Aphasie

nombre de personne âgées, souvent diagnostiqué à l’âge de 65ans et principal cause de démence chez cette population. Les premiers symptômes sont une perte de mémoire à court terme puis à long terme. On peut voir ensuite une perte de l’élocution, une aphasie et aussi une apraxie totale ou partielle. Les personnes atteintes de cette pathologie peuvent être agressive dès que leur environnement est modifié mais aussi rentrée progressivement dans une dépression durable. Cette maladie est incurable mais des

sevré actuellement. Au niveau de son alimentation Mr B n’à aucune contre indication. Une fois toute les deux semaines il travail sur l’image et l’acception de changement du corps dans la salle Snozelen (stimulation et éveil des sens). Présente une aphasie Sa vision est trouble (visite chez l’ophtalmologue prévue). Lui préparer 20 cigarettes chaque soir à lui remettre le lendemain. retour (il conserve un paquet de blondes sur lui). Il nous remet également 2 euros d’économies pour ses produits d’hygiène

sécurisé, elle ressent une anxiété, un abandon et une incapacité. Lexomil Visite du docteur toutes les semaines. |   Ne présente aucune allergie. | 
COMMUNIQUER Observer : Les sens : audition, vision
 Difficultés à parler, aphasie
 Expression des idées
 Langage
 Comportement non verbal Demander : Si a des visites, téléphone… |   A des lunettes (myopie). |   N'a aucun problèmes d'audition. N'a aucune difficultés à parler. Exprime ses idées clairement. Parle

4 - Coma, dangereux pour lui-même et pour les autres.   X - Communiquer 1 - S'exprime sans difficulté. 2 - S'exprime avec difficulté (bégaiement). 3 - A besoin d'une aide pour s'exprimer (ardoise, interprète). 4 - Ne peut pas s'exprimer (aphasie), ne veut pas s'exprimer.   XI - Agir selon ses croyances et ses valeurs 1 - Autonome. 2 - Est découragé, exprime sa colère, son angoisse. 3 - Éprouve un sentiment de vide spirituel. 4 - Demande une assistance spirituelle.   XII - S'occuper

et marquent l'absence de préméditation, la surprise totale face à l'émotion. - La fascination est soulignée par l'emploi d'un participe passé passif qui exprime l'idée d'un choc (" frappé "l.23), choc affectif intense qui va le plonger dans une aphasie temporaire Tout d'abord, Julien se sent capable d'une certaine hardiesse puisqu'il oublie " une partie de sa timidité ". Ensuite, il constate une perte totale de la mémoire (" il oublia tout "l.25-26) Ce choc s'explique chez Julien par un manque

située dans la partie postérieure du lobe temporal gauche. Les patients qui ont une lésion à cet endroit peuvent parler, mais leur discours est souvent incohérent et dénué de sens.   Carl Wernicke Un cerveau avec une lésion responsable d’une aphasie de Wernicke Ces observations ont été maintes fois confirmées et l’on s’entend aujourd’hui sur le fait qu’il y a, autour du sillon latéral de l’hémisphère gauche, une sorte de boucle impliquée dans la compréhension orale du langage et sa production

RIGAUD Chloé Analyse de situation de soins Recueil de données sur le patient : Madame Marcelle G. 88 ans, née le 23.05.1921 Patiente présentant une hémiplégie droite totale suite à un AVC, ainsi qu’une aphasie, des troubles de la compréhension, une désorientation temporo-spatiale, des troubles mnésiques, un Alzheimer et des problèmes cardiaques d’où la présence d’un pace maker. La patiente est en GIR 1 et est donc considérée comme une personne dépendante et en fin de vie. Les besoins altérées

jeux de mots, certaines tournures populaires... LA PAROLE : PETIT LEXIQUE Acception (n. f.) : sens précis dans lequel est pris un mot qui a plusieurs sens. Allocutaire (n. m.) : personne qui reçoit le message du locuteur (voir ce mot). Aphasie (n. f.) : perte de la capacité de parler. Antiphrase (n. f.) : figure désignant une expression dont l'esprit s'oppose à la lettre, une formulation qui transmet une information à l'opposé de l'expression littérale. Communication (n. f.) : échange

positif de communication. Mais encore, les mimiques éclairées du malade sont l'illustration de son état affectif nous permettant de mieux comprendre sa réaction préférablement qu'avec certains mots de vocabulaire difficile à cerner à cause de son aphasie. Enfin, le positionnement du médecin et du patient face à face (bonne ergonomie),la disposition de sa main sur le bras du malade ainsi que le placement de l'infirmière en retrait en tant que simple observatrice à mes cotés permet de monopoliser l'attention

elle (« vis » et « à sa vue »). Elle énonce aussi d’autres tourments corporels « Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps, et transir et brûler.» (v6-8). Où les yeux sont encore cités avec en plus une cécité et une aphasie « je ne pouvais parler ». Et l’emploi d’un oxymore (transir brûler). Phèdre se montre comme dépossédée de ses sens, de son corps. Cette souffrance physique qui torture son corps métaphore, au vers « Ma blessure trop vive aussitôt a saigné ». La