Antithèse

d’abord, l’extrait de Voltaire nous raconte une histoire narrative, en fonction d’une focalisation externe. Dans cet extrait, Voltaire décrit le monde comme un lieu de combat entre le bien et le mal. Au premier paragraphe, voltaire utilise plusieurs antithèses, mais la plus intéressante est celle du propos de martin : « Dieu a abandonné la terre à quelque être malfaisant.» C’est-à-dire que, Martin oppose encore une fois le bien au mal et le mal triomphe sur le bien. Autrement dire, le mal est présent

invention d’autres poètes, elle n’a peut être pas vraiment existé. ANALYSE : * C’est un sonnet ; 2 quatrains et 2 tercets en décasyllabe. * Rimes en ABBA pour les quatrains et CDCCDD pour les tercets. * Il y a de nombreuses antithèses. * Il y a des oppositions physiques et émotionnelles du « Je » poétique expriment le désordre, et la souffrance amoureuses. * REGISTRE LYRYQUE : le poète parle de lui même. Omniprésence du « Je » poétique. * REGISTRE ELEGIAQUE :

En effet, au vers 7, elles se dotent de « dents ». Le travail est également personnifié au vers 25 car il « se sert » des enfants. Au vers 8, la métaphore qui associe la machine à un« monstre hideux » assimile le travail à un cauchemar. Les deux antithèses du vers 22 : « D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! » montrent que le travail enlèverait la beauté et l’intelligence, même au meilleur enfant. C’est la preuve de la force destructrice de ce travail. Le chiasme du vers 20 : « La beauté sur

exemple et élaborer la réponse finale sur fond de l’analyse livrée. • Évoquer un mythe, un fait d’hiver, une découverte scientifique, une anecdote ou utiliser même une métaphore… Développement : 1- Présenter la réponse sous la forme thèse- antithèse- synthèse. -Il est également possible de développer la réponse sous la forme d’un « plan progressif » : Le plan progressif correspond au sujet qui invite à ne donner qu'une seule réponse. Chaque partie correspondant à une étape d'approfondissement

I. Un véritable état de guerre

 A. Un quotidien difficile - Les difficultés de ravitaillement : opposition des familles pauvres aux familles riches (début de l'extrait), présence de la spéculation : hyperbole avec « prix fabuleux » et antithèse avec « le marché ordinaire ». 
- Impression d’une situation interminable et insoluble : utilisation importante de l’imparfait (pour les actions longues). 
- Individualisme exacerbé et rendu ordinaire : « jeu normal des égoïsmes ».


 B. Le contrôle

nôtres » « nos » (adjectif possessif). Le « nous » représente les gens à la cour qui ne se posent pas de problème avec la société. Le «  nous » dans le dernier paragraphe représente les français chauvins. Paradoxe (doxa en grec) : Antithèse au dernier paragraphe, Antithèse entre lui et les français en voyage, il insiste sur ses goûts de variétés. L’omen abomino est la manifestation d’une divinité (rejet d’une manifestation in désiré). Registre ironique car l’utilisation d’une hyperbole, discours rapporté

car chacun pouvait être lui-même, «selon qu'il v[oulai]t l'être, esclave ou roi» (l. 57-58), et que chacun pouvait être tout et rien à la fois – ce qui constitue une hyperbole – et grâce à cette antithèse, on retrouve de nouveau l'idée qu'il n'y avait pas de frontière, et donc de liberté. Cette antithèse peut être opposée à la «société usée, où tout est mesquin» (l.62), «où tout est factice» (l. 63): ce parallélisme induit une idée de répétition, ce qui sous-entend que la société est petite et une

douteux » la nature est soumise a l´artifice.visée dramatique dont l effet recherché est de créer une ambiance sombre - Allusion aux enfers - Champ lexical du lugubre « obscure », « affreux séjour », « lieux sombres », « le commerce des ombres », antithèse « dont l´art commande la nature », «palais/grotte » - B) le magicien : - mise en abîme avec le lecteur comme acteur « N´avancez pas »et le magicien comme metteur en scène de l´illusion « ou l´air en sa faveur ». - Il est le maitre de la scène

les abus ou les crimes d’un homme ou d’une époque (implicite, sarcasmes, antithèse…). I. Le registre tragique Il suscite une impression de terreur et d’admiration devant le malheur et la fatalité qui frappent le héros affrontant son destin (destin inéluctable qui voue à la souffrance et à la mort). Procédés : champs lexical de la mort et de la fatalité et de la solitude, langage soutenu, interrogation, antithèse, recours à la 3ème personne pour marquer la dépossession de soi…

éventuellement du film. » Idées / plan : Introduction : Accrocher : l’éducation grecque / l’éducation aujourd’hui. Présenter : l’image des professeurs et des élèves est elle juste ? Annoncer : première partie = thèse et deuxième partie = antithèse I/ Thèse, ce qui se révèle juste dans le livre. - Le contexte scolaire est réaliste : des évènements qui ont eu lieu sont évoqués : comme les attentats du 11septembre2001 et la guerre en Irak : vraisemblable. Et une des classes de 3ème a passé