Anode

nucléophile 127, 129 alcène 79, 99 alcolisation 131 alcool 79, 119 alcoolate 119 alcyne 79, 105 aldéhyde 125, 129, 133 aldol 131 alkylation de Friedel et Craft 109 amide 79, 135, 139 amine 79, 121, 123 ampholyte 39 anhydride d’acide 135, 139 anode 57 arène 79 atome 3 autoprotolyse de l’eau 31 base 31 faible 31 forte 31, 35 benzène 107 carbone asymétrique 89 catalyseur 73 cathode 57 cétol 131 cétolisation 131 cétone 125, 129, 133 chaleur 15 chiral 93, 95 chlorure d’acyle 135

parall`les, grandes par rapport ` leur s´paration a et situ´es e e a e e respectivement ` x = 0 et x = a. Des ´lectrons sont lib´r´s par la plaque de gauche (cathode) a e e e sous l’effet de la chaleur et sont acc´l´r´s jusqu’` la plaque de droite (anode) par une diff´rence de ee e a e potentiel V . On prend Φ(0) = 0 et Φ(a) = V (l’´lectron a une charge n´gative −e). Le probl`me e e e est de trouver le potentiel Φ en fonction de x, ainsi que la densit´ de charge ρ. e §1.2. Potentiel ´lectrique e

. 2 1 + + 2e – . Soit 3H 2 O = -- O 2 + 2H 3 O 2 On obtient bien 2 volumes de dihydrogène gazeux pour 1 volume de dioxygène gazeux. Cathode : réduction de H 2 O en H 2 en milieu basique car la phénolphtaléine rosit : 2H 2 O + 2e – = H 2 + 2OH – . Anode : oxydation de Cl – en dichlore : 2Cl – = Cl 2 + 2e – . L’équation globale s’écrit donc : 2H 2 O + 2Cl – → H 2 + Cl 2 + 2HO – La cathode est, dans le cas d’une électrolyse, la borne négative car reliée à la borne – du générateur. Le courant circule

intensité-potentiel, prévoir si cette réaction est rapide ou lente. i Ag Cu Cu2+ Ag+ H2O O2 E H2 H3O+ Cu Ag Cu2+ Ag+ 5.2 Courbes intensité potentiel Le raffinage électrolytique du cuivre consiste à placer du cuivre impur comme anode dans une solution concentrée de sulfate de cuivre. Une électrode support (en acier inoxydable) est placée en vis-à-vis pour y déposer le cuivre par réduction cathodique. Les seules impuretés qui seront considérées ici sont le plomb Pb et l’argent Ag

balayage utilise les électrons à la place de la lumière pour visualiser les objets. Un faisceau d’électrons est produit en appliquant un haut potentiel à un filament métallique, généralement une boucle de tungstène, qui fonctionne comme une cathode. Une anode est placée juste en dessous de la cathode afin d’exercer de puissantes forces d’attraction, ce qui va permettre d’accélérer les électrons produits. Ensuite, le faisceau d’électrons ainsi généré va être condensé à l’aide d’une lentille électromagnétique

. 2 1 Soit 3H 2 O = -- O 2 + 2H 3 O + + 2e – . 2 On obtient bien 2 volumes de dihydrogène gazeux pour 1 volume de dioxygène gazeux. Cathode : réduction de H 2 O en H 2 en milieu basique car la phénolphtaléine rosit : 2H 2 O + 2e – = H 2 + 2OH – . Anode : oxydation de Cl – en dichlore : 2Cl – = Cl 2 + 2e – . L’équation globale s’écrit donc : 2H 2 O + 2Cl – → H 2 + Cl 2 + 2HO – La cathode est, dans le cas d’une électrolyse, la borne négative car reliée à la borne – du générateur. Le courant circule

initiale ; parallèlement à la cathode, à une distance de 3 mm, est placée une grille (G) de fil fin, qui laisse passer librement les électrons. La cathode est mise au potentiel nul, la grille est portée au potentiel +18 volts. Une seconde surface plane (anode (A)), située à 12 mm de (G) est au potentiel V A audessus de celui de la cathode. (C) x' (G) O 0 −3 VC = 0 (A) VG = + 18 V + 12 xmm VA 1) a) Avec quelle vitesse les électrons traversent-ils la grille ? b) Quel est le champ électrique E 1 entre

dissociation. Quotient de réaction. Constante d’équilibre. Acide et base au sens de Brönsted. pH. Autoprotolyse. Oxydoréduction Oxydation, réduction. Oxydant, réducteur. Couple redox, demi-pile. Pile : force électromotrice et polarités d’une pile ; anode, cathode. Électrolyse, électrolyseur, polarités. Cinétique chimique Vitesse de réaction. temps de demi-réaction. Facteurs cinétiques. Lois de la chimie Conservation de la matière. Conservation de la charge. Des savoir-faire à maîtriser initial

initiale ; parallèlement à la cathode, à une distance de 3 mm, est placée une grille (G) de fil fin, qui laisse passer librement les électrons. La cathode est mise au potentiel nul, la grille est portée au potentiel +18 volts. Une seconde surface plane (anode (A)), située à 12 mm de (G) est au potentiel V A audessus de celui de la cathode. (C) x' (G) O 0 −3 VC = 0 (A) VG = + 18 V + 12 xmm VA 1) a) Avec quelle vitesse les électrons traversent-ils la grille ? b) Quel est le champ électrique E 1 entre

d’argent métallique, une demi-pile. Quelle est la f.é.m. de la pile formée par l’association de cette demi-pile et d’une électrode normale à hydrogène ? Quelle réaction s’y produit lorsqu’elle débite du courant ? L’électrode d’argent est-elle son anode ou sa cathode ? Rappel : les ions cyanure CN– forment avec les ions Agϩ un complexe [Ag(CN)2]–. Solution Le potentiel de l’électrode normale à hydrogène (c(Hϩ) ϭ 1 mol.L–1, pH2 ϭ 101 325 Pa ) est, par définition, nul. Celui de l’électrode Agϩ/Ag vaut