aussi la crise de la foi, des valeurs,

dans le domaine de l’art ». Emile Bernard, « Connaissance de l’Art ». « Tous les arts sont comme des miroirs où l’homme connaît et reconnaît quelque chose de lui-même ». Emile Chartier, dit Alain. « En art, comme partout, la pureté seule importe ». André Gide, « Les Faux-monnayeurs ». « L’art véritable n’a que faire de proclamations et s’accomplit dans le silence ». Marcel Proust, « Le temps retrouvé ». « L’art est délivrance, même dans la souffrance ; mais aux yeux de ceux, parias, qui n’ont pas le

conscience de sa faute et s’apprête à quitter ce monde. C’est dans un clair de lune quasi verlainien que nous nous retrouvons allongés auprès de Mesa agonisant et invoquant le ciel. Certain chante l’amour, d’autre vont chanter à la louange d’un sentiment religieux, Mesa, quant à lui va mêler l’amour et la religion dans un chant de douleur et de détresse. C’est après la tempête d’ « un éclat de rire hystérique » que nous nous retrouvons dans le chaste calme de la mort. Ce Cantique est vaporeux et nous laisse