Anglais

En 1763, le traité de Paris met fin à la guerre de la Conquête qui constituait l’affrontement entre les Français et les Anglais pour le contrôle de l’Amérique du Nord. Par contre, on peut se demander quels ont été les impacts de cette guerre sur la dualité français/anglais au Québec? Après le changement d’empire en Nouvelle-France, les Anglais imposèrent une première concession : la Proclamation Royale. Cette concession fût un échec. Une deuxième concession fût proposée : L’Acte de Québec, qui

les Québecois en démontrant tout les pouvoirs que les Anglais possèdent. En gros, elle nous fait voir le constraste entre le pouvoir anglais et la soumisions québécoise dans les années 70. L'analyse suivante de ce poème exposera certains éléments qui, d'un côté démontre le pouvoir anglais et de l'autre la soumission québecoise. Axe 1 : Le pouvoir anglais Dans le poème Speak White de Mohèle Lalonde, on peut voir que le pouvoir anglais domine les Québécois. En effet, on peut obsever cette

îles britanniques À partir XIIe siècle, les souverains anglais pratiquent une politique d’expansion dans les îles Britanniques. D’abord à l’Ouest de l’Irlande, puis au Pays de Galles (conquis en 1282) et enfin en Écosse, dont la conquête subit plusieurs revers et n’est définitivement achevée qu’en 1707 par l’Acte d’union entre l’Angleterre et l’Écosse. Un État écossais a donc survécu plusieurs siècles aux côtés de son puissant voisin anglais. En Angleterre, le français décline, en grande partie à

l’idéalisation de la vie rurale. La famille était toujours au cœur des valeurs des habitants du territoire francophone, qui habitaient pour la plupart à la campagne. Ils ont trouvé une vraie identité dans leur religion et leur langue à cause du fait que les Anglais étaient protestants et anglophones. Ses différences les ont rendu compte qu’ils étaient entourés d’une force étrangère et qu’ils devaient protéger leur identité et leur culture contre les envahisseurs. Les plus grandes provinces de Canada étaient

LICENCE LANGUES, LITTÉRATURES ET CULTURES ÉTRANGÈRES ET RÉGIONALES SPÉCIALITÉ ANGLAIS DESCRIPTIF DES ENSEIGNEMENTS Année universitaire 2014-2015 Page 1 SOMMAIRE L1—PREMIERE ANNÉE 5 SEMESTRE 1 CULTURE DES PAYS ANGLOPHONES 1 E11 AN5 (6 ECTS) 5 LANGUE 1 E12 AN5 (4 ECTS) 6 CIVILISATION 1 E13 AN5 (4 ECTS) 8 VERSION 1 ET LITTÉRATURE AMÉRICAINE 1 E14 AN5 (4 ECTS) 10 PROJET PROFESSIONNEL PERSONNALISÉ (P.P.P.) E1P AN5 (1 ECTS) 13 SEMESTRE 2 CULTURE

langue anglaise, par ailleurs je regarde des films et je lis des livres en anglais pour enrichir mon vocabulaire et améliorer mon accent. J'ai déjà voyagé aux États Unis ( dans l'Oklahoma, Tulsa) et en Angleterre. J'ai été fasciné par les modes de vie et le système éducatif différents du notre et cela m'a donné envie d'y vivre. C'est pourquoi la bilicence d'anglais Lettre Moderne Appliquée Anglais et Lettre Moderne Anglais semble me convenir parfaitement. Je suis motivée et impatiente de commencer

d'une seule langue, l'anglais, il y a une sorte de contradiction. La recherche de l'universel devrait passer aussi par le chinois, l'arabe, le français, l'espagnol, le russe, voire le portugais et le swahili. Évidemment, les partisans du tout-anglais sont généralement des anglophones de naissance ou d'adoption. Aux États-Unis, ses partisans les plus extrémistes prônent une langue et une culture unique parce que les Anglo-Saxons seraient le «peuple choisi par Dieu» pour coloniser l'Amérique du

Malte a en effet été colonisée par les Anglais jusque 1964, ce qui fait que l’anglais est très présent dans ce pays, elle est également une langue officielle, du coup il me sera plus facile d’approfondir mon anglais. Ce pays attire beaucoup de personnes car en effet il est assez facile d’y trouver un stage ainsi que des écoles pour approfondir son anglais. Ensuite, selon mes recherches Malte est un pays dans lequel les gens sont chaleureux et accueillants, avec une mentalité méditérannéene, mais

répétition très frappante. Ce qui montre une très forte cohérence de la part de Gaston Miron pour qu’il puisse mieux convaincre son lecteur du fait que les Anglais ne sont pas des Québécois et que les Québécois ne sont pas des « Canadiens ». De surcroît, l’utilisation du mot « autre » donne une image puissante de la façon dont Miron voit les Anglais. Il ne les voit pas comme des humains, mais comme une force contre sa langue et son peuple. Il voit l’autre comme un colonisateur et un assimilateur. Par

avec la langue (livres, articles de presse, journaux télévisés, films, émissions en langue anglaise …). - Mettre à jour ses connaissances grammaticales par des révisions systématiques des structures de base et des faits de langue élémentaires anglais, mais aussi par une consolidation des points de divergence entre les deux langues. - S’entraîner régulièrement à la traduction pour apprendre à mobiliser ses connaissances en temps limité et affiner ses stratégies de traduction. - Enfin, le jour