Anthologie Deuil

| D’une part | D’autre part | | |Les faits | | | | | | | |suicide à FT |- le stress au travail pousse au suicide ( |-selon l’employeur c’est la l vie personnelle| |

perpétuellement confronté au drame et ne trouvera un sens que dans la mort, cette vie chaotique est une bouillie de douleur d’où l’utilisation du mot « mélange » qui reflète l’inconsistance d’une existence qui n’a duré que trop longtemps. C’est le deuil et l’errance qui anime le quotidien d’un homme qui chaque jour subit le joug d’un nouveau levé de soleil attendant désespérément la réponse d’une mort qui ne tarde que trop à venir. Cette tourmente obsessionnelle à transformé sa vie en fardeau, le

moi ». Il y a une progression, la disparition des liens de comparaison manifestent l'effritement de l'esprit qui est l'objet de vision « long corbillard » et ne peut plus se livrer à un travail d'interprétation et d'élucidation du sens. La notion de deuil est introduite dans la première strophe avec l'adjectif « noir » au vers 4. Or elle se trouve reprise et amplifiée dans la dernière avec l'irruption « des longs corbillards » au vers 17. De plus, l'indétermination du vers 4 « il nous verse un jour

l’acceptation. Comme le dit Mamie rose à Oscar : « Chaque fois que tu croiras en lui, il existera un peu plus. Si tu persistes, il existera complètement. Alors, il te fera du bien. » Dieu, pour Oscar c’était l’hôte qui l’accueillerais à sa mort. Pour faire le deuil de sa vie, Oscar devait être confiant face à la mort, qui fût directement représenté par Dieu. Ensuite, Mamie Rose, lui offre de s’adonner à un jeu. Elle lui donne la chance de grandir de 10 ans à chaque jour de sa vie durant 12 jours. Le gamin

dans ce passage. L’amour est brisé. De plus un champ lexical de la guerre nous plonge davantage dans cette ville détruite «  arsenal, guerre, sang, acier, mort, deuil ». Vers 40/41 on aperçoit une métaphore de la pluie qui est comparée à un bombardement «  sous cette pluie de fer de feu d’acier de sang » puis vers 49 «  pluie de deuil », qui instaure ce dernier passage dans le thème de la destruction et de l’horreur. Le héron : Portrait physique et morale: La description du héron nous ai donné

Octave, se retrouverait seul au monde et l’a connu, à côté de cette urne d’albâtre qui, couverte de ce long voile de deuil, est sa parfaite image. Ainsi, une douce mélancolie voilait les perfections de cette âme tendre et si délicate. Cette vie silencieuse n’a point été un mystère. Les longues soirées qui furent passés ensemble sont comme de fraîches oasis dans un désert aride ; elles ont versé sur son cœur, les seules gouttes de rosée qui n’y soit jamais tombées. Cœlio était sa bonne partie ;

1. QUELLES SONT LES PHASES DU DEUIL EN QUOI CONSISTE L’ACCOMPAGNEMENT ? Les phases de deuil sont les suivantes : La sidération : Cette phase courte qualifie la réaction de la personne face à l’annonce de l’information. Le déni : Il s’agit du refus de croire l'information. On utilise généralement des arguments et on conteste. Le rejet de l'information fait place à une discussion intérieure ou/et extérieure. Cette phase très importante a une durée qui varie selon les personnes car il s’agit

quoi l'Espoir ? La petite lumière vacillante au fond du tunnel de nos âmes quand il y fait noir, tout noir. Edmond Rostand, nous donne un conseil fulgurant : "C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière !". Dans la guerre, dans le deuil, dans la souffrance, dans la solitude et la tristesse, c’est parce que l’on sait garder espoir que l’on réussit à sortir du trou. C’est parce que des hommes, des femmes, des enfants ne perdent pas espoir dans leurs heures les plus noires que l’humanité

IV/ Réaction de l’individu face à la mort : En dehors de tout aspect philosophique et culturel, l’inividus va avoir des réaction psychophysiologique qui caractérise le DEUIL Le deuil est un stress intance accompagnée d’apathie, de fatigue, de trouble du sommeil, perte d’appétit. Comport plusieurs stade du travail du deuil: • 1er = état de choc ( quand médecin annonce décé ) larme, muette, ébêtée, difficile de comprendre ce qu’on lui dit ( néanmoins retient dc fait gaff ) : le médecin doit

pluie après la 2ème strophe. Observons aussi la passivité des formules impersonnelles , il pleut, il pleure - Échos de tristesse et de mélancolie La note dominante du poème est le chagrin qui apparaît d'emblée " il pleure ", est ensuite repris " deuil " et confirmé par " peine". Mais ce chagrin doit être modulé et il s'agirait plus d'une sorte de spleen sans cause. Nous retrouvons dans ce texte le sentiment permanent de Verlaine entre le chagrin et la douceur, une âme vidée de toute motivation,