Aphasie

fils Jean-Pierre lui rendait visite chaque soir en raison de sa proximité, et la fille passait une journée par semaine avec elle. En mai 2007, elle fait un accident vasculaire cérébral (AVC) d’origine ischémique avec un déficit moteur à droite, une aphasie, un refus d’alimentation, qui nécessitera la pose d’une sonde de gastrostomie. Une sonde urinaire a été posée suite à un globe vésical (échec de l’ablation de la sonde à plusieurs reprises lors de l’hospitalisation). La famille décidera de son institutionnalisation

dans la production de la parole. Ce centre de la parole est connu maintenant sous le nom de ‘’l’aire de Broca’’ situé dans la troisième circonvolution du lobe frontal. (Voir image 2), et une lésion a ce niveau entraîne une ‘’aphasie de Broca’’. Le sujet a alors des difficultés à formuler oralement ses idées, alors que celles-ci sont intactes dans son esprit. La compréhension est peu touchée, mais l'expression est diminuée - Image

octobre 2009, suite aux décès successifs de son mari puis de son fils ainé. Ce qui entrainera une aphasie et une hémiplégie droite. Elle est hospitalisée. Après une longue hospitalisation, la récupération se fait attendre mais, en vain. La prise en charge de différents intervenants (orthophonistes, kinésithérapeutes, psychomotriciens), n’a pas permis de récupération motrice et elle garde une aphasie majeure. Mme B a depuis, une altération des fonctions intellectuelles, cognitives et neurologiques

gauche avec une certaine force et mobilité mais non fonctionnelle et aphasie d’expression séquellaire suite à AVC sylvien gauche en février 2011.Le devenir :sortie en fin de mois octobre,VAD. Synthese des antecedents - fibrillation atriale paroxystique(durée inférieure à 7 jours, généralement 48h,se terminant spontanément),en août 2012 à l’épruve d’effort ; -AVC ischémique sylvien gauche en février 2011 avec aphasie d’expression séquellaire ; -AVC hémorragique ancien à Saint Nazaire ;

, un soin de bouche que j'ai observée sur un patient , puis ensuite effectuée à mon tour sur Mme G , une patiente grabataire qui dépend totalement des soignants pour répondre à tout ses besoins quotidiens , elle ne communique pas à cause de son aphasie mais communique par des gestes et expressions du faciès , elle est alimentée par sonde de gastrostomie et ne peut donc s'hydrater par voie orale. En observant la situation de soin de bouche sur un patient avant de la réalisée moi-même , j'ai éprouver

hémiplégique gauche avec aphasie. J'ai trouvé cette situation très intéressante car mes questionnements se posaient sur le plan technique en lien avec les conduites à tenir et aux mobilisation de la personne âgée lors du soin pour sa sécurité, sur le plan relationnel mais surtout sur le confort et le bien-être de cette dame. Mme M a été placée en EHPAD pour recevoir des soins de vie suite à un Arrêt Vasculaire Cérébral qui a entraîné une hémiplégie gauche avec aphasie. Elle vivait avec son mari

de vue et un appareil dentaire. Il se déplace en fauteuil roulant. Monsieur R. était GIR 2 le 27/08/2012 puis GIR 1 le 25/09/2012. Psychologique : Monsieur R. est désorienté mais semble comprendre son état et beaucoup de choses même si son aphasie pénalise sa communication. Le patient a de grandes difficultés exécutives. Lieu de vie : Monsieur R. a toujours vécu à bourg de péage avec sa femme dans une maison. Une infirmière venait deux fois par jour et une auxiliaire de vie 2à3heures tous

probable éthylisme chronique. A ce jour, il est totalement dépendant. Son état général s'est dégradé très rapidement. Depuis l'opération, il est perturbé. Même après la levée de l'anesthésie, les symptômes persistent : agitation, perte de cohérence, aphasie, inversion des rythmes nycthéméraux, cris... Dans les jours suivants, l'état cutané se détériore malgré les préventions d'escarres, les changements de position et le matelas autologique. Il perd la capacité de déglutition, ne dort presque jamais et

réflexes : signe de Babinski, déviation des yeux et de la tête du coté de la lésion ? • Y a t-il des troubles neurologiques associés tel que la modification de la vision, de la parole ( chez le patient ayant fait un AVC, il y a très souvent une aphasie associée), une dysarthrie (trouble de la prononciation), des troubles de la déglutition, une anosognosie (méconnaissance du trouble) ? - Les signes vitaux : TA, pouls, température, état général du patient. On peut dire qu’un AVC brutal est le

est revenue chez ses parents quand ils ont pus se réinstaller dans la région. Elle a fait 3 AVC Ischémiques Plusieurs Phlébites et des fausses routes, elle présente à ce jour une insuffisance cardiaque droite avec un trouble de la déglutition une aphasie partielle. Une grabatisation importante. HABITUDES DE VIE : Mme R. était partiellement autonome il y a de ca environ une dizaine d’années, elle marchait, se levait seule elle avait des activités ludiques telle que la couture, le dessin, la broderie