Antigone Face à Créon

Sphinx : Lion à tête de femme, ''monstre sanguinaire'' qui dirigeait Thèbes avant le retour d'Oedipe. Etéocle et Polynis : Fils d'Oedipe et Jocaste Antigone et Ismène : Filles d'Oedipe et Jocaste Oedipe face au Sphinx L'histoire d'Oedipe : La reine Jocaste attend un enfant. Son mari, Laïos, roi de Thèbes, s'enquiert auprès des dieux, comme il est naturel, de ce qui va venir. La réponse de l'oracle est terrible : " Il tuera son père ; il épousera sa mère". Il décide d'échapper à son destin :

critère est la sanction,opinion partagée par les positivistes. On le retrouve chez Kelsen et Carbonnier. Le pb est que logiquement il est difficile à mettre en œuvre. On ne conçois pas un ordre juridique sans sanction . Difficultée : Comment s'assurer que la loi est respectée ? La sanction est un critère fondamental de la règle de droit. On retourne alors à la question de l'origine du droit. Le gendarme sanctionne car il sera sanctionné de ne pas respecter la loi. La règle de droit n'est elle pas sanctionnée

percent les chevilles de leur enfant pour le pendre à une branche du mont Cithéron. C'est de la que viendrait son nom, Œdipe pour «Pieds enflés» Œdipe est sauvé miraculeusement: Polybe et Mériope, le roi et la reine de Corinthe, l'adoptent et l'élèvent comme leur fils. Œdipe grandit et, prit d'un doute sur sa famille, va consulter un oracle pour savoir si Polybe et Mériope sont ses vrais parents. L’Oracle de Delphes ne répond pas à sa question, mais le prévient comme il l'avait fait

classique. Première partie : la tragédie antique ou le début des œuvres lyriques et dramatiques Tout a commencé par la présence d’un choeur qui célébrait le dieu en se produisant autour de son autel. Par la suite, on a ajouté les acteurs dans ces cultes faits au dieu Dionysos et c’est ce qui a permis les dialogues tels qu’on les connaît dans la tragédie grecque. Eschyle a été le premier à les introduire au cinquième siècle av. J.-C., mais c’est Sophocle et Euripide qui les rendirent plus importants

Antigone commentaire Un aveu est une déclaration dans laquelle on reconnaît quelque chose que l'on n'avait encore jamais reconnu auparavant. C'est une pratique peu commune dans la tragédie classique surtout en ce qui concerne l'aveu d'une faute. Malgré ça, c'est l'aveu d'une faute et d'un regret qu'on analyse dans le texte que nous allons étudier. En effet, dans ce texte d'Anouilh écrit en 1944, pour décrire l'occupation allemande à la façon d'une tragédie classique. Il s'inspire d'un des plus

Oedipe Roi de Sophocle. 1_ Sophocle est né à Colone en 496 ou en 495 et mort en 406 avant JC. Il a fait parti des trois grands tragédiens grecs avec Eschyle et Euripide et a joué de nombreux rôles, entre autres celui d'homme politique car il a été nommé héllénotame (chargé de la collecte des impôts) et nommé ensuite stratège aux côtés de Périclès. Il a aussi beaucoup fait pour le théâtre; il introduisit un troisième acteur dans ces pièces et supprima le système de la trilogie. En effet avant

possession du suiet coræpondant à sa séde' Pâgè 1 sur 10 g.FRSE.MEILR1 Obiet d'étude Le théâtrè : texte et représentetion Le sujet comprend : Texte A - Mofière, Lâ Critique de L'Ecole des temmes (16ô3), scènè 5 Texle B - Edmond Rostand, Cyraro dê Eetgelac (1897), acte l, scène 3 Texte c - Pâuf claU,del, Le soulier & safin ('l929), Première ioutnée, 3cène Tèxtê D - Jèan Anouilh, Ant gonê (1944), Prologue I Pâge 2 sur 10 9.FRSE,MElLR1 TEXTE A '. Mof ière, La Critique

Antigone – Jean Anouilh : correction du commentaire sur la tirade du chœur Extrait : Et voilà. Maintenant le ressort est bandé. Cela n’a plus qu’à se dérouler tout seul. C’est cela qui est commode dans la tragédie. On donne le petit coup de pouce pour que cela démarre, rien, un regard pendant une seconde à une fille qui passe et lève les bras dans la rue, une envie d’honneur un beau matin, au réveil, comme de quelque chose qui se mange, une question de trop qu’on se pose un soir... C’est

 PROGRESSION 3e: Séquence 1: Récits d'apprentissage objectif: découvrir le récit d'apprentissage à travers une nouvelle de Maupassant et des extraits d'un roman du Xxe siècle. Langue:- les temps du récit ( l'Enfant p.416à 418, p.368) -discours direct ,indirect et indirect libre (extrait 1 la vocation p. 32) -les points de vue(p.380 et 386) -le lexique de l'émotion( texte une passion dévorante p.34) Lecture: -étude de la nouvelle L'enfant de Maupassant -extraits de R.Gary Evaluations:

de nombreux problèmes. Premièrement, parlons nous ici de lois au sens des Nomoï grecques, c’est-à-dire à la fois lois positives, lois intérieures, et valeurs ? Parlons noux bien de coutumes au sens d’éducation ou des mœurs, des manières, des habitudes sociales, des conduites valorisées ou des modèles ? Ces lois, ces coutumes suffisent-elles pour définir la justice ? Deuxièmement, n'est-ce pas contraire à l'idéal de justice que de n'obéir qu'aux lois et coutumes de son pays ? Enfin, est-ce suffisant