Apollinaire Dromadaire

La poésie est un bijou qui nous hante depuis notre enfance. Elle est écrite avec soin, tel un peintre qui dessine. Absolument rien n’est laissé au hasard. Si l’on se laisse aller on retrouvera une musicalité, un rythme. C’est un moyen pour nous les poètes de s’évader, de prendre du recul, de se sentir mieux. Mais pas seulement, c’est un moyen de communication entre nous et le lecteur. En effet on vous fait passer un message, vous devez juste la chercher et la méditer. On utilise nos propres sentiments

Zone est le poème d'ouverture du recueil Alcools (1913) de Guillaume Apollinaire. Ce poème au cycle de Marie (en référence à Marie Laurencin, peintre, rencontrée par Guillaume Apollinaire en 1907). C’est en changeant le titre du recueil Eau de vie en Alcools et en décidant de supprimer toute ponctuation que l’auteur rajoute en tête de l’ouvrage le poème Zone, dernier écrit de l’ensemble : il donne ainsi à son recueil une orientation philosophique. On est frappé par l'apparence du poème :

Guillaume Apollinaire ALCOOLS (1898 – 1912) Zone À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation Seul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme L'Européen le plus moderne c'est vous Pape Pie X Et toi que les fenêtres

littérature du xxe siècle se détourna de cette interprétation. Elle apparait sous de nombreuses formes dont certaines sont ironiques, et perpétue ainsi le mythe de la Lorelei. En France, elle est surtout connue à travers le poème de Guillaume Apollinaire, La Loreley que l’on retrouve dans le recueil Alcools et qui est en fait une traduction/adaptation du poème de Brentano2, ou encore dans Lorely de Gérard Labrunie dit Gérard de Nerval lors du récit de son voyage sur les bords du Rhin. La fée du

 Guillaume Apollinaire anorexie et boulimie Nom et prénom de l'auteur: Guillaume Apollinaire de son vrai nom Guillaume Albert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky. Date et lieu de naissance et de mort: Il est né le 26 août 1880 à Rome et mort le 9 novembre 1918 à Paris. Famille: Fils d'une jeune polonaise de 22 ans, Angélica de Kostrowitzky et de Francesco d'Aspermont, ancien officier de l'armée royale des Deux-Siciles. En 1882, né son frère Albert

plongent dans un univers parfois opaque. Ce qui vaut pour ce curieux poème intitulé « Chantre ». [origine et contenu du poème] On sait que l'auteur d' « Alcools » a rajouté au dernier moment ce vers vite lu à son recueil. Guillaume Apollinaire, nous enseignent les biographies, était un amateur de calembours, de fantaisie verbale qui a voulu valoriser des formes poétiques différentes, originales. Que penser de ce poème si court, si cruellement inquiet, teinté d'une ironie désabusée ?

Guillaume Apollinaire, “Alcools” (1913) ! Guillaume Apollinaire est née en 1880, c’est un enfant illégitime. Il a passé la première partie de sa vie à Nice et à Monaco. Il fait ses études dans un collège religieux. En 1889, la famille s’installe à Paris et il connaît son première amour. En 1901, il s’est engagé comme précepteur des enfants de la vicomtesse de Milhau et il va habiter en Allemagne en Rhénanie et il tombe amoureux d’une anglaise appelée Annie Playden. De 19002 à 1905, Apollinaire vit à

la paix et de la guerre (1913-1916) Calligrammes Re Guillaume Apollinaire Édition d’Isabelle Schlichting Prenez des lettres, des mots, des phrases. Disposezles sur une feuille blanche de façon que les phrases, les mots, les lettres composent des figures… Alors que la guerre de 14-18 accable le monde, dans le même temps, l’esprit nouveau surgit et souffle sur la poésie avec enthousiasme. Le poète-soldat Apollinaire ouvre des horizons : du jamais vu et du jamais lu. ISBN 978-2-7011-4881-6

acceptée, ce qui initia sa procédure de naturalisation[6]. Peu avant de s'engager, il tomba amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomma Lou. Elle était divorcée et menait une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'éprit d'elle et la courtisa. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimula pas son attachement pour un homme qu'elle surnommait Toutou. Rapidement, Guillaume dut partir au front. Une correspondance naquit de leur relation ; au dos

finir le poème de G. Apollinaire date de la première guerre mondiale, autrement dit: de 1915. On remarque que les trois auteurs s'adressent tous à des personnes à travers leur poème. On observe aussi que ces personnes sont proches pour les trois auteurs. Victor Hugo s'adresse à sa fille; c'est donc un membre de sa famille, on remarque qu'il l'aime beaucoup et qu'il est très proche d'elle malgré qu'elle soit morte. Il utilise donc le tutoiement L,2 « vois-tu ». Guillaume Apollinaire, lui s'adresse à