Anesthésie-réanimation

donneur en mort encéphalique : c’est suite à un accident de la vie que la situation se présente. Lorsque la mort cérébrale d‘une personne est établie, il est encore possible, notamment grâce à la respiration artificielle et d‘autres techniques de réanimation de maintenir le corps en état de fonctionnement de façons artificiel,  pendant quelques dizaines d‘heures enfin de sauver les organes de cette personne. Le diagnostic de mort cérébrale est constaté par des critères cliniques légaux et il est posé

panel de patient ayant subi, sous anesthésie générale de courte durée, un examen endoscopique. Ces examens sont à type de fibroscopie gastrique ou de coloscopie. Ces patients sont ensuite admis en salle de surveillance post interventionnelle (SSPI). Pour la prise en charge anesthésique de ces gestes d’endoscopies, il n’existe pas de « petite anesthésie ». Même une sédation, pour un geste court, nécessite l’attention et les compétences d’une équipe d’anesthésie-réanimation. La sédation étant un acte anesthésique

Président Dr Robert G. Addison Trésorier Dr N. Timothy Lynch Secrétaire Dr Daniel B. Carr Responsable Projets Dr Michel Dubois Ex - Président Dr Jacques Meynadier Dr Claude Saint-Maurice Dr Jean-Marie Besson Dr C. Saint-Maurice Département Anesthésie Réanimation Hôpital Saint-Vincent de Paul Av. Denfert Rochereau 75174 PARIS Cedex 14 ADFA 2 LA DOULEUR DU SIDA/VIH Rédaction : Dr Daniel B. Carr Professeur en charge de la recherche sur la douleur, Départements d’anesthésie et de médecine

1) Préparation de l’arrivée du patient: la chambre Contrôle du matériel : • Cardioscope, aspiration, oxymétrie de pouls, pression artériel non invasive • Ventilateurs • Fluides : O2, AIR, VIDE • Chariot de réanimation : plateau d’intubation, drogues d’urgence, préparation des formulaires de soins : schémas, feuille de bilan, d’observation, matériel pour le pansement • Préparation KT veineux central, pression artériel invasive, sonde vésical, et gastrique

que fractures, lésions tissulaires ou organiques, par exemple), afin de diminuer les sensations douloureuses pendant la phase de traitement.  Traitement Une personne sera maintenue dans un coma artificiel, dans un service spécialisé (service de réanimation). Le coma sera installé sur prescription médicale uniquement. Il sera provoqué et maintenu suite à l'injection par voie intraveineuse de traitements spécifiques : hypnotiques ou sédatifs.

Le mot anesthésie provient du grec (αισθησις : faculté de percevoir par les sens) combiné à l'alpha (α) privatif et du nu (ν) euphonique. L'anesthésie peut viser un membre, une région ou l'organisme entier (anesthésie générale). L'anesthésie est la suppression des sensations (et en particulier la sensation de douleur). Elle vise à permettre une procédure médicale qui autrement serait trop douloureuse. L'anesthésie loco-régionale est aussi pratiquée dans les cas de douleurs chroniques. Le domaine

eu besoin d'avoir de greffe de peau car le carcinome était de petite taille. Il est retourné directement dans sa chambre après l'intervention car il n'a pas eu de anesthésie locale-régionale ou générale, mais une anesthésie locale avec de la xylocaïne adrénaline. La Xylocaïne 20mg/ml Adrénaline 0,005mg/ml sert en anesthésie/réanimation. Ses principes actifs sont la Lidocaïne et l'Adrénaline. C'est un médicament soumis à prescription médicale. C'est un anesthésique local. La Lidocaïne provoque une

responsabilité médicale d’un médecin anesthésiste qui doit pouvoir intervenir sans délai… » Ceci implique donc que le médecin anesthésiste extube mais qu’il n’est pas le seul à pouvoir réaliser ce geste. La société française d’anesthésie réanimation ( SFAR ) dans unes de ses recommandations apporte déjà quelques précisions concernant les soins post anesthésiques : « 3.1 En salle de réveil le patient est surveillé par un personnel infirmier qualifié sous la direction d’un médecin anesthésiste

à 5h00 |AG : | | |Coronaropathie avec atteinte | |- Nécessité d’une anesthésie générale, d’injection d’héparine avant CEC et de protamine |Décubitus dorsal respecté | | |tritronculaire sévère par lésions | |après CEC

prise en charge globale des malades hospitalisés. Le constat d’une prise en charge insuffisante de la douleur post-opératoire (DPO) en 1997 a motivé l’élaboration d’une conférence de consensus, organisée par la Société Française d’Anesthésie et Réanimation (SFAR), sous l'égide de l’Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé (ANAES), publiée le 12 décembre 1997 [1]. Dix ans plus tard, des progrès ont été réalisés, comme le prouve l’audit national réalisé en France entre 2004 et 2006