Apollon

Apollon et DaphnéOEUVRE ORIGINALE - APOLLON ET DAPHNÉ Alors qu’Apollon se moquait du Dieu de l’amour , celui-ci décida de se venger . Afin de punir donc l’orgueil du dieu de la beauté , il le fit tomber éperdument amoureux de Daphné . La jeune nymphe en revanche , reçut une flèche en plomb , symbole de dégoût envers Apollon Une vengeance de l’amour Une passion non partagée Guidé par l’affection et la passion , Apollon décide de poursuivre Daphné jour et nuit . Refusant ses avances incessantes

eux, les hommes. Paradoxe car les Dieux décident du destin des hommes. Mais à leur manière, les hommes peuvent décider à leur tour du destin des Dieux. De ce fait, Zeus les coupèrent en deux et Apollon les recousut. Aristophane explique d'ailleurs que le nombril est une des séquelles de ce massacre que Apollon a décidé de garder pour rappeler aux humains ce qui leur a été infligé à cause de leurs orgueils. Suite à leur séparation, chaque homme essayait de retrouver sa moitié. Ils s’enlaçaient

lui envoient les dieux. Il est représenté somme vieux et aveugle (l.10 : « aveugle ») car on est en relation avec les Dieux, on ne peut pas voir la terre, on voit le ciel : on ne veut pas voir les deux. Tirésias est incapable d’agir : (l.16 « Apollon saura… »). Il est une représentation symbolique de la fatalité : l.57 : « tu m’échapperas pas… te réserves ». Tirésias se met en colère, comme Œdipe, et veut défendre sa dignité : En effet, Œdipe le traite d’ « ignare » et « mercantile ». l.3 :

dieux principaux, les Olympiens, étaient Zeus, Héra, Héphaïstos, Athéna, Apollon, Artémis, Arès, Aphrodite, Hestia, Hermès, Déméter et Poséidon. Zeus était le maître des dieux, leur père spirituel ainsi que celui des hommes. Sa femme Héra était la reine du ciel et la gardienne du mariage. Les autres dieux associés au ciel étaient Héphaïstos, dieu du Feu et des Forgerons, Athéna, déesse de la Sagesse et de la Guerre, puis Apollon, dieu de la Lumière, de la Poésie et de la Musique. Artémis, déesse des

l’échos que ce « dé », de même qu’à la fin de chaque mot du deuxième vers il y a la répétition « é » qui fait écho. Ensuite au seconde quatrain, l’auteur fait référence, comme il aime à le faire dans ses poèmes, à l’antiquité, et plus précisément, à Apollon et a son fils Asclépios. Cet allusion à ces deux dieux de l’antiquité n’est pas anodine et donne des indication sur l’état de santé du poète, il est très malade et en mauvais état physique car les dieux de la divination et de la médecine ensemble

Du Bellay nous tenterons d'imager la citation ci-dessus à travers son analyse. Le mot Lyrisme est dérivé du mot lyre. La lyre est un instrument de musique à cordes associé dans la mythologie à Hermes qui en est son inventeur mais aussi au dieu Apollon, dieu des arts et de la beauté. Orphée personnage mythologique est souvent représenté avec une lyre. L'adjectif « lyrique » apparaît au XVe siècle en lien avec la poésie grecque antique puisqu'à l'époque lorsque l'on déclamait un poème on le faisait

fille d'Océan, et aux Telchines de l'île de Rhodes, qui veillent sur son enfance divine. L’Illiade en fait le frère cadet de Zeus[], acceptant mal l'autorité de l'aîné, ce qui explique sans doute qu'il tente un jour, de concert avec Héra et Athéna ou Apollon, de l'emprisonner[]. Poséidon participe avec son frère et les autres dieux à la Titanomachie et c'est lui qui referme sur les Titans les portes d'airain du Tartare[]. Lors du partage du monde qui suit la victoire des Olympiens, il reçoit la souveraineté

était le poète et le musicien le plus célèbre qui ait jamais vécu : Apollon lui fit don d’une lyre et les Muses lui apprirent à en jouer ; non seulement il attendrissait les bêtes féroces, mais il charmait aussi les arbres, les pierres et les rochers par sa musique au point que ces derniers se déplaçaient pour le suivre. Il forma tous les grands musiciens de la mythologie: Musée, Eumolpe, Linos. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu’il rajouta deux cordes à la traditionnelle lyre

 siècle  avt  JC,  Paris,  Musée  du   Louvre.     Oreste,  agenouillé  sur  un  rocher  (sans  doute   le  mont  Arès),  est  placé  entre  Athéna  (à   gauche)  et  Apollon.  Les  Furies  cherchent  à  le   châtier  car  il  a  tué  sa  mère,  elle  même   meurtrière  de  son  mari  Agamemnon.            Document  2     Oreste

car il a été symboliquement vaincu par Hector. Un long combat entre Hector et Achille s'en suit où Achille est victorieux et tue Hector. Par la suite Achille traîne le corps de Hector autour des muraille troyenne. Achille a déshonoré les Troyens et apollon pour le punir, prend la forme de paris, prince troyen, et le tue par une flèche au talon. Les troyens fétent la mort d' Achille mais sont par la suite vaincu grâce a l'astuce du cheval de troie. Ici se termine la guerre de Troie. Dans le cadre de