Antithèse

1. Feminin vs. masculin La dernière lettre du roman est mis en place par une rethorique de l`antithèse. On a ,parmi autres, l`opposition masculin-feminin. Usbek est un symbole de la toute puissance masculine et les femmes du Harem lui appartiennent. Pour lui, une femme est un objet qui doit obéir. De l`autre coté on a Roxanne, la femme incapable de soumission, mais capable de vangeance, la femme libérée par la mort. Donc, on a ici une revolte du femme qui ne peut pas accomplir son destin et

tombé/monté au ciel : lien. → « Dieu » et « les astres » : lien avec le domaine de la religion et du spiritisme (auquel c’est fortement intéressé V.H) → « Fleurs » et « prés verts » : domaine de la nature (important dans le lyrisme). V. 15-16 → Nouvelle antithèse : « esprit » / « femme » qui marque le lien entre le spirituel et le terrestre. Souligne également l’intelligence de Léopoldine qui prime sur son genre. → « Regard »/ « âme » = spirituel/terrestre. → Le mot « clarté » souligne la pureté de Leopoldine

« éternellement ». Il effectue une antithèse au vers 9 « Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, », cette figure insiste sur le caractère scandaleux du travail subit. « Jamais on ne s’arrête, jamais on ne joue » vers 11, est une anaphore qui compare le travail à un monstre, comme au vers 8 avec une métaphore filée « Monstre hideux ». Au vers 18 « souffle étouffant » est une oxymore faisant référence à un univers angoissant. On repère un une antithèse au vers 24 «  Qui produit la richesse

; et plus particulièrement, par l'image des Saisons : * printemps "mois de mai" * été "excessive ardeur (étymologiquement : brûler)" * automne "pluie" * ET... hiver : la mort. - les antithèses : vie/mort, beauté/inertie morbide, amour/mort (à réfléchir : sont-ce vraiment des antithèses qui choquent deux réalités contradictoires et qui révoltent le poète Ronsard exprime-t-il une image terrible de la mort ?... Se révolte-t-il ? - les hyperboles : notamment celles explicitant la BEAUTE

bien des réactions. On s’interroge sur sa raison d’être : la moquerie du philosophe tombé dans un puits à force de chercher la vérité dans le ciel et la mort de Socrate, traduisent bien à la fois le caractère tragique et puérile de la philosophie. Antithèse  En revanche, le refus de philosophé équivaudrais à une « déréliction » au sens Heidegger (philosophe allemand), à un abandon de soi car il s’agit de réfléchir, de se questionner. La philosophie s’impose de ce fait comme une discipline nécessaire

leurs cas pour dire si oui on non elles ont un ou plusieurs points commun. Thèse : oui elles ont un point commun. Exemples : définir la violence dans sa généralité sans distinction. -Au niveau de la loi en France toute violence est sanctionnées. Antithèse : non elles sont différentes. Citer les différences entre les violences politiques, économiques, sociales et scolaires. Synthèse : dire que dans la généralité elles ont en commun c’est que ce sont toutes des violences mais que si on cherche plus

l’homme charmant-criminel : à la fin des hémistiches, antithèse l’homme se change en loup-garou 2e quatrain : v.5 à 10 : sous partie – le travail tue, et la nuit apporte un certain soulagement, plus d’espoir, revendication sociale, le crépuscule du matin nous décrit ce travail v.11 : ce sont les démons qui sont coupables, et l’homme qui est faible et qui succombe réf. à l’Avis Au Lecteur les démons s’éveillent lourdement  antithèse, un réveil est normalement léger allitération en « v »

-énumération, emplois des possessifs, pronom « je » -parallélisme constructif qui insiste sur la puissance de Médée déployée par le passé b) Des éléments qui annoncent et préparent le dénouement tragique -champs lexical de la mort de l’enfer, de la haine -antithèse qui annonce la violence finale et gradation/hyperboles qui font imaginer la violence du dénouement Monologue en vers/rimes Didascalies absentes Apostrophes aux dieux (v.1-228), aux Furies, à Jason (tu v.241-248) personnage absent Questions rhétoriques :

provocatrice de Gavroche s’oppose au danger réel : « Il se dressa tout droit ». Danger rappelé par les émotions de la barricade : « on n’osait lui crier de revenir de peur d’appeler l’attention sur lui », « haletants d’anxiété ». Opposition héros antithèse « la barricade tremblait, lui, il chantait » : insistance sur la différence par la forme emphatique (répétition du pronom personnel, objet et sujet). Face à la gravité des adultes, dramatisation crée par l’insouciance du gamin des rues cf les élts

passe mène inéluctablement a la mort .Allégorie du tempsAiguille de l'horlge qui nous pointe (expériece commune nous et individuelle toi)Antithèse plaisir vaporeux et Douleurs Vibrantes cl de la voracité caractère insatiable du temps qui avale le bonheur et l'existence comme un orgre monstrueux .Seconde dénombrés selon une loi mathématique (impartiale) + antithèse passé/présent(cl du temps) = accélération du rhthme .Temps qui passe est une notion universelle + caractère froid et insensible .Métaphore