Antihéros

lui-même) Captain America ( soldat voulant s’engager dans la guerre mais est refusé car il est trop faible il suit alors un programme qui font de lui un super soldat capable de défendre sa nation contre les menaces extérieures) les super héros (antihéros) de l’URSS , eux bien qu’ils soient plus rares et moins connus , ont essentiellement étés faits par des américains ,ils sont donc souvent les ennemis dans les comics mais ont une composition différente, ils sont souvent des employés du gouvernement

la néovampire rencontré plutôt. IV. Robert Néville est un Ouvrier moyen de 36 ans. Rien ne le prédestine a devenir le dernier humain de la terre. Alcoolique et devenant peut a peu fou il n'a rien d'un héros et es plutôt considéré comme un antihéros il ne sais même pas pourquoi il tente de survivre et malgré ses maigres connaissance voir inexistante en science il essaie de comprendre pourquoi tout a dérailler comme ça. Ruth est une espionne néovampire qui se fait passer pour une femme normale

qui-est il　? Dans ce passage, il n’y a pratiquement aucune description du personnage mais les perceptions, interventions et attitudes du personnage nous permettent de porter quelques interprétations morales et sociales de cet étranger. C’est un antihéros - Son portrait physique n’est pas réalisé, il ne porte également pas de nom. - Le portrait moral nous montre que ce personnage n’a pas de tristesse et ne prend pas conscience de la mort de sa mère　: c'est comme si elle n'était pas

comportement. Ce qui nous amène à parler du héros dans le roman d'apprentissage du 19ème siècle : Flaubert, Balzac, Stendhal ou Maupassant. Son statut est remis en cause par Flaubert notamment dans Madame Bovary, où les héros sont en fait des "antihéros" car ils échouent sur tous les plans et se signalent par leur médiocrité, leur inaptitude à s'inscrire durablement dans une société généralement avare en bons sentiments et qui relègue l'homme de cœur au second plan. Le héros du roman d'apprentissage

vérité […] Et ça n’est pas nouveau non plus […] Nous ne changeons pas ». Le monde est figé, la situation est désespérée : « C’est pas une vie ! ». Les gens, la politique, la guerre, le travail, la race française, l’amour. Céline fait de Bardamu un antihéros désespéré et révolté à la fois.  CELINE n’a pas peur de faire une satyre à travers Bardamu de la politique actuelle, du système actuelle « on est nous les Mignons du Roi Misère ». Il montre la dureté «  Quand on est pas sages, il serre ». La non-liberté

héros, solitude du héros face au prêtre qui assume presque le rôle du choeur antique, touts les autres mention de la mort, du destin révolte intérieure qui est est le propre de la catharsis acces au sublime par le retour au calme n'est-il pas un antihéros on peut voir ici un monologue intérieur, poursuivi par le destin sous la forme de la chaleur (objet métaphorique) le je est omniprésent. La révolte intérieure est propre à la catharsis. Véritable purgation des sentiments mauvais, réaction du prêtre

plusieurs reprises dans cet incipit, c’est le constat : « Rien n’est changé en vérité […] Et ça n’est pas nouveau non plus […] Nous ne changeons pas ». Le monde est figé, la situation est désespérée : « C’est pas une vie ! ». Céline fait de Bardamu un antihéros nihiliste désespéré et révolté à la fois.. - Le Voyage commence de manière significative par ce propos : « Moi, je n’avais rien dit. Rien. C’est Arthur Ganate qui m’a fait parler ». Le discours de Bardamu est fait d’outrance, de provocation et

pépère). » ) ; il quitte Molly, une prostituée qu'il a connue en Amérique, alors qu'elle s'était entièrement livrée à lui, corps et bien ; il couche avec Madelon, la fiancée de Robinson, sous son propre toit... Bardamu est donc la figure même du antihéros, il n'a pas les caractéristiques du héros. Du début à la fin, il n'a pas la volonté de poursuivre un but ; par un concours de circonstances, il se trouve plongé dans une série de péripéties qu'il subit et ne contrôle pas. C'est un homme du peuple

peuvent s’identifier. La réécriture de son mythe à travers le temps en est la preuve. Cependant, le fait qu’il soit puni pour ses blasphèmes donne une visée morale au mythe. Dans un contexte religieux, Don Juan peut également être considéré comme un antihéros servant de contre-exemple au peuple.

« Dieu » l10· choix du livre pas anodin : montre sympathie de JS pour Bonaparte, livre = grandeur, sa perte = renoncement à ses rêves (attention : se passe sous la Restauration)2.· expressions péjoratives pour le décrire : CL faiblesse, vu comme antihéros, absence de virilité (« délicats » l14), mais seulement « en apparence » l14· opposition réalité intérieure avec termes mélioratifs : volonté, énergie, mental fort· aperçu de son âme (sombre) : « grand yeux noirs »· CL violence : pas innocent, prêt