Annie Villeneuve

d’Henriette Bichonnier et Pef (Gallimard Jeunesse). Le conte se prête à des échanges sur le thème de l’exclusion, de la différence et du respect de l’autre. On lira aussi avec profit la première version de La Belle et la Bête, celle de Mme de Villeneuve au début du XVIIe siècle, mise en images par Étienne Delessert (Grasset, coll. Monsieur Chat-Il était une fois) dont Mme Leprince de Beaumont s’est directement inspirée. Enfin, on pourra observer la relation texte/ image dans les trois versions

Mélanie n’avait jamais goûté au sel de Guérande ; ce n’était pas encore à la mode quand elle était morte. C’était Sophie qui lui en avait offert un petit pot pour Noël ou son anniversaire et il avait continué à en acheter après leur rupture. Annie, elle, l’avait initié à la photographie et il en faisait toujours même s’il ne l’avait jamais revue après leur séparation. Il avait ainsi photographié Ménard, Asselin, Mercier, Baudin et Lavoie. Capturer leur visage était un premier geste d’appropriation

Beaulieux 1927 etc.) nous amènent à supposer qu’il s’agissait principalement des dialectes régionaux à cette époque. Le choix de l’article dépendait largement des auteurs de texte au début du 17e siècle. Par exemple, Olivier de Serre, agronome né à Villeneuve-de-Berg (Ardèche) en 1539, utilise majoritairement des : 65 occurrences et, à l’opposé, 11 occurrences de de dans son ouvrage : Le théâtre d’agriculture et mesnage des champs6. En revanche, Antoine de Montchrestien, auteur du Traicté de l’oeconomie

aussi le secteur disciplinaire le plus susceptible, comme le souhaite le projet, de valoriser ses résultats dans le secteur industriel. Les universités de Bourgogne et Franche Comté ont présenté un projet qui n’a pas été sélectionné. Un article de Annie Kahn et Virginie Malingre paru dans le journal Le Monde du 22 février 2007 montre la destinée des RTRA prestigieux qui vont à terme « écrémer » 58 les universités de leurs meilleures composantes pour constituer des fondations autrement dit des

face à une tradition classique aussi puissante que longue, mérite toute notre 1 DÉTRIE, Muriel, « Réflexions d’une comparatiste sur la modernité littéraire », in Écrire au présent, débats littéraires franco-chinois, sous la direction de Annie Curien, Paris : Fondation Maison des sciences de l’homme, 2004, p. 247. 25 attention. Nous aimerions examiner ensuite des phases successives d’un seul et même acte – les premiers tâtonnements de la nouvelle poésie chinoise, libérée de la prosodie

faut cependant reconnaître l’effort des autorités de l’aviation civile pour bénéficier des avancées dans le domaine de la technologie de l’information afin de mettre en place des systèmes de collecte de données plus efficaces et plus efficients (Villeneuve, 2007). Toutefois, nous n’en sommes pas encore là. Pour l’instant, les différents types de données disponibles sur le trafic aérien comportent toutes des lacunes. Les données de type « origine-destination » traditionnellement basées sur l’émission

malheureusement fréquente en zone rurale. L’ARPALS met sur pied d’une part des animations (repas, kermesse, bal masqué), d’autre part une bibliothèque intercommunale de 1 300 livres en partenariat avec la Bibliothèque départementale de prêt (BDP) de Villeneuve-sur-Lot. Le site web présente une sélection de livres avec un résumé pour chacun d’eux. L’association crée aussi une médiathèque ouverte 22 heures par semaine pour un public allant de 3 à 76 ans. Quatre ordinateurs multimédias - complétés par deux

c’était pour moi les manteaux de fourrure, les robes longues, et les villas au bord de la mer Plus tard, j’ai cru que c’était de mener une vie d’intellectuel. Il me semble maintenant que c’est de pouvoir vivre une passion pour un homme ou une femme. Annie ERNAUX Manhattan, le lendemain Mardi 11 septembre 2001 Plaza du World Trade Center 8 h 35 — T’as qu’à venir avec moi ! propose Zoé. — Non, répond Céline. C’est ta cousine. Je ne veux pas gâcher vos retrouvailles. 10 minutes avant l’impact — Elle travaille

des remous de Mai 68, l’ouverture de 8 chambres « mère-enfant » s’inscrivait naturellement en 1973 dans l’évolution du service du Professeur Brissaud, avec l’appui d’un nouveau chef de clinique, le Dr Jean Costil. En 1980, les Dr Anne Debard et Annie Morel-Ollivier, qui lui avaient succédé, en publiait l’évaluation, alors que des initiatives de ce type se faisaient connaître de toute part et sortaient de leur isolement, en particulier en province. Avec le recul de ces vingt-cinq dernières années

unies. / PHOTO G. T. BERRE-L’ÉTANG Grand nettoyage de printemps dans le port L es participants, hélas pas très nombreux, accueillis avec café et thé ont eu droit à une distribution de tee-shirts offerts par Eve et Gauthier surveillants du port, Annie Brun directrice des ports et des transports ainsi que Martial Pacini, chef du service des ports au Conseil départemental, les gants étaient fournis par la municipalité. "Certes on va nettoyer le port, mais on va étendre le nettoyage vers la plage de