Antonin Artaud Et Le Théâtre Et Son Double

acquis les droits de l’œuvre de Léon Chestov (1866-1938), un philosophe russe de l’entre-deux-guerres, très prisé dans le monde anglo-saxon. Mais Antoine Jaccottet ne s’arrête pas aux pavés. En mars, il fera paraître Henri VIII, la dernière pièce de théâtre politique de Shakespeare, dans la traduction du poète André du Bouchet. « Aujourd’hui, on ne la trouve pas en pièce unique. Qui sait, cela donnera peut-être l’idée à un metteur en scène de la représenter? » p A. B.-M. “Impossible de lâcher ces

Biennale de Paris. Il travaille par exemple à la scénographie pour la section architecture et design de l'exposition 'Les Années 50' au centre Pompidou en 1988. En 1976, il rencontre le scénographe Jacques Le Marquet qui lui fait découvrir le monde du théâtre et de la mise en scène. Cofondateur du mouvement d'architectes français 'Mars 1976', du syndicat de l'architecture, organisateur principal de la consultation internationale pour l'aménagement du quartier des Halles de Paris, Jean Nouvel a reçu de

numériquement, qui peut être « imaginaire, symbolique ou une simulation de certains aspects du monde réel » (extrait du Traité de la réalité virtuelle, P. Fuchs)[1]. Certains font remonter l'expression à Antonin Artaud, qui décrit le théâtre comme une « réalité virtuelle »[2] dans son œuvre Le Théâtre et son double (1938). L'expression est reprise par Jaron Lanier en 1985 pour désigner un espace de représentation « réaliste », tri-dimensionnel, calculé en temps réel, immersif. Du fait de l'originalité de l'expression

Parti Socialiste de France (Guesde, Vaillant, révolutionnaire ; POF, PSR) - démission de Waldeck-Rousseau ; Loubet fait appel à Emile Combes (après la victoire du « Bloc des gauches » ; Agulhon : « un monsieur Homais au pouvoir, bref un imbécile doublé d’un flic ») ; fermetures de nombreux établissements congréganistes (Waldeck parle de « loi d’exclusion ») - création de la Fédération nationale des Jaunes de France (Pierre Biétry, jaunisse, « la grande famille du travail ») - mort de Zola - première

le Classicisme et les Lumières avant la Révolution et la Modernité depuis; 3°) l'école (ou le courant); 4°) le genre : la non-fiction et la fiction, le poème et le roman ou les autres formes romanesques (nouvelle, conte), la pièce de théâtre, les écrits intimes ou autobiographiques, etc.; 5°) le style : variable d'une oeuvre ou d'un auteur à l'autre; 6°) l'auteur lui-même : sa vie et son oeuvre. L'histoire littéraire cherche, à travers ces différents critères, à établir

sources d’inspiration et sa technique. 1. La première génération des écrivains du XXe siècle Le siècle s’ouvre par une « Belle Epoque » qui l’est d’abord pour les trois grands genres littéraires traditionnels : la poésie avec Apollinaire, le théâtre avec Paul Claudel et le roman avec Proust qui paraissent trouver le second souffle d’une modernité. Mais la Grande Guerre n’a pas seulement rompu cette renaissance des esprits et des œuvres. Elle a précipité la confrontation de la modernité littéraire

survivre par tous les moyens, quitte à exercer une violence les unes sur les autres. Ce faisant, les forces en présence dans cet univers fermé glissent inexorablement vers le chaos. 1 Oumar Seck, L’écriture de la fable des dictatures dans le théâtre de Sony Labou Tansi : l’exemple de Conscience de tracteur et de Qui a tué Madame D’avoine Bergotha ? Mémoire de Maîtrise ; Lettres Modernes, UCAD, FLSH, 1998-1999, p.16. 16 I.2. Un climat social malsain Le peuple est souvent représenté sous

Renaissance, le Classicisme et les Lumières avant la Révolution et la Modernité depuis; 3°) l'école (ou le courant); 4°) le genre : la non-fiction et la fiction, le poème et le roman ou les autres formes romanesques (nouvelle, conte), la pièce de théâtre, les écrits intimes ou autobiographiques, etc.; 5°) le style : variable d'une œuvre ou d'un auteur à l'autre; 6°) l'auteur lui-même : sa vie et son œuvre. L'histoire littéraire cherche, à travers ces différents critères, à établir un répertoire d'œuvres

parisien, je parle parisien, je prononce parisien» (“Portraits-Souvenir”). Son grand-père, amateur éclairé, l'éveilla à la musique ; son père, qui dessinait et peignait volontiers, lui avait transmis ses dons picturaux ; sa mère l'emmena très tôt au théâtre, où il contracta ce que, dans “La difficulté d'être“, il appela «le mal rouge et or», par allusion au rideau traditionnel en velours rouge et à frange d’or qu’il avait vu se lever lorsqu’il assista à une première représentation au Châtelet du ‘’Tour

désignées sous le nom de Maures. 4. Les ambiguïtés de la guerre On reviendra sur le désir de l’Église de canaliser la violence guerrière en établissant, avec les croisades, le concept de guerre « juste » et en instituant des périodes de trêve. Sous la double influence du clergé et de la littérature courtoise, les mœurs rudes de la chevalerie s’adoucissent, la brutalité guerrière se tempère du souci d’épargner l’adversaire vaincu (voir l’extrait de la Vie de Saint Louis, p. 25-26), l’éthique et les