Anticipation rationnelle

(monétariste et NC) : pas d'arbitrage possible à LT, à cause des anticipations. courbe = phénomène transitoire, le dilemme de politique économique ne peut être qu’à court terme Il montre que la politique monétaire (qui permet selon Keynes de relancer l’économie et de lutter contre le chômage) n’est qu’inflationniste à Long Terme (ne fait que créer de l’inflation et n’aura aucun effet sur le chômage en réalité). Anticipations adaptatives : individus corrigent progressivement leurs erreurs

nette désirée en période 1 (Di1). Les ordres placés par le dealer i en première période (Ti1) doivent également tenir compte des anticipations de ce dealer quant aux ordres qu’il va recevoir des N-1 autres dealers. En effet, les transactions inter dealers étant simultanées et indépendantes le dealer i ne peut pas observer la réalisation effective de . Les anticipations du dealer i concernant sont notées . Ti1 représente l’ensemble des informations utilisées par le dealer i lors des transactions

consommateurs seraient indifférents cette répudiation Il est probable que cette neutralité extrême existe pas Ce ne sont pas les mêmes consommateurs qui paient les impôts ou détiennent la dette publique il faut des consommateurs extraordinairement rationnels pour ils voient que la perte de patrimoine est compensée par une baisse de la fiscalité ils pourraient de plus penser que le niveau maximal de dette était pas atteint et que la hausse impôts était donc pas inéluctable ou que engagement réduire les

pensent que la richesse se créait sur l’utilité marginale du produit et non sur la quantité de production produite. L’utilitarisme, c’est l’utilité qui va primer, à savoir la satisfaction générale. Par conséquent les agents économiques vont devenir rationnels. A. Marshall : Il théorise l’équilibre partiel. Walras : Il théorise l’équilibre général. Pareto: Il démontre que l’équilibre général est également un optimum. La notion d'optimum de Pareto permet de diviser en deux l'ensemble des états possibles

comportementale. Son objet porte particulièrement sur la façon dont les investisseurs prennent leurs décisions, plus précisément sur les comportements qui s’écartent de la rationalité. Le postulat de base est que « l’investisseur n’est pas totalement rationnel ». Dune part ses choix peuvent être influencés par des routines mentales soumis à des erreurs de jugement systématiques appelées « biais cognitifs », ou à des facteurs émotionnels comme la peur ou l’excès de confiance. On trouve dans les biais

37 II-2. Des modèles traditionnels... 41 II-3. Aux développements plus récents 44 III- QUEL SIGNAL POUR QUELLE FORME DE PROGRES TECHNIQUE ? 54 III-1. L’incitation à l’évolution technologique 55 III-2. La stabilisation des anticipations 57 III-3. Les conséquences des hypothèses de progrès technique sur les conclusions en matière de politique économique 60 DEUXIEME PARTIE : EVALUATION DE L’EFFET SIGNAL DES PRIX 68 I- UN MODELE THEORIQUE DE COMPETITION TECHNOLOGIQUE

condition d'atomicité des intervenants sur les marchés), car il est crucial pour un opérateur d'anticiper avant tout les anticipations des autres intervenants (Keynes), - l'auto validation, car la convergence des anticipations peut provoquer la réalisation de celles-ci. Ainsi, l'Ecole des marchés parfaits et des anticipations rationnelles envisage l'existence de bulles rationnelles (équilibre des tâches solaires), conséquences du mécanisme d'anticipations auto-réalisatrices, - la sur interprétation

réaliser des gains supérieurs à la moyenne sans accepter de prendre des risques supérieurs à la moyenne ". L'hypothèse d'e_cience s'appuie également sur la rationalité des individus intervenant sur les marchés _nanciers. Pour Allais, " un individu rationnel est un individu qui poursuit des _ns cohérentes entre elles et qui emploie les moyens appropriés aux _ns poursuivies ". Par marchés _nanciers, nous désignerons l'ensemble des marchés sur lesquelles s'e_ectuent des opérations relatives au _nancement

et de la crédibilité et dont une synthèse est proposée en première partie de cette étude, constitue une grille d’analyse importante. Kydland et Prescott ont montré que, dès que le choix des agents privés pour la période courante dépendait des anticipations pour les périodes futures, la mise en oeuvre d’une politique « optimale » n’était pas soutenable. Appliqué au cas de la politique monétaire, ce résultat se traduit par l’impossibilité pour le gouvernement d’atteindre la cible d’inflation socialement

surendettement et de la déflation de FISHER  La théorie de la surcapitalisation de HAYEK o les cycles à l'équilibre : les fluctuations proviennent de chocs exogènes monétaires dans un cadre d'équilibre général : le modèle d'anticipations rationnelles de LUCAS. o les nouvelles théories keynésiennes : les fluctuations peuvent être amplifiées par le système financier et bancaire :  Différenciation et rôle des contraintes de financement dans l'instabilité cyclique  Asymétries d'information