Antioche

Malgré les encouragements d’Arsace, Antiochus se rappelle les sentiments de Bérénice à son égard et oscille entre espoir et inquiétude. Il décide de ne pas être le porteur de la mauvaise nouvelle. (3) Mais Bérénice entre en scène à ce moment et force Antioche à parler. Elle ne le croit pas et le bannit pour toujours de sa vue avant de sortir, effondrée. (4) Antiochus attend la nuit pour partir, et la confirmation que la reine n’a pas, par désespoir, cherché à attenter à ses jours. Acte IV (1) Bref

certains sont restés et se sont installés en Syrie-Palestine «  nous arrivâmes à la maison d'un chevalier , un de ceux installés depuis longtemps, qui étaient venus avec la première expédition des Francs » et que celui-ci possède « une propriété à Antioche » à la l.34-35 . On peut en déduire que l'objectif de départ de la première expédition des croisés a été détourné car même si leur présence leur permet de servir sur place le Saint sépulcre, ils ont d'un autre côté décidé de rompre l'accord passé

possible de retracer la vie de Paul. En 39 Paul se trouve à Kokba et à Damas, puis en 41 à Antioche. En 50 Paul rencontre Luc. En 51 Paul est à Athènes et à Corinthe. C'est à cette époque que serait rédigée la première épître aux Tessaloniciens. Pendant son séjour à Ephèse, en 52, Paul rédige sa première épître aux Corinthiens. En 53 ou 54 Paul rencontre Jacques, Kîpha (Pierre) avant de retourner à Antioche où il rencontre à nouveau Kîpha. C'est vers 55, que Paul rédige l'épître aux Galates et la

d’échanges]· Origines d’un système financier, la Banque· Premier essaie - croisade populaire [absence de chevalier] – Écheci. Première croisade (1095 – 1099)· Godefroy de Bouillon · Réussite – Prise d’Édesse et Jérusalem· Fondation des État latins [Édesse, Antioche, le Krak, Jérusalem]ii. Deuxième croisade (1147 – 1149)· Lancée à la suite de la reconquête d’Édesse par les Turcs· Louis VII et Aliénor d’Aquitaine · Échec cuisant : 20000 croisés mortsiii. Troisième croisade (1189 – 1192)· Lancée à la suite de

désormais considéré comme l’image de Dieu sur Terre, responsable devant lui du salut de ses sujets et chargé d’étendre à toute l’humanité la religion chrétienne. 2) L’organisation et la puissance de l’Eglise Les évêques des grandes cités de l’empire (Antioche, Alexandrie, Constantinople) prennent plus d’importances que les autres et celui de Rome, successeur de Saint Pierre, revendique le titre de chef de l’Eglise. L’Eglise de la fin du IVe siècle est très riches des dons consentis par les empereurs

-l’autre groupe s’organise derrière les princes (Godefroy de Bouillon, Hubert de Vermandois) et va par mer (Naples, Bari, Constantinople). Les croisés restent jusqu’en 1097 à Constantinople, puis conquièrent l’Anatolie, Antioche et descendent jusqu’à Jérusalem, dont le siège commence. Tous les défenseurs, juifs comme musulmans, sont exterminés, mais le Saint-Sépulcre (tombeau du Christ) est délivré. La ville devient chrétienne et quatre Etats s’organisent à partir des nouvelles

à la plaine de la Bekaa, à Beyrouth, à Sidon et Tyr, contribuant ainsi à former l’unité libanaise. Il devient alors grand émir du Liban et accroît ainsi sa puissance politique mais également sa puissance territoriale par de nouvelles conquêtes : Antioche au nord, Palmyre à l’est et Safad au sud. Mais sa puissance irrite la Sublime Porte c'est le nom de la porte d'honneur monumentale du grand vizirat à Constantinople. Exilé à Constantinople avec sa famille, il est condamné à mort le 13 avril 1635

capture l’empereur Romain IV Diogène. En 1078 les Turcs Seldjoukides délogent de Jérusalem les Arabes Abbassides qui y étaient installés depuis 637. Une période de libre accès à Jérusalem par les pèlerins chrétiens se termine alors. En 1084 Antioche, ville chrétienne, tombe dans les mains des Turcs Seldjoukides. Les pèlerins ne peuvent plus se rendre en sûreté en Terre Sainte. Pierre l’Ermite en informe le Pape à son retour par l’Italie. Constantinople se trouve directement menacée.

sein du christianisme : Le schisme de 1054 (querelles théologiques et de préséance entre le pape et le patriarche de Constantinople) marque la séparation des Églises d'Orient, dites Églises des sept conciles (Jérusalem, Constantinople, Alexandrie et Antioche) de l'Église de Rome (en fait l'Église d'Occident). Depuis ce schisme, le mot orthodoxe désigne l'Église orthodoxe (fortement présente en orient, d'où le fait qu'elle soit appelée parfois Église d'Orient : en Grèce, en Russie, en Roumanie, en Bulgarie

astronomie ou physique. Sous l'empire, les principaux centres universitaires sont -en Italie et en Gaule : Rome, Milan, Trêves, Marseille, Bordeaux, Autun, -en Grèce et en Illyrie : Athènes, Rhodes, Mitylène, Apollonie, -en Asie : Pergame, Antioche, Smyrne, en Afrique : Alexandrie, Carthage Les écoliers apprenaient leurs leçons sur de longs rouleaux de papyrus. Aussi bien au garçons qu'aux filles, on enseignait le respect des divinités protectrices du foyer, la déesse Vesta et les dieux