Apis mellifera mellifera

domestiques qui ont subi un processus de sélection artificielle (pour leur qualité nutritive, pour leur rendement) effectuée par l’homme. Par exemple, on peut observer la différence entre une abeille du nord de l’Afrique et une Afrique d’Europe. Apis mellifera intermissa : MELÍFERA : (النحل المصرى) On peut voir que leur couleur est différente donc on peut conclure qu’en fonction du lieu l’espèce

la nourriture et donc aidée les butineuses dans leur quête du nectar. Pour ce qui est de la danse frétillante, Illustration 4: La danse en rond de celle ci est plus compliquée. La durée de la partie frétillante correspond à la l'abeille Apis Mellifera distance de la nourriture par rapport à la ruche. L'abeille effectue un parcours rectiligne en secouant l'abdomen d'un côté à l'autre, avec une fréquence de 13 à 15 oscillations par seconde. Un fort bourdonnement est produit par l'ouvrière

abeilles locales, Apis mellifera syriaca : populations hétérogènes, non sélectionnées, irritées et agressives, ayant tendance à l’essaimage, assez productives entre 5 et 15 kg en moyenne, mais ayant une tendance faible à la dérive et au pillage, assez tolérantes aux maladies, assez actives en présence du frelon, adaptées à la chaleur et à la sécheresse estivale et hivernant très bien; elles ne consomment pas beaucoup de miel. • Les abeilles importées de race italienne, Apis mellifera ligustica, souvent

différents types d’abeilles au sein d’une colonie. Il ya plus de 20 000 espèces dans le monde dont 1000 vivent en France. Malgré ce que l'on pense, la plupart des abeilles sont solitaires et stockent du miel juste pour elle. Quelques unes comme l'apis mellifera, plus connu sous le nom d'abeille domestique vivent en groupe, en sociétés complexes organisées en classes. Dans les ruches, il y a trois types d'abeilles, qui répondent à de nombreuses caractéristiques telles que, des caractéristiques sensorielles

(mâles et femelles reproducteurs, ouvrières stériles), dont la physiologie et le comportement sont différents. Dans les sociétés les plus élaborées (Apidés), ces castes diffèrent aussi par leur taille. Dans les colonies de l'Abeille domestique, Apis mellifera, la reine se distingue des ouvrières par sa taille plus grande et son abdomen plus allongé. Les mâles ou faux-bourdons ont des yeux très développés. Parmi les adultes issus des œufs pondus par la reine, il se trouve parfois une femelle va fonder

majeurs des abeilles adultes sont la nosémose, l’ascosphérose, l’acariose, l’amoebiose, et la varroase, qui s’attaque autant aux adultes qu’aux larves. La nosémose, est causée par des protozoaires, c'est-à-dire des organismes unicellulaires (Nosema apis et Nosema Cerana) qui parasitent les abeilles adultes. La nosémose affaiblit la colonie, cause des diarrhées chez les abeilles, gonfle les abdomens. Les abeilles affectées traînent et n’arrivent pas à grimper aux brins d’herbe. Quand une colonie est

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 espèces  domestiques   qui  ont  subi  un  processus  de  sélection  artificielle  (pour  leur  qualité  nutritive,  pour  leur  rendement)   effectuée  par  l’homme.     L’abeille  domestique  Apis  mellifera   est  largement  répandue  dans  une   grande  partie  de  l’Europe,  de  la   Turquie  et  dans  toute  l’Afrique  non   désertique.  Il  existe  chez  cet  insecte   4  lignées  (MCOA)

 domestiques   qui  ont  subi  un  processus  de  sélection  artificielle  (pour  leur  qualité  nutritive,  pour  leur  rendement)   effectuée  par  l’homme.   L’abeille  domestique  Apis  mellifera   est  largement  répandue  dans  une   grande  partie  de  l’Europe,  de  la   Turquie  et  dans  toute  l’Afrique  non   désertique.  Il  existe  chez  cet  insecte  

naturel de la Côte-d’Ivoire. Mémoire n°50. Paris : ORSTOM, p. 161–262, 1971. Laflèche B. Les abeilles. Guide pratique de l’apiculture amateur. Solar Nature. 76 p, 1981. Lobreau-Callen D. et Damblon F. Spectre pollinique des miels de l’abeille Apis mellifera L. (Hymenoptera, Apidae) et zone de végétation en Afrique occidentale et méditerranéenne. Grana, 33 (4) : 245 – 253, 1994. MEF (Ministère de l’Economie et des Finances). Rapport National d’Investissement de la Côte d’Ivoire. Conférence de