Antigone Comparatif

Smith, Ricardo, HOS... Des avantages absolus aux avantages comparatifs. Adam Smith explique l’échange entre les pays par les différences des coûts de production (théorie des avantages absolus). Ces différences sont appréciées en comparant les coûts absolus : un pays importe un bien si sa production nationale est plus coûteuse que son importation. C’est une application de l’analyse des effets de la division du travail au commerce international. Mais cette présentation entretient une confusion

contribuent à engendrer au sein du secteur l’hétérogénéité des compétences et à entretenir le caractère durable de l’avantage concurrentiel. » Il ne faut pas confondre avantage concurrentiel et avantage comparatif. Jean-François Trinquecoste explique que : « Considérer que l’existence d’un avantage comparatif explique généralement celle d’un avantage concurrentiel conduit à rechercher, dans un supplément d’efficacité (ou d’efficience) portant sur le processus de génération de valeur, la clé d’une performance

recul des investissements et du développement industriel. Ainsi apparaît l'« état stationnaire ». Les « avantages comparatifs » Par la loi dite « des avantages comparatifs », Ricardo montre les bienfaits du libre-échange, c'est-à-dire de la circulation des produits sans entraves douanières. Un pays a intérêt à se spécialiser dans la production des biens où il détient un avantage comparatif par rapport à ses partenaires. Grâce au commerce international, chaque pays peut disposer d'une plus grande quantité

. 3 Chapitre I : Aperçu sur les fondements théoriques de la spécialisation internationale ........................................... 5 A. Le modèle ricardien : principe des avantages comparatifs. .............................................................................. 5 a. Principe des avantages comparatifs : ............................................................................................................ 6 b. Le modèle ricardien du commerce international : ....................

subventions et la protection douanière, manipulé les taux d'intérêt et de change, orchestré l'investissement et contrôlé l'activité en maniant à la fois la carotte et le bâton. L'État a consciemment faussé les prix relatifs pour créer un avantage comparatif et en tirer profit, au lieu de les laisser atteindre leur juste niveau par le libre jeu des forces du marché. Les dirigeants du pays ont estimé que cet ajustement « naturel » serait efficace à court terme, mais déprimerait l'économie à plus longue

autarcie (cas de l’Albanie ou de l’Espagne des années 50). Ainsi, en se référant à l’analyse classique (D. Ricardo), chaque pays aura intérêt à se spécialiser dans les productions où il possède un avantage de coûts relatifs, appelés avantages comparatifs. Ce principe a été énoncé par D. Ricardo dans un cadre théorique simple : - le travail est le seul facteur de production ; - il existe une parfaite mobilité des facteurs de production à l’intérieur d’un pays mais les facteurs ne sont

théories. I) Echanges internationaux et rendements croissants La théorie traditionnelle pose l’hypothèse de rendements constants. La spécialisation internationale n’est déterminée que par des différences figées de coûts de production (l’avantage comparatif), expliquées entre autres par des dotations naturelles de facteurs de production. Dans cette théorie, la taille des nations n’a aucun impact sur la spécialisation internationale. Que se passet-il, au contraire, si les coûts de production diminuent

industries naissantes qui ne peuvent pas être assez compétitives contre des industries plus anciennement développées. Le protectionnisme va donc naitre des différences de développement entre les pays, ces différences représenteront des avantages comparatifs contre lesquels on ne peut pas louper. – Dimension politique : Peut servir au développer mais peut surtout servir à l'indépendance d'un pays. On doit protéger les industries d'armement, qui vont faire en sorte qu'un pays puisse répondre à une

entraînaient une spécialisation des entreprises de chaque pays dans les productions pour lesquelles ce pays dispose d'un avantage comparatif 3: c'est la division internationale du travail. Cette spécialisation entraînait un gain à l'échange : le produit total des pays qui échangent est supérieur à la somme de leurs productions avant échange. Cependant, l'avantage comparatif concerne, pour les classiques (en particulier David Ricardo), la productivité du travail, alors que les auteurs néoclassiques

qu’il soit recyclable. Or, Casino a réussi à « fixer le bilan carbone d'une tasse à 66 grammes contre 82 grammes actuels de CO2 pour Nespresso » indique Jean-Paul Gaillard (le patron d’Ethical Coffee Company), ce qui peut constituer un avantage comparatif à l’avenir, et séduire les adeptes du consommer-responsable. b) Le retournement de situation Causes internes et externes CEPENDANT, il n’y a pas de pénurie car même si il y a eu des évènements climatiques en juin, la production augmente, comme