Animaux Personnifiés

Jean de La Fontaine, écrivain classique du XVII° siècle s'inspire de Phèdre et d'Esope pour plaire et instruire à partir de ses fables. Dans la plupart de ses fables, il met en scène des animaux pour échapper à la censure. Nous allons étudier la fable « Le Héron » tiré du recueil Fables. Ici l'animal personnifié est le héron. Celui-ci est près à se rendre ridicule ce qui montre que La Fontaine se moque des travers de l'Homme. En quoi cette fable est caractéristiques de l'apologue? Dans un premier

Dans la deuxième partie, commencant au vers quatorze et se terminant au trente-troizième vers, l'auteur fait intervenir les animaux qui sont personnifiés afin que le lecteur décèle que ses animaux sont des stéréotypes humains. La troisième partie débute à partir du trante-quatrième vers et se termine avec le texte, au trante-sixième vers. Les personnages sont tous des animaux qui représentent les sujets du lion. L'ours symbolise la maladresse, la lourdeur. Afin de perdonnifié le personnage de l'ours

les courtisans ce qui est péjoratif car cela montre qu'ils ne sont que des imitateurs hypocrites du roi ainsi que "nos sacrés ongles" à la place des griffes pour les animaux et enfin "femme du lion" plutôt que la "femelle" chez les animaux. Toutes ces expressions illustrent la personnification du lion. Le cerf Le cerf est un animal noble ici présenté comme sage. Il est l'un des seuls à tenir tête au roi et à faire preuve de franchise envers lui, il peut être comparé à un noble provincial grâce

Le coup de force de La Fontaine fut de doter les animaux du langage des hommes. Par cette provocation, le fabuliste, précepteur de fils de roi, comptait « instruire et plaire ». Au XVIIIe siècle, Voltaire imagine le Dialogue du chapon et de la poularde : les deux gallinacés, mutilés pour satisfaire la gourmandise des hommes, font le procès sans appel de leur cruauté. À un peu plus des deux tiers du dialogue, la poularde, jusqu’alors restée un peu retrait dans son ignorance et son indignation,

LA COUR DU LION I. Un récit court et plaisant 1) Structure de la fable * 36 vers dont 32 de récit : Vers 1 à 13 : La cour du roi Vers 14 à 33 : intervention des animaux (l’ours, le singe et le renard qui sont tous opposés au lion) Vers 34 à 37 : Morale explicite * Enchaînement rapide des événements * Structure simple 2) Procédés d’animations * Différence de mètre (taille de vers) : octosyllabes (toute la première partie),

Elle met en œuvre deux animaux de taille et de rang social différent : un lion symbole du pouvoir et de la force face à un moucheron qui est un petit être, ces deux vienne à se battre. Nous verrons que cette fable est un récit à la fois vivant d’une part et réaliste d’autre part , souligné pas un registre épique atteignant le burlesque et pour finir quel possède une vision pessimiste. I Ce récit est vivant de part son crescendo de la violence : au début les deux animaux parlent (v3) ensuite

nous sommes forts pour voir les défauts des autres mais nuls pour voir les nôtres Cette fable est un récit vivant car : Animaux personnifiés Utilisation du discours direct principalement Utilisation d’une ponctuation expressive Pas de schéma narratif car il est court Ici les personnages sont en train de se plaindre et de se juger , la fabuliste dénonce l’ingratitude des animaux Introduction : Éléments biographiques sur La Fontaine. Au XVII è siècle la littérature s’efforce d’instruire et de plaire

INTRODUCTION Cette fable est la troisième du livre VIII, publiée en 1678 et c’est la première qui met en scène des animaux. La Fontaine traduit d’Esope, fabuliste grecque, cette fable avec une connaissance précise du bestiaire qu’il a mit en place dans ses sept premiers livres. Il s’inscrit aussi dans la continuité du Roman de Renart qui voit l’affrontement réitérer, d’Ysengrin et Renart, à la cour du roi Lion. STRUCTURE DE LA FABLE v.1 à 34 : récit et corps de la fable v.35 à 40 : morale

LECTURE ANALYTIQUE : « LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE » DE JEAN DE LA FONTAINE Objet d’étude n°2 I- Un récit plein de péripéties A- Une progression rigoureuse de l’action Schéma narratif rigoureux : situation initiale ample thème de la peste personnifié, mal en périphrases, privat°, registre burlesque, métrique entre octosyllabe et alexandrins, référence a Œdipe Roi, attente, élément déclencheur discours du lion bouc émissaire à désigner, péripéties divers discours de Renard et de l’Âne, élément

« L'autre aussitôt de s'exécuter » qui exprime la rapidité de l'action et par conséquant la vivacité du renard. Pour la morale, à la fin le temps utilisé est un présent de vérité générale à la forme impérative. b. La représentation animale Les animaux forment des stéréotypes traditionnels, cette fable en est un exemple flagrant. Les quatres aimaux du texte représentent chacun un défaut de la société. Le lion symbolise la violence, la force et la puissance tel que l'était Louis XIV. «La